. "Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,\nOu comme cestuy l\u00E0 qui conquit la toison,\nEt puis est retourn\u00E9, plein d\u2019usage et raison,\nVivre entre ses parents le reste de son age !\n\nQuand reverray-je, helas, de mon petit village\nFumer la cheminee, et en quelle saison\nReverray-je le clos de ma pauvre maison,\nQui m\u2019est une province, et beaucoup davantage ? [...]"@fr . . "Et, peut-\u00EAtre, en ta terre o\u00F9 brille l\u2019esp\u00E9rance,\nPur flambeau,\nPour prix de mon exil, tu m\u2019accorderas, France,\nUn tombeau."@fr . "Tour de David, voici votre tour beauceronne. \nC'est l'\u00E9pi le plus dur qui soit jamais mont\u00E9 \nVers un ciel de cl\u00E9mence et de s\u00E9r\u00E9nit\u00E9, \nEt le plus beau fleuron dedans votre couronne. \n\nUn homme de chez nous a fait ici jaillir, \nDepuis le ras du sol jusqu'au pied de la croix \nPlus haut que tous les saints, \nplus haut que tous les rois, \nLa fl\u00E8che irr\u00E9prochable et qui ne peut faillir..."@fr . "Et quand, solennel, le soir\nDes ch\u00EAnes noirs tombera,\nVoix de notre d\u00E9sespoir,\nLe rossignol chantera."@fr . . . . . "Je suis Fran\u00E7ois, dont il me poise\nN\u00E9 de Paris empr\u00E8s Pontoise\nEt de la corde d'une toise\nSaura mon col que mon cul poise"@fr . . . . . . . "Calmes dans le demi-jour\nQue les branches hautes font,\nP\u00E9n\u00E9trons bien notre amour\nDe ce silence profond."@fr . . . . . . "Votre \u00E2me est un paysage choisi\nQue vont charmant masques et bergamasques\nJouant du luth et dansant et quasi\nTristes sous leurs d\u00E9guisements fantasques."@fr . "Puisque ta voix, \u00E9trange\nVision qui d\u00E9range\nEt trouble l'horizon\nDe ma raison."@fr . "Me rendras-tu, rivage basque,\nAvec l\u2019heur envol\u00E9\nEt tes danses dans l\u2019air sal\u00E9,\nDeux yeux, clairs sous le masque."@fr . . . . . . . . . . "Vierzeiler"@de . . "Prince, n\u2019enquerez de sepmaine\nO\u00F9 elles sont, ne de cest an,\nQu\u2019\u00E0 ce refrain ne vous remaine :\nMais o\u00F9 sont les neiges d\u2019antan !"@fr . . . . . . "Le vent de l'autre nuit a jet\u00E9 bas l'Amour\nQui, dans le coin le plus myst\u00E9rieux du parc,\nSouriait en bandant malignement son arc,\nEt dont l'aspect nous fit tant songer tout un jour !\n\nLe vent de l'autre nuit l'a jet\u00E9 bas ! Le marbre\nAu souffle du matin tournoie, \u00E9pars. C'est triste\nDe voir le pi\u00E9destal, o\u00F9 le nom de l'artiste\nSe lit p\u00E9niblement parmi l'ombre d'un arbre. [...]"@fr . . . . . . . . . . . . . . "Un vieux faune de terre cuite\nRit au centre des boulingrins,\nPr\u00E9sageant sans doute une suite\nMauvaise \u00E0 ces instants sereins."@fr . . . . "paru en 1887"@fr . . . . . "Un quatrain est une strophe de quatre vers, qui peut \u00EAtre soit un po\u00E8me ind\u00E9pendant, soit une strophe d'un po\u00E8me plus long.Le quatrain se pr\u00EAte \u00E0 de tr\u00E8s nombreuses combinaisons en jouant sur les m\u00E8tres et sur les rimes, ce qu\u2019ont su exploiter tous les po\u00E8tes, notamment Paul Verlaine dans F\u00EAtes galantes. Il se r\u00E9v\u00E8le d\u2019un emploi extr\u00EAmement vari\u00E9 tout au long de l\u2019histoire litt\u00E9raire malgr\u00E9 son apparente simplicit\u00E9, ce qui fait de lui la strophe de base de la po\u00E9sie fran\u00E7aise."@fr . . . . . "1461"^^ . . . . . . "2542"^^ . . "Quartina (metrica)"@it . . . . . . . "1946"^^ . . . "1776"^^ . . . . . . "C'\u00E9tait, dans la nuit brune,\nSur le clocher jauni,\nLa lune\nComme un point sur un i."@fr . . . . "1929"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "\u00D4 temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices\nSuspendez votre cours !\nLaissez-nous savourer les rapides d\u00E9lices\nDes plus beaux de nos jours !"@fr . . "Le soir tombait, un soir \u00E9quivoque d'automne : \nLes belles, se pendant r\u00EAveuses \u00E0 nos bras, \nDirent alors des mots si sp\u00E9cieux, tout bas, \nQue notre \u00E2me, depuis ce temps, tremble et s'\u00E9tonne."@fr . . . . "Les donneurs de s\u00E9r\u00E9nades\nEt les belles \u00E9couteuses\n\u00C9changent des propos fades\nSous les ramures chanteuses."@fr . . . . "Un cheval s\u2019\u00E9croule au milieu d\u2019une all\u00E9e\nLes feuilles tombent sur lui\nNotre amour frissonne\nEt le soleil aussi."@fr . . "Quatrain"@en . . . "Les hauts talons luttaient avec les longues jupes,\nEn sorte que, selon le terrain et le vent,\nParfois luisaient des bas de jambes, trop souvent\nIntercept\u00E9s ! \u2014 et nous aimions ce jeu de dupes. [...]"@fr . . . . . . . . . . . . "\u00C0 motif que sa fl\u00FBte file\nLe Faune heureux le d\u00E9dia\nSur hollande au bibliophile\nEt haut rimeur H\u00E9r\u00E9dia"@fr . "Voici venir les temps o\u00F9 vibrant sur sa tige\nChaque fleur s'\u00E9vapore ainsi qu'un encensoir;\nLes sons et les parfums tournent dans l'air du soir,\nValse m\u00E9lancolique et langoureux vertige !"@fr . "Mystiques barcarolles,\nRomances sans paroles,\nCh\u00E8re, puisque tes yeux,\nCouleur des cieux, [...]"@fr . "Le temps a laissi\u00E9 son manteau\nDe vent, de froidure et de pluye,\nEt s'est vestu de brouderie,\nDe soleil luyant, cler et beau. [...]"@fr . "15951"^^ . "Premi\u00E8re s\u00E9rie, I. D\u2019\u00C8ve \u00E0 J\u00E9sus, 1859"@fr . "1872"^^ . "1873"^^ . "Elle est retrouv\u00E9e.\nQuoi ? - L'\u00C9ternit\u00E9.\nC'est la mer all\u00E9e\nAvec le soleil."@fr . . . . "1869"^^ . "Le lyon ieune le vieux surmontera,\nEn champ bellique par singulier duelle :\nDans cage d'or les yeux luy creuera,\nDeux classes vne, puis mourir, mort cruelle."@fr . "\u041A\u0430\u0442\u0440\u0435\u043D"@ru . "Quartet (estrofa)"@ca . "Je fis un feu, l'azur m'ayant abandonn\u00E9,\nUn feu pour \u00EAtre son ami,\nUn feu pour m'introduire dans la nuit d'hiver,\nUn feu pour vivre mieux."@fr . . "Anecdotes sur Jean Fr\u00E9ron"@fr . . "1857"^^ . "1918"^^ . "185694370"^^ . . . . "1913"^^ . . . . . "Un quatrain est une strophe de quatre vers, qui peut \u00EAtre soit un po\u00E8me ind\u00E9pendant, soit une strophe d'un po\u00E8me plus long.Le quatrain se pr\u00EAte \u00E0 de tr\u00E8s nombreuses combinaisons en jouant sur les m\u00E8tres et sur les rimes, ce qu\u2019ont su exploiter tous les po\u00E8tes, notamment Paul Verlaine dans F\u00EAtes galantes. Il se r\u00E9v\u00E8le d\u2019un emploi extr\u00EAmement vari\u00E9 tout au long de l\u2019histoire litt\u00E9raire malgr\u00E9 son apparente simplicit\u00E9, ce qui fait de lui la strophe de base de la po\u00E9sie fran\u00E7aise."@fr . . . . . . "paru en 1853"@fr . . . "Booz s'\u00E9tait couch\u00E9 de fatigue accabl\u00E9 ;\nIl avait tout le jour travaill\u00E9 dans son aire ;\nPuis avait fait son lit \u00E0 sa place ordinaire ;\nBooz dormait aupr\u00E8s des boisseaux pleins de bl\u00E9."@fr . . . "L'autre jour au fond d'un vallon,\nUn serpent piqua Jean Fr\u00E9ron ;\nQue croyez-vous qu'il arriva ?\nCe fut le serpent qui creva."@fr . "1820"^^ . . . . . . "\u56DB\u884C\u9023"@ja . . "Pedergwerzenn"@br . . . . . . . . . . . "Votre \u00E2me est un paysage choisi\nQue vont charmant masques et bergamasques\nJouant du luth et dansant et quasi\nTristes sous leurs d\u00E9guisements fantasques. [...]"@fr . . . . "Quatrain"@fr . . . . . "1558"^^ . . "1555"^^ . "Un singe en veste de brocart\nTrotte et gambade devant elle\nQui froisse un mouchoir de dentelle\nDans sa main gant\u00E9e avec art."@fr . . . . . . "L\u00E0 ! Je me tue \u00E0 vos genoux !\nCar ma d\u00E9tresse est infinie,\nEt la tigresse \u00E9pouvantable d'Hyrcanie\nEst une agnelle au prix de vous."@fr .