. . . "Reg\u00EAncia (lingu\u00EDstica)"@pt . . . . . . . . . . . . "oui"@fr . . . . "Dubois"@fr . "\u041A\u0435\u0440\u0443\u0432\u0430\u043D\u043D\u044F (\u043B\u0456\u043D\u0433\u0432\u0456\u0441\u0442\u0438\u043A\u0430)"@uk . . . . . "Reggenza (linguistica)"@it . . . . . "Dictionnaire de linguistique"@fr . . . "Rection"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "En grammaire traditionnelle, la rection est, dans certaines langues, un processus par lequel, dans un rapport syntaxique de subordination, un mot (le r\u00E9gissant) impose \u00E0 un autre mot (le r\u00E9gi) un certain moyen de r\u00E9alisation du rapport. Ce moyen d\u00E9pend de la langue en question et du sens du r\u00E9gissant, pouvant \u00EAtre de nature seulement analytique (une adposition), seulement synth\u00E9tique (une certaine d\u00E9sinence casuelle) ou analytique et synth\u00E9tique \u00E0 la fois. Le r\u00E9gissant est en g\u00E9n\u00E9ral un mot subordonnant \u00E0 sens lexical (verbe, nom, adjectif ou adverbe), et le r\u00E9gi un nom ou un pronom. On consid\u00E8re comme des r\u00E9gissants les adpositions aussi, bien qu\u2019elles soient des mots-outils, donc non subordonnants par eux-m\u00EAmes, parce que, dans les langues \u00E0 d\u00E9clinaison, elles peuvent imposer une certaine forme casuelle au mot avec lequel elles constituent un \u00E9l\u00E9ment \u00E0 fonction syntaxique. On utilise parfois le terme \u00AB r\u00E9gime \u00BB au lieu de \u00AB rection \u00BB. Ainsi, on parle de \u00AB r\u00E9gime casuel \u00BB des pr\u00E9positions et des verbes, ou de \u00AB r\u00E9gime pr\u00E9positionnel \u00BB des verbes et des autres subordonnants, mais \u00AB r\u00E9gime \u00BB a un autre sens aussi, d\u00E9nommant ce qu\u2019on appelle \u00AB r\u00E9gi \u00BB plus haut. Dans l\u2019interpr\u00E9tation ci-dessus, la rection concerne le moyen de r\u00E9alisation du rapport syntaxique, et le r\u00E9gi est un compl\u00E9ment d\u2019objet du verbe ou un compl\u00E9ment du nom, de l\u2019adjectif ou de l\u2019adverbe, analogue au compl\u00E9ment d\u2019objet, ainsi que le mot dont la forme est d\u00E9termin\u00E9e par l\u2019adposition. Selon une interpr\u00E9tation plus large, la rection concerne n\u2019importe quel \u00E9l\u00E9ment de phrase, soit parce que sa forme est impos\u00E9e par un autre \u00E9l\u00E9ment, soit parce que sa pr\u00E9sence est obligatoire en association avec un autre \u00E9l\u00E9ment, soit parce qu\u2019il change de fa\u00E7on significative le sens d\u2019un autre \u00E9l\u00E9ment. Dans l\u2019id\u00E9e du caract\u00E8re obligatoire d\u2019un \u00E9l\u00E9ment de phrase, la rection concerne \u00E9galement le pr\u00E9dicat en rapport avec le sujet. Cela concorde avec la notion de valence du verbe. De ce point de vue, seuls les verbes avalents peuvent fonctionner sans sujet (ex. pleuvoir), les autres \u00E9tant au moins monovalents, c\u2019est-\u00E0-dire ayant obligatoirement un sujet. Les verbes bivalents peuvent r\u00E9gir un compl\u00E9ment d\u2019objet et les trivalents \u2013 deux compl\u00E9ments d\u2019objet, au moins l\u2019un de ceux-ci \u00E9tant obligatoire pour certains verbes."@fr . . . . "Larousse-Bordas/VUEF"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "2002"^^ . . . . "fr"@fr . . "Paris"@fr . . . . . . . . . . . . . . . "Government (linguistics)"@en . . "Jean"@fr . "30371"^^ . . . . . . . . . . . . "En grammaire traditionnelle, la rection est, dans certaines langues, un processus par lequel, dans un rapport syntaxique de subordination, un mot (le r\u00E9gissant) impose \u00E0 un autre mot (le r\u00E9gi) un certain moyen de r\u00E9alisation du rapport. Ce moyen d\u00E9pend de la langue en question et du sens du r\u00E9gissant, pouvant \u00EAtre de nature seulement analytique (une adposition), seulement synth\u00E9tique (une certaine d\u00E9sinence casuelle) ou analytique et synth\u00E9tique \u00E0 la fois. Le r\u00E9gissant est en g\u00E9n\u00E9ral un mot subordonnant \u00E0 sens lexical (verbe, nom, adjectif ou adverbe), et le r\u00E9gi un nom ou un pronom. On consid\u00E8re comme des r\u00E9gissants les adpositions aussi, bien qu\u2019elles soient des mots-outils, donc non subordonnants par eux-m\u00EAmes, parce que, dans les langues \u00E0 d\u00E9clinaison, elles peuvent imposer une certain"@fr . "183850028"^^ . . "12412127"^^ . . . . . . . . . . . . . . . .