. . . "66"^^ . . . . . . . . . . . . "Mercury Theatre"@fr . "\u0421\u043B\u0438\u0448\u043A\u043E\u043C \u043C\u043D\u043E\u0433\u043E \u0414\u0436\u043E\u043D\u0441\u043E\u043D\u0430"@ru . . "Too Much Johnson (1938 film)"@en . . . . "4020.0"^^ . . . "189989901"^^ . . . . . . ""@fr . . . . "en"@fr . . . . . . . . . . . "Orson Welles"@fr . . . . . . . . . . "Too Much Johnson est un film muet am\u00E9ricain r\u00E9alis\u00E9 par Orson Welles, sorti en 1938. Le film est inspir\u00E9 d'une farce th\u00E9\u00E2trale \u00E9crite par William Gillette en 1894. Il s'agit de l'un des premiers films d'Orson Welles apr\u00E8s le court m\u00E9trage Hearts of Age (1934). C'est aussi le premier r\u00F4le au cin\u00E9ma de l'acteur Joseph Cotten. Le film n'a jamais \u00E9t\u00E9 projet\u00E9 et on a longtemps cru que le film avait \u00E9t\u00E9 perdu."@fr . . . . . . . . . . . . "Too Much Johnson est un film muet am\u00E9ricain r\u00E9alis\u00E9 par Orson Welles, sorti en 1938. Le film est inspir\u00E9 d'une farce th\u00E9\u00E2trale \u00E9crite par William Gillette en 1894. Il s'agit de l'un des premiers films d'Orson Welles apr\u00E8s le court m\u00E9trage Hearts of Age (1934). C'est aussi le premier r\u00F4le au cin\u00E9ma de l'acteur Joseph Cotten. Le film n'a jamais \u00E9t\u00E9 projet\u00E9 et on a longtemps cru que le film avait \u00E9t\u00E9 perdu. Le 5 ao\u00FBt 2013, le mus\u00E9e George Eastman House (Rochester, NY, \u00C9tats-Unis) a annonc\u00E9 que le film muet avait \u00E9t\u00E9 retrouv\u00E9 en Italie et qu'il \u00E9tait en cours de restauration aux \u00C9tats-Unis. Le film fut projet\u00E9 pour la premi\u00E8re fois le 9 octobre 2013 dans le cadre de la \u00AB Journ\u00E9e du cin\u00E9ma muet \u00BB \u00E0 Pordenone."@fr . . "" . . . . . . . . . . . "Too Much Johnson"@fr . . . . . . "Too Much Johnson" . . . . . . . . . . . . . . "Too Much Johnson"@fr . . . "7043"^^ . . . . . "Mercury Theatre"@fr . . . . . . . . "4020.0"^^ . . . . . . "1938"^^ . . . . . . . . . . "Too Much Johnson"@fr . . . . . . . "1414176"^^ . . . .