. . . "Who is a Jew?"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "37503"^^ . . . . . "Qui est juif ?"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u00AB \u05DE\u05D9\u05D4\u05D5 \u05D9\u05D4\u05D5\u05D3\u05D9 \u00BB en h\u00E9breu (transcription francophone \u00AB mihou yehoudi ? \u00BB) se traduit en fran\u00E7ais par \u00AB qui est juif ? \u00BB. Cette question donne son nom \u00E0 un ensemble de d\u00E9bats qui eurent lieu au parlement isra\u00E9lien les 9 et 10 f\u00E9vrier 1970, sous le gouvernement de Golda Meir, et qui aboutirent au vote d\u2019un amendement de la loi du retour de 1950 qui garantit \u00E0 tout Juif ainsi qu'\u00E0 son \u00E9ventuelle famille non-juive le droit d'immigrer en Isra\u00EBl (alyah), dans lequel est d\u00E9fini comme Juif tout individu \u00AB n\u00E9 de m\u00E8re juive, ou converti au juda\u00EFsme et ne pratiquant pas une autre religion \u00BB. Depuis la fondation de l'\u00C9tat d'Isra\u00EBl en 1948, cette question \u00AB qui est juif ? \u00BB passa dans le langage courant et r\u00E9apparut \u00E0 plusieurs reprises, provoquant des remous religieux, sociaux et politiques, lorsque plusieurs cas l\u00E9gaux de haute port\u00E9e se produisirent \u00E0 son sujet en Isra\u00EBl. Cette volont\u00E9 de d\u00E9finir la juda\u00EFt\u00E9 en termes objectivables fut critiqu\u00E9e, non seulement du fait de l'\u00E9volution historique permanente de la notion d'identit\u00E9 juive, mais surtout parce qu'elle rappelait les tentatives semblables de caract\u00E9riser \u00AB les Juifs \u00BB selon diff\u00E9rentes approches contestables, entreprises lors des heures les plus sombres de l'histoire du peuple juif, aux temps de l'Inquisition ou du nazisme par exemple. Actuellement, les questions les plus d\u00E9battues au sujet de la juda\u00EFt\u00E9 sont : \n* le statut des enfants issus de mariages mixtes ; \n* la validit\u00E9 du processus de conversion suivi ; \n* le statut de personnes n\u00E9es ou converties \u00E0 d'autres religions."@fr . . . . . . . . . . . . "1399472"^^ . . . "190670629"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Chi \u00E8 ebreo?"@it . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u00AB \u05DE\u05D9\u05D4\u05D5 \u05D9\u05D4\u05D5\u05D3\u05D9 \u00BB en h\u00E9breu (transcription francophone \u00AB mihou yehoudi ? \u00BB) se traduit en fran\u00E7ais par \u00AB qui est juif ? \u00BB. Cette question donne son nom \u00E0 un ensemble de d\u00E9bats qui eurent lieu au parlement isra\u00E9lien les 9 et 10 f\u00E9vrier 1970, sous le gouvernement de Golda Meir, et qui aboutirent au vote d\u2019un amendement de la loi du retour de 1950 qui garantit \u00E0 tout Juif ainsi qu'\u00E0 son \u00E9ventuelle famille non-juive le droit d'immigrer en Isra\u00EBl (alyah), dans lequel est d\u00E9fini comme Juif tout individu \u00AB n\u00E9 de m\u00E8re juive, ou converti au juda\u00EFsme et ne pratiquant pas une autre religion \u00BB."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Ai l\u00E0 ng\u01B0\u1EDDi Do Th\u00E1i?"@vi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Wer ist Jude?"@de . . .