"\u05D9"@ar . . "Yod"@pt . "Yod, youd ou encore yodh (\u05D9, prononc\u00E9e /j/) est la dixi\u00E8me lettre de l'alphabet h\u00E9breu. Cette lettre repr\u00E9sente une consonne (API [j]), cependant en grec ancien tr\u00E8s archa\u00EFque le yod \u00E9tait une semi-voyelle correspondant au i mouill\u00E9 ou au son [j]. Cette lettre a peu \u00E0 peu disparu, \u00E0 l'instar du digamma, mais dans l'iota (\u0399, \u03B9) de l'alphabet grec (issu du ph\u00E9nicien), subsiste toujours la voyelle /i/ (le phon\u00E8me /j/, mais pas le son [j] ayant disparu de la langue). Il est notable que le d\u00E9riv\u00E9 latin, la lettre I, ait servi aux Romains \u00E0 noter \u00E0 la fois /i/ et /j/. Dans les alphabets latins actuels, cependant, la lecture issue de /j/ est maintenant not\u00E9e J, lettre forg\u00E9e pendant la Renaissance par Pierre de La Ram\u00E9e pour la diff\u00E9rencier du i, d'o\u00F9 son nom de \u00AB lettre ramiste \u00BB. Le mot h\u00E9breu le plus proche est yad, main. Comme chacune des lettres de l'alphabet h\u00E9breu, la lettre yod est la repr\u00E9sentation d'une partie du corps, d'un animal ou d'un objet d'utilisation courante, en l'occurrence la main (yad). Le fait que la lettre repr\u00E9sentant la \u00AB\u202Fmain\u202F\u00BB se prononce yod, apporte une preuve de plus au fait que la voyelle h\u00E9bra\u00EFque kamats a (komets en yiddish) \u00E9tait effectivement prononc\u00E9e o \u00E0 l'\u00E9poque biblique, comme le prononcent encore aujourd'hui les juifs ashk\u00E9nazes et y\u00E9m\u00E9nites. Il est assez ironique que les juifs s\u00E9pharades qui ont cess\u00E9 de prononcer le kamats o (et qui ont adopt\u00E9 la prononciation aram\u00E9enne a), aient en fait conserv\u00E9 avec justesse et pers\u00E9v\u00E9rance \u00E0 travers les \u00E2ges la prononciation originale du mot \u00AB\u202Fmain\u202F\u00BB \u00E0 savoir yod. Sa valeur num\u00E9rique est 10. Elle est la premi\u00E8re lettre du nom sacr\u00E9 YHWH. Elle symbolise le germe, contenant tous les sephirotim."@fr . . . . "\u0419\u0443\u0434 (\u0431\u0443\u043A\u0432\u0430 \u0435\u0432\u0440\u0435\u0439\u0441\u043A\u043E\u0433\u043E \u0430\u043B\u0444\u0430\u0432\u0438\u0442\u0430)"@ru . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u05D9"@en . "Yod, youd ou encore yodh (\u05D9, prononc\u00E9e /j/) est la dixi\u00E8me lettre de l'alphabet h\u00E9breu. Cette lettre repr\u00E9sente une consonne (API [j]), cependant en grec ancien tr\u00E8s archa\u00EFque le yod \u00E9tait une semi-voyelle correspondant au i mouill\u00E9 ou au son [j]. Cette lettre a peu \u00E0 peu disparu, \u00E0 l'instar du digamma, mais dans l'iota (\u0399, \u03B9) de l'alphabet grec (issu du ph\u00E9nicien), subsiste toujours la voyelle /i/ (le phon\u00E8me /j/, mais pas le son [j] ayant disparu de la langue). Il est notable que le d\u00E9riv\u00E9 latin, la lettre I, ait servi aux Romains \u00E0 noter \u00E0 la fois /i/ et /j/. Dans les alphabets latins actuels, cependant, la lecture issue de /j/ est maintenant not\u00E9e J, lettre forg\u00E9e pendant la Renaissance par Pierre de La Ram\u00E9e pour la diff\u00E9rencier du i, d'o\u00F9 son nom de \u00AB lettre ramiste \u00BB."@fr . . . . . . . "\u0419\u043E\u0434 (\u043B\u0456\u0442\u0435\u0440\u0430 \u0433\u0435\u0431\u0440\u0430\u0439\u0441\u044C\u043A\u043E\u0457 \u0430\u0431\u0435\u0442\u043A\u0438)"@uk . . . . . "Yod (lettre)"@fr . . . . . . "Yod"@an . . . . "3089"^^ . "183644178"^^ . . . "Yod"@sv . "262026"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .