. . "4434"^^ . "\u7B2C7\u865F\u4EA4\u97FF\u66F2 (\u6D66\u7F85\u54E5\u83F2\u592B)"@zh . . . . . "1056654"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Symphony No. 7 (Prokofiev)"@en . . . . "La Symphonie no 7 en do di\u00E8se mineur opus 131 (1952) est l\u2019ultime symphonie de Sergue\u00EF Prokofiev. C\u2019est une de ses \u0153uvres les plus lyriques et les plus m\u00E9lodieuses. La texture orchestrale est tr\u00E8s all\u00E9g\u00E9e par rapport aux cinq symphonies pr\u00E9c\u00E9dentes et l'\u00E9criture harmonique et rythmique est d'une plus grande simplicit\u00E9. Tant la relative modestie des forces instrumentales que l\u2019accessibilit\u00E9 du langage musical en font une \u0153uvre propre \u00E0 \u00EAtre jou\u00E9e par les orchestres de jeunes - elle fut d\u2019ailleurs \u00E9crite en partie dans cette intention. Il se d\u00E9gage de cette partition un charme f\u00E9erique et une nostalgie qui en font le digne testament artistique d\u2019un compositeur revenu tant de l'orgueil de sa jeunesse parisienne (Deuxi\u00E8me symphonie) que de ses \u00E9lans de patriotisme sovi\u00E9tique (Cinqui\u00E8me symphon"@fr . . . . . . . . . . . "Sinfonia n. 7 (Prokof'ev)"@it . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La Symphonie no 7 en do di\u00E8se mineur opus 131 (1952) est l\u2019ultime symphonie de Sergue\u00EF Prokofiev. C\u2019est une de ses \u0153uvres les plus lyriques et les plus m\u00E9lodieuses. La texture orchestrale est tr\u00E8s all\u00E9g\u00E9e par rapport aux cinq symphonies pr\u00E9c\u00E9dentes et l'\u00E9criture harmonique et rythmique est d'une plus grande simplicit\u00E9. Tant la relative modestie des forces instrumentales que l\u2019accessibilit\u00E9 du langage musical en font une \u0153uvre propre \u00E0 \u00EAtre jou\u00E9e par les orchestres de jeunes - elle fut d\u2019ailleurs \u00E9crite en partie dans cette intention. Il se d\u00E9gage de cette partition un charme f\u00E9erique et une nostalgie qui en font le digne testament artistique d\u2019un compositeur revenu tant de l'orgueil de sa jeunesse parisienne (Deuxi\u00E8me symphonie) que de ses \u00E9lans de patriotisme sovi\u00E9tique (Cinqui\u00E8me symphonie). La coda du dernier mouvement, la plus longue que Prokofiev ait \u00E9crite, constitue un v\u00E9ritable adieu \u00E0 la musique, suivi d\u2019un dernier sursaut fac\u00E9tieux rappelant que l\u2019Art continue."@fr . . . . . . . . . "184324183"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "Symphonie no 7 de Prokofiev"@fr . . . . . . . .