"Sonnet 151"@fr . "6035"^^ . . . . . . . "6698556"^^ . . . . . . . . . . . "Le Sonnet 151 est l'un des 154 sonnets \u00E9crits par le dramaturge et po\u00E8te William Shakespeare et publi\u00E9 dans une collection de 1609 intitul\u00E9e sonnets de Shakespeare. Le sonnet appartient \u00E0 la s\u00E9quence Dark Lady (sonnets 127-152) qui se distingue de la s\u00E9quence The Fair Youth en \u00E9tant plus ouvertement sexuel dans sa passion. Le Sonnet 151 est qualifi\u00E9 de \u00ABd\u00E9bauche\u00BB et est utilis\u00E9 pour illustrer la diff\u00E9rence entre l'amour spirituel pour la jeunesse juste et l'amour sexuel pour la Dame noire. La distinction est commun\u00E9ment faite dans l'introduction aux \u00E9ditions modernes des sonnets afin d'\u00E9viter de sugg\u00E9rer que Shakespeare \u00E9tait homosexuel."@fr . "Love is too young to know what conscience is,\nYet who knows not conscience is born of love?\nThen, gentle cheater, urge not my amiss,\nLest guilty of my faults thy sweet self prove.\nFor, thou betraying me, I do betray\nMy nobler part to my gross body's treason;\nMy soul doth tell my body that he may\nTriumph in love; flesh stays no farther reason,\nBut rising at thy name doth point out thee\nAs his triumphant prize; proud of this pride,\nHe is contented thy poor drudge to be,\nTo stand in thy affairs, fall by thy side.\n No want of conscience hold it that I call\n Her \u2018love\u2019 for whose dear love I rise and fall."@fr . . . . . "151"^^ . "178195177"^^ . . . "Le Sonnet 151 est l'un des 154 sonnets \u00E9crits par le dramaturge et po\u00E8te William Shakespeare et publi\u00E9 dans une collection de 1609 intitul\u00E9e sonnets de Shakespeare. Le sonnet appartient \u00E0 la s\u00E9quence Dark Lady (sonnets 127-152) qui se distingue de la s\u00E9quence The Fair Youth en \u00E9tant plus ouvertement sexuel dans sa passion. Le Sonnet 151 est qualifi\u00E9 de \u00ABd\u00E9bauche\u00BB et est utilis\u00E9 pour illustrer la diff\u00E9rence entre l'amour spirituel pour la jeunesse juste et l'amour sexuel pour la Dame noire. La distinction est commun\u00E9ment faite dans l'introduction aux \u00E9ditions modernes des sonnets afin d'\u00E9viter de sugg\u00E9rer que Shakespeare \u00E9tait homosexuel."@fr . . . . . . .