. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Terrorisme d'\u00C9tat"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "131560"^^ . "\u0625\u0631\u0647\u0627\u0628 \u062F\u0648\u0644\u0629"@ar . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Estatu terrorismo"@eu . . . "Le terrorisme d'\u00C9tat consiste en l'exercice de la terreur par un \u00C9tat sur sa propre population comme m\u00E9thode de gouvernement. On peut se r\u00E9f\u00E9rer \u00E0 la formule de G\u00E9rard Chaliand cit\u00E9e dans l'article \u00AB Terreur \u00BB : Il arrive \u00E0 des \u00C9tats de recourir \u00E0 la terreur comme mode de gouvernement \u00AB permettant au pouvoir en place de briser, \u00E0 force de mesures extr\u00EAmes et d'effroi collectif, ceux qui lui r\u00E9sistent \u00BB. Le recours \u00E0 la terreur rend ill\u00E9gitime, si l'on se r\u00E9f\u00E8re \u00E0 la th\u00E9orie des fondements du pouvoir d'\u00C9tat selon Hobbes, l'exercice par l'\u00C9tat de son monopole de la violence d\u00E8s que, d'une part, celle-ci est en violation du contrat d\u00E9crit par Thomas Hobbes selon lequel le citoyen accepte de renoncer \u00E0 une partie de sa libert\u00E9 au profit d'une protection fournie par l'\u00C9tat et que, d'autre part,"@fr . . "185203998"^^ . . . . . . . "Staatsterrorismus"@de . . . "Terrorisme d'Estat"@ca . . . . . "\u570B\u5BB6\u6050\u6016\u4E3B\u7FA9"@zh . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "36627"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Terrorismo de Estado"@es . . . . . . . . . . . . . . . "Le terrorisme d'\u00C9tat consiste en l'exercice de la terreur par un \u00C9tat sur sa propre population comme m\u00E9thode de gouvernement. On peut se r\u00E9f\u00E9rer \u00E0 la formule de G\u00E9rard Chaliand cit\u00E9e dans l'article \u00AB Terreur \u00BB : Il arrive \u00E0 des \u00C9tats de recourir \u00E0 la terreur comme mode de gouvernement \u00AB permettant au pouvoir en place de briser, \u00E0 force de mesures extr\u00EAmes et d'effroi collectif, ceux qui lui r\u00E9sistent \u00BB. Le recours \u00E0 la terreur rend ill\u00E9gitime, si l'on se r\u00E9f\u00E8re \u00E0 la th\u00E9orie des fondements du pouvoir d'\u00C9tat selon Hobbes, l'exercice par l'\u00C9tat de son monopole de la violence d\u00E8s que, d'une part, celle-ci est en violation du contrat d\u00E9crit par Thomas Hobbes selon lequel le citoyen accepte de renoncer \u00E0 une partie de sa libert\u00E9 au profit d'une protection fournie par l'\u00C9tat et que, d'autre part, cette violence ne vise pas au maintien, menac\u00E9, de l'\u00C9tat mais \u00E0 un accroissement de ses pr\u00E9rogatives. Le terrorisme d'\u00C9tat pose donc un probl\u00E8me d'ordre \u00E9thique puisqu'il met en cause non seulement la relation entre l'\u00C9tat et la soci\u00E9t\u00E9 civile, mais aussi la nature des rapports que l'\u00C9tat entretient avec la violence. Un \u00C9tat terroriste est une entit\u00E9 politique territorialement distincte qui utilise la force et \u00E0 la violence contre d'autres \u00C9tats ou leurs citoyens avec l'intention d'intimider ou de contraindre \u00E0 accepter sans r\u00E9serve son id\u00E9ologie, et de r\u00E9aliser ainsi une position dominante dans le monde ou de s\u00E9jour permanent au pouvoir dans leur propre pays."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . .