. . . . . . . . . . "\u5BDF\u7F55\u5E16\u6728\u513F"@fr . . . . . . . . . . "" . . . . . "13252"^^ . . . . . . . . . "Rebeli\u00E3o dos Turbantes Vermelhos"@pt . . . . . . . . . . . . . "\u5B5B\u7F57\u5E16\u6728\u513F"@fr . . . . . . . "\u7D05\u5DFE\u4E4B\u4E82"@fr . "R\u00E9volte des Turbans rouges"@fr . "1218671"^^ . . "Revolta dels turbants vermells"@ca . "\u501A\u5929\u5C60\u9F8D\u8A18"@fr . . . . . . "troupes des Turbans rouges"@fr . . . "\u8CC8\u9B6F"@fr . . . . "Notes sur \u00AB Profiter du ciel pour abattre le dragon \u00BB"@fr . . . "h\u00F3ngj\u012Bn zh\u012B lu\u00E0n"@fr . . "o"@fr . . "1351"^^ . . . . "Vall\u00E9e du Yangzi Jiang"@fr . "\u4E5F\u5148\u5E16\u6728\u513F"@fr . "Red Turban Rebellions"@en . . . . . . . "y\u01D0 ti\u0101n t\u00FA l\u00F3ng j\u00EC"@fr . . "Revuelta de los Turbantes Rojos"@es . . . . "180390545"^^ . . . . . . "Li Siqi"@fr . . . . . . . . "renversement de la Dynastie Yuan, fondation de la Dynastie Ming"@fr . . . . . "Boluo Tem\u00FCr"@fr . . . . "zh"@fr . "R\u00E9partition des arm\u00E9es les plus importantes des Turban rouge et des seigneurs de guerre du Yuan"@fr . "Rote Turbane"@de . . . . . . . . . . "Esen Tem\u00FCr"@fr . "Tsagaan T\u00F6m\u00F6r"@fr . . . . . ""@fr . . . . . . "Jialu"@fr . . "R\u00E9partition des arm\u00E9es les plus importantes des Turban rouge et des seigneurs de guerre du Yuan"@fr . "renversement de laDynastie Yuan, fondation de laDynastie Ming" . . "Turbants Roges"@oc . "\u674E\u601D\u9F50"@fr . . . . "Rode Hoofdbanden"@nl . . . . . "Chahan Temur"@fr . . "La r\u00E9volte des Turbans rouges (chinois traditionnel : \u7D05\u5DFE\u4E4B\u4E82 ; pinyin : h\u00F3ngj\u012Bn zh\u012B lu\u00E0n) (1351 \u2014 1368) est un ensemble de r\u00E9bellions de la fin de la dynastie Yuan, mongole, en Chine qui en pr\u00E9cipit\u00E8rent la chute. On la fait traditionnellement d\u00E9buter en 1351 par le soul\u00E8vement au Hebei et en Anhui de Han Shantong (\u97D3\u5C71\u7AE5) et Liu Futong (\u5289\u798F\u901A), chefs d\u2019une secte de la lign\u00E9e du Lotus blanc. Elle doit son nom aux foulards rouges que leurs troupes portaient. Des chefs rebelles se r\u00E9clamant du mouvement \u2014 en fait des seigneurs de guerre ind\u00E9pendants \u2014 se d\u00E9clar\u00E8rent bient\u00F4t dans d\u2019autres r\u00E9gions de Chine. Durant pr\u00E8s de 20 ans, les Turbans rouges bataillent aussi bien entre eux que contre les troupes mongoles et leurs alli\u00E9s locaux. Les g\u00E9n\u00E9raux Yuan eux-m\u00EAmes se d\u00E9tachent progressivement du pouvoir central \u00E0 partir de 1354, combattant plus pour leur propre compte que pour celui de l\u2019empereur. Zhu Yuanzhang, qui rejoint le mouvement en 1352, sortira vainqueur de la m\u00EAl\u00E9e et fondera en 1368 la dynastie Ming apr\u00E8s la prise de Dadu (\u5927\u90FD). Les principaux g\u00E9n\u00E9raux imp\u00E9riaux luttant contre les rebelles furent Hesi (\u8D6B\u5EDD), Tuchi (\u79BF\u8D64), (zh) (\u4E5F\u5148\u5E16\u6728\u513F/\u4E5F\u5148\u5E16\u6728\u5152), Kuanchege (\u5BEC\u5FB9\u54E5), (zh) (\u8CC8\u9B6F), (zh) (\u0411\u044D\u044D\u0440 \u0422\u04E9\u043C\u04E9\u0440/Beer T\u00F6m\u00F6r ou \u0411\u044D\u044D\u0440\u0443 \u0422\u04E9\u043C\u04E9\u0440/Beeru T\u00F6m\u00F6r, \u5B5B\u7F57\u5E16\u6728\u513F/\u5B5B\u7F85\u5E16\u6728\u5152) ; ils re\u00E7urent l'aide de potentats locaux comme Dashibadulu (\u7B54\u5931\u516B\u90FD\u9B6F), le Ou\u00EFgour (zh) (\u0426\u0430\u0433\u0430\u0430\u043D\u0442\u04E9\u043C\u04E9\u0440, \u5BDF\u7F55\u5E16\u6728\u513F/\u5BDF\u7F55\u5E16\u6728\u5152) et les Hans (zh) (\u674E\u601D\u9F50/\u674E\u601D\u9F4A) et Zhang Liangbi (\u5F35\u826F\u5F3C). Cet \u00E9pisode de l'histoire chinoise a \u00E9t\u00E9 popularis\u00E9 dans la culture moderne sinophone par un roman du c\u00E9l\u00E8bre auteur de litt\u00E9rature de kung-fu Jin Yong L'\u00E9p\u00E9e c\u00E9leste et le sabre du dragon (\u501A\u5929\u5C60\u9F8D\u8A18, y\u01D0 ti\u0101n t\u00FA l\u00F3ng j\u00EC, \u00AB Notes sur \u00AB Profiter du ciel pour abattre le dragon \u00BB \u00BB)"@fr . . . . . "\u0412\u043E\u0441\u0441\u0442\u0430\u043D\u0438\u0435 \u041A\u0440\u0430\u0441\u043D\u044B\u0445 \u043F\u043E\u0432\u044F\u0437\u043E\u043A"@ru . . "La r\u00E9volte des Turbans rouges (chinois traditionnel : \u7D05\u5DFE\u4E4B\u4E82 ; pinyin : h\u00F3ngj\u012Bn zh\u012B lu\u00E0n) (1351 \u2014 1368) est un ensemble de r\u00E9bellions de la fin de la dynastie Yuan, mongole, en Chine qui en pr\u00E9cipit\u00E8rent la chute. On la fait traditionnellement d\u00E9buter en 1351 par le soul\u00E8vement au Hebei et en Anhui de Han Shantong (\u97D3\u5C71\u7AE5) et Liu Futong (\u5289\u798F\u901A), chefs d\u2019une secte de la lign\u00E9e du Lotus blanc. Elle doit son nom aux foulards rouges que leurs troupes portaient. Des chefs rebelles se r\u00E9clamant du mouvement \u2014 en fait des seigneurs de guerre ind\u00E9pendants \u2014 se d\u00E9clar\u00E8rent bient\u00F4t dans d\u2019autres r\u00E9gions de Chine. Durant pr\u00E8s de 20 ans, les Turbans rouges bataillent aussi bien entre eux que contre les troupes mongoles et leurs alli\u00E9s locaux. Les g\u00E9n\u00E9raux Yuan eux-m\u00EAmes se d\u00E9tachent progressivement du pouvoi"@fr . . . . . . . . . . . . . . "Qu\u00E2n Kh\u0103n \u0110\u1ECF"@vi .