. . . . . . . "\u96D9\u5411\u53CD\u5C04\u5206\u4F48\u51FD\u6578"@zh . . . . . . . "Dans de nombreux probl\u00E8mes de transferts thermiques ou en rendu pour la g\u00E9n\u00E9ration d'images de synth\u00E8se il est n\u00E9cessaire de caract\u00E9riser la r\u00E9flexion d'une surface. Le cas le plus simple est la r\u00E9flexion sp\u00E9culaire d\u00E9crite par les lois de Fresnel mais qui ne s'adresse qu'\u00E0 des surfaces parfaites. De telles surfaces sont r\u00E9alis\u00E9es dans divers domaines technologiques et on peut dans ce cas pr\u00E9dire, outre la r\u00E9flexion, des propri\u00E9t\u00E9s telles que absorptivit\u00E9 ou \u00E9missivit\u00E9. Pour les surfaces complexes (inhomog\u00E8nes, rugueuses, partiellement transparentes, etc.) rencontr\u00E9es dans la vie courante les m\u00E9thodes physiques permettant d'acc\u00E9der aux propri\u00E9t\u00E9s sont inefficaces \u00E0 cause de la complexit\u00E9 de tels probl\u00E8mes. Les propri\u00E9t\u00E9s de r\u00E9flexion sont enti\u00E8rement contenues dans la relation qui relie la luminance incidente et la luminance r\u00E9fl\u00E9chie pour la fr\u00E9quence qui nous int\u00E9resse. Dans ces expressions chaque direction est d\u00E9finie par les angles et qui sont les angles de colatitude (ou angle z\u00E9nithal) et d'azimut (ou longitude) . Pour \u00E9tablir cette relation il faut conna\u00EEtre la fonction de distribution probabiliste pour un photon incident d'\u00EAtre r\u00E9fl\u00E9chi dans l'angle solide autour de . Cette distribution caract\u00E9rise la r\u00E9flectivit\u00E9 bidirectionnelle et s'exprime en sr-1. Elle est souvent d\u00E9sign\u00E9e par son acronyme anglais BRDF (Bidirectional Reflectance Distribution Function). Elle n'est pas normalis\u00E9e (elle ne conserve pas l'\u00E9nergie) pour prendre en compte l'absorption. Le calcul de cette quantit\u00E9 \u00E0 partir de la description g\u00E9om\u00E9trique et des propri\u00E9t\u00E9s du mat\u00E9riau n'est que rarement utilis\u00E9 en raison de sa complexit\u00E9. On se base g\u00E9n\u00E9ralement sur la mesure par un appareil sp\u00E9cifique. Toutefois le r\u00E9sultat brut n'est gu\u00E8re utilisable en l'\u00E9tat en raison de la quantit\u00E9 de donn\u00E9es, en particulier pour les probl\u00E8mes d'infographie. Pour cette raison de nombreuses lois approximatives ont \u00E9t\u00E9 \u00E9labor\u00E9es."@fr . "en"@fr . . . . . "mod\u00E8le de Oren\u2013Nayar"@fr . "173851062"^^ . . . . . . . . "10037625"^^ . "Oren\u2013Nayar reflectance model"@fr . . . "Torrance-Sparrow-Beleuchtungsmodell"@fr . . . . . . . "9435"^^ . . . . . . . . . . . "Bidirectional reflectance distribution function"@it . . . . "Dans de nombreux probl\u00E8mes de transferts thermiques ou en rendu pour la g\u00E9n\u00E9ration d'images de synth\u00E8se il est n\u00E9cessaire de caract\u00E9riser la r\u00E9flexion d'une surface. Le cas le plus simple est la r\u00E9flexion sp\u00E9culaire d\u00E9crite par les lois de Fresnel mais qui ne s'adresse qu'\u00E0 des surfaces parfaites. De telles surfaces sont r\u00E9alis\u00E9es dans divers domaines technologiques et on peut dans ce cas pr\u00E9dire, outre la r\u00E9flexion, des propri\u00E9t\u00E9s telles que absorptivit\u00E9 ou \u00E9missivit\u00E9. Pour les surfaces complexes (inhomog\u00E8nes, rugueuses, partiellement transparentes, etc.) rencontr\u00E9es dans la vie courante les m\u00E9thodes physiques permettant d'acc\u00E9der aux propri\u00E9t\u00E9s sont inefficaces \u00E0 cause de la complexit\u00E9 de tels probl\u00E8mes."@fr . . . . . . "BRDF"@pl . . . . . "R\u00E9flectivit\u00E9 bidirectionnelle"@fr . . . "mod\u00E8le de Torrance-Sparrow"@fr . . . . . . . "de"@fr . . . . . .