. . . . . . . . "Hunden araua"@eu . . . . . "En physique atomique, les r\u00E8gles de Hund se r\u00E9f\u00E8rent \u00E0 un ensemble de r\u00E8gles simples utilis\u00E9es pour d\u00E9terminer quel est le terme spectroscopique fondamental de l'atome consid\u00E9r\u00E9. Elles furent propos\u00E9es par Friedrich Hund. En chimie, la premi\u00E8re de ces r\u00E8gles est particuli\u00E8rement importante, et l'on se r\u00E9f\u00E8re souvent \u00E0 elle seule sous le terme de \u00AB r\u00E8gle de Hund \u00BB. Les trois r\u00E8gles de Hund sont :"@fr . "185009742"^^ . . . . . . . . . . . . "386427"^^ . . . . . "9522"^^ . "\u6D2A\u5FB7\u89C4\u5219"@zh . . . . . . . . . . . "Regel van Hund"@nl . "Regole di Hund"@it . . . . "Regu\u0142a Hunda"@pl . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Quy t\u1EAFc Hund th\u1EE9 nh\u1EA5t"@vi . "R\u00E8gle de Hund"@fr . . . . . . . . . "En physique atomique, les r\u00E8gles de Hund se r\u00E9f\u00E8rent \u00E0 un ensemble de r\u00E8gles simples utilis\u00E9es pour d\u00E9terminer quel est le terme spectroscopique fondamental de l'atome consid\u00E9r\u00E9. Elles furent propos\u00E9es par Friedrich Hund. En chimie, la premi\u00E8re de ces r\u00E8gles est particuli\u00E8rement importante, et l'on se r\u00E9f\u00E8re souvent \u00E0 elle seule sous le terme de \u00AB r\u00E8gle de Hund \u00BB. Les trois r\u00E8gles de Hund sont : 1. \n* Pour une configuration \u00E9lectronique donn\u00E9e, le terme de plus faible \u00E9nergie est celui maximisant le spin total ( maximal), ainsi que la multiplicit\u00E9 qui \u00E9gale . 2. \n* Pour un spin total donn\u00E9, le terme de plus faible \u00E9nergie est celui de plus grande valeur de (moment cin\u00E9tique orbital total). 3. \n* Pour un terme spectroscopique donn\u00E9, dans un atome ayant sa couche externe \u00E0 moiti\u00E9 pleine ou moins, le niveau de plus faible \u00E9nergie est celui minimisant (nombre quantique li\u00E9 au couplage spin-orbite). Dans un atome ayant sa couche externe plus qu'\u00E0 moiti\u00E9 pleine, le niveau de plus faible \u00E9nergie est celui de le plus \u00E9lev\u00E9. Ces r\u00E8gles montrent comment trouver de mani\u00E8re simple le terme spectroscopique fondamental. Elles supposent que le couplage spin-orbite est n\u00E9gligeable devant la r\u00E9pulsion des \u00E9lectrons de la couche externe, mais qu'il est aussi dominant par rapport \u00E0 toutes les autres interactions non prises en compte. On parle alors de r\u00E9gime de couplage spin-orbite. Les orbitales pleines ou les orbitales vides ne contribuent ni au spin total S, ni au moment cin\u00E9tique orbitalaire total L. On peut montrer que dans ces cas l\u00E0, le terme \u00E9lectrostatique r\u00E9siduel (d\u00FB \u00E0 la r\u00E9pulsion \u00E9lectronique) et le couplage spin-orbite, ne peuvent que d\u00E9placer en bloc tous les niveaux d'\u00E9nergie. De ce fait, on ne consid\u00E8re en g\u00E9n\u00E9ral que les \u00E9lectrons de valence pour ordonner les niveaux d'\u00E9nergie."@fr . . . . . . . . . . .