. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "190026341"^^ . . . . "Un op\u00E9ra de chambre, ou kammeroper, est un op\u00E9ra destin\u00E9 \u00E0 \u00EAtre jou\u00E9 par un ensemble de chambre (et non par un orchestre complet). Les premiers op\u00E9ras, comme La serva padrona de Pergol\u00E8se (1733) peuvent appartenir \u00E0 cette cat\u00E9gorie."@fr . "Op\u00E9ra de chambre"@fr . . . . . "Un op\u00E9ra de chambre, ou kammeroper, est un op\u00E9ra destin\u00E9 \u00E0 \u00EAtre jou\u00E9 par un ensemble de chambre (et non par un orchestre complet). Les premiers op\u00E9ras, comme La serva padrona de Pergol\u00E8se (1733) peuvent appartenir \u00E0 cette cat\u00E9gorie. Au vingti\u00E8me si\u00E8cle, cette d\u00E9nomination peut s'employer pour Savitri de Gustav Holst (1916) et Cardillac de Paul Hindemith (1926). Benjamin Britten composa des \u0153uvres de cette cat\u00E9gorie dans les ann\u00E9es 1940, l'English Opera Group ayant besoin d'\u0153uvres pouvant facilement \u00EAtre jou\u00E9es en tourn\u00E9e. The Rape of Lucretia (1946), puis Albert Herring (1947), The Turn of the Screw (1954) et Curlew River (1964) sont des op\u00E9ras de chambre de Britten. D'autres compositeurs, dont Hans Werner Henze, Harrison Birtwistle, Thomas Ad\u00E8s, George Benjamin, William Walton et Philip Glass \u00E9crivirent dans ce genre. Arianne \u00E0 Naxos de Richard Strauss en constitue un autre exemple. Le choix est \u00E0 la fois motiv\u00E9 par des raisons artistiques et \u00E9conomiques. Certains lieux sont consacr\u00E9s \u00E0 l'op\u00E9ra de chambre : les Kammeroper de Vienne ou de Berlin. L'instrumentation des op\u00E9ras de chambre varie : Britten composa The Rape of Lucretia pour huit chanteurs avec cordes simples et vent, piano, harpe et percussions. The Diary of a Madman (1958) de Humphrey Searle est \u00E9crit pour quatre voix et un orchestre de cordes simples, bois et cuivres, avec deux percussionnistes . Une bande \u00E9lectronique est \u00E9galement sp\u00E9cifi\u00E9e pour produire des effets sonores particuliers. Judith Weir compose un op\u00E9ra, King's Harakd Saga (1979), pour une seule voix de soprano, interpr\u00E9tant plusieurs r\u00F4les."@fr . . . . . . . . . . . . . "Opera da camera"@it . . "Chamber opera"@en . . . . . . . . . . . "2684"^^ . . . . . . . . "14510028"^^ .