. "En biologie, on parle de population relique lorsqu'une population d'une esp\u00E8ce subsiste dans une zone \u00E9loign\u00E9e de la r\u00E9partition actuelle habituelle de l'esp\u00E8ce, \u00E0 la suite de modifications des conditions de vie, pour des raisons climatiques ou d'autres origines. La population relique constitue souvent, de par son \u00E9volution, une sous-esp\u00E8ce distincte de celle(s) des autres populations de l'esp\u00E8ce. Elle peut \u00EAtre menac\u00E9e de par son isolement ou les modifications de son \u00E9cosyst\u00E8me."@fr . . . . . . . . . . . "Population relique"@fr . . . . . . . . "187652140"^^ . . . . . . . . . . . . . "12437436"^^ . . . . . . "En biologie, on parle de population relique lorsqu'une population d'une esp\u00E8ce subsiste dans une zone \u00E9loign\u00E9e de la r\u00E9partition actuelle habituelle de l'esp\u00E8ce, \u00E0 la suite de modifications des conditions de vie, pour des raisons climatiques ou d'autres origines. Des modifications importantes des conditions d'existence ont pu s\u00E9parer des populations d'une esp\u00E8ce qui finissent par \u00EAtre isol\u00E9es les unes des autres \u00E0 des distances parfois consid\u00E9rables. Ces modifications sont par exemple celles qui ont suivi les glaciations, en Europe, en Asie ou en Am\u00E9rique du Nord, les changements intervenus au Pl\u00E9istoc\u00E8ne en Afrique, ou encore les interventions humaines, par la destruction des habitats ou la chasse (par exemple, l'ours dans les Pyr\u00E9n\u00E9es). On peut \u00E9galement parler de populations reliques pour les rares vignes europ\u00E9ennes qui ont \u00E9chapp\u00E9 au phylloxera. La population relique constitue souvent, de par son \u00E9volution, une sous-esp\u00E8ce distincte de celle(s) des autres populations de l'esp\u00E8ce. Elle peut \u00EAtre menac\u00E9e de par son isolement ou les modifications de son \u00E9cosyst\u00E8me."@fr . . . . . . . "10307"^^ . . . . . .