. . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Urbain Johnson (27 janvier 1824 - avril 1917) est un homme politique, un juge de paix, un fermier et un milicien canadien. Urbain Johnson est n\u00E9 le 27 janvier 1824 \u00E0 Saint-Louis-de-Kent, au Nouveau-Brunswick. Son p\u00E8re \u00E9tait Simon Johnson, fermier acadien d'ascendance \u00E9cossaise, et sa m\u00E8re \u00E9tait Genevi\u00E8ve Vautour, une acadienne. Selon ses dires, Urbain Johnson \u00E9tudia \u00E0 l'\u00E9cole \u00E9l\u00E9mentaire du village pendant six mois. Il devint ensuite fermier comme son p\u00E8re. Il joua un r\u00F4le actif dans l'administration locale, \u00E9tant nomm\u00E9 juge de paix et officier de milice et se faisant \u00E9lire au conseil municipal du comt\u00E9 de Kent. Il devint \u00E9galement vice-pr\u00E9sident de la Soci\u00E9t\u00E9 centrale acadienne de colonisation, fond\u00E9e en 1881. Il fut \u00E9lu d\u00E9put\u00E9 du comt\u00E9 de Kent \u00E0 l'Assembl\u00E9e l\u00E9gislative du Nouveau-Brunswick lors d'une \u00E9lection compl\u00E9mentaire en 1869 et garda son poste jusqu'en 1882. Il repr\u00E9senta \u00E0 nouveau le comt\u00E9 de 1895 \u00E0 1908, date \u00E0 laquelle il se retira de la politique. Ses mandats furent marqu\u00E9s par la Question des \u00E9coles du Nouveau-Brunswick. Il fut en effet l'un des seuls d\u00E9put\u00E9s \u00E0 s'\u00EAtre oppos\u00E9 \u00E0 la Loi des \u00E9coles communes de 1871. En 1875, apr\u00E8s l'affaire Louis Mailloux, il fut l'un des quatre seuls d\u00E9put\u00E9s \u00E0 s'opposer \u00E0 la construction d'une prison et d'un poste de police permanent \u00E0 Caraquet. Durant les ann\u00E9es 1870, il se joint \u00E0 d'autres d\u00E9put\u00E9s et hommes d'affaires acadiens, dont Olivier Leblanc, pour fonder une compagnie vou\u00E9e \u00E0 la promotion du . Urbain Johnson fut impliqu\u00E9 dans le mouvement nationaliste acadien de la fin du XIXe si\u00E8cle. Il assista au congr\u00E8s organis\u00E9 par la Soci\u00E9t\u00E9 Saint-Jean-Baptiste \u00E0 Qu\u00E9bec en 1880. Il fit aussi partie du comit\u00E9 ex\u00E9cutif des deux premi\u00E8res Conventions nationale acadienne, \u00E0 Memramcook en 1881 et \u00E0 Miscouche en 1884. Lors de la convention de 1881, il pronon\u00E7a un court discours passionn\u00E9 o\u00F9 il plaida en faveur de l'instauration de la f\u00EAte nationale de l'Acadie le jour de l'Assomption et de l'\u00E9laboration des symboles nationaux distincts pour les Acadiens. En 1854, Urbain \u00E9pouse Nathalie LeBlanc. Le couple aura quatre enfants. Urbain Johnson est mort en avril 1917 \u00E0 l'\u00E2ge de 93 ans."@fr . . . . . . . . . . . . . . "Urbain Johnson (27 janvier 1824 - avril 1917) est un homme politique, un juge de paix, un fermier et un milicien canadien. Urbain Johnson est n\u00E9 le 27 janvier 1824 \u00E0 Saint-Louis-de-Kent, au Nouveau-Brunswick. Son p\u00E8re \u00E9tait Simon Johnson, fermier acadien d'ascendance \u00E9cossaise, et sa m\u00E8re \u00E9tait Genevi\u00E8ve Vautour, une acadienne. En 1854, Urbain \u00E9pouse Nathalie LeBlanc. Le couple aura quatre enfants. Urbain Johnson est mort en avril 1917 \u00E0 l'\u00E2ge de 93 ans."@fr . . . . . . "Urbain Johnson"@fr . . . . . . . . . "3382514"^^ . . . . . . . . . . . . "3309"^^ . . . . . . . . . . . "147398661"^^ . . . . . . . . .