. . . . . . "60"^^ . . . . "1748"^^ . . . . "49910"^^ . . . . . . . . . . . . . . "190690251"^^ . . . . . . "Zadig"@de . . . . . . . . . . . "Lyon"@fr . . . . . . . "Zadig (livre)"@fr . "Zadig ou la Destin\u00E9e"@fr . "Zadig ou la Destin\u00E9e"@fr . . . . . . . . . . . . . "Zadig"@sv . . . . . . . "60"^^ . . . . ""@fr . . . . . "Zadig ou la Destin\u00E9e est un conte philosophique de Voltaire, publi\u00E9 pour la premi\u00E8re fois en 1747 sous le nom de Memnon. Allong\u00E9 de quelques chapitres, il fut publi\u00E9 une nouvelle fois en 1748 sous son titre actuel. D\u2019apr\u00E8s Longchamp, secr\u00E9taire de Voltaire, c\u2019est au cours des soir\u00E9es mondaines donn\u00E9es \u00E0 Sceaux, chez la duchesse du Maine, que l\u2019id\u00E9e d\u2019\u00E9crire des contes inspire \u00E0 Voltaire ce petit roman, qualifi\u00E9 aussi de conte philosophique, qui conna\u00EEt plusieurs \u00E9ditions \u00E0 partir de 1747. Il s\u2019est par ailleurs d\u00E9fendu d\u2019en \u00EAtre l\u2019auteur, le consid\u00E9rant comme une simple \u00AB couillonnerie \u00BB."@fr . . . . . "Zadig"@ca . . . "Zadig ou la Destin\u00E9e est un conte philosophique de Voltaire, publi\u00E9 pour la premi\u00E8re fois en 1747 sous le nom de Memnon. Allong\u00E9 de quelques chapitres, il fut publi\u00E9 une nouvelle fois en 1748 sous son titre actuel. D\u2019apr\u00E8s Longchamp, secr\u00E9taire de Voltaire, c\u2019est au cours des soir\u00E9es mondaines donn\u00E9es \u00E0 Sceaux, chez la duchesse du Maine, que l\u2019id\u00E9e d\u2019\u00E9crire des contes inspire \u00E0 Voltaire ce petit roman, qualifi\u00E9 aussi de conte philosophique, qui conna\u00EEt plusieurs \u00E9ditions \u00E0 partir de 1747. Il s\u2019est par ailleurs d\u00E9fendu d\u2019en \u00EAtre l\u2019auteur, le consid\u00E9rant comme une simple \u00AB couillonnerie \u00BB. Cette \u0153uvre est inspir\u00E9e d'un conte persan intitul\u00E9 Voyages et aventures des trois princes de Serendip. Cependant Zadig va plus loin que les trois princes de Serendip en ce sens qu'il utilise la science de son temps, un \u00AB profond et subtil discernement \u00BB, pour parvenir \u00E0 ses conclusions. Il a acquis \u00AB une sagacit\u00E9 qui lui d\u00E9couvrait mille diff\u00E9rences o\u00F9 les autres hommes ne voient rien que d'uniforme \u00BB. Voltaire n'\u00E9voque pas le hasard mais parle d'une \u00AB bizarrerie de la providence \u00BB. Il introduit \u00E9galement le suspense dans son r\u00E9cit, alors que dans la tradition du conte oriental le lecteur est averti d\u00E8s le d\u00E9part que les trois fr\u00E8res n'ont pas vu l'animal, ce qui rapproche le raisonnement par d\u00E9duction de Zadig de la m\u00E9thode scientifique."@fr . . . . . . . . . . . . "\u0635\u0627\u062F\u0642 (\u0631\u0648\u0627\u064A\u0629)"@ar . . . . . "\u00C9dition de 1748."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Zadig"@en . . . . . . "27647"^^ . . . . . . . . . .