. . . . . . . "Olivier Tallaron est un journaliste sportif fran\u00E7ais officiant sur Canal+. Ayant grandi en r\u00E9gion parisienne, Tallaron se rend au Parc des Princes durant sa jeunesse avec son p\u00E8re. Il joue au foot de 7 \u00E0 20 ans, notamment \u00E0 Saint-Ouen-l'Aum\u00F4ne (Val-d'Oise) o\u00F9 il c\u00F4toie \u00C9ric Rab\u00E9sandratana, joueur du PSG entre 1997 et 2001. N'ayant pas les qualit\u00E9s suffisantes pour devenir footballeur professionnel, il se dirige finalement vers le journalisme sportif. Apr\u00E8s un passage dans une radio locale parisienne et \u00E0 La Gazette du Val-d'Oise, il fait ses d\u00E9buts \u00E0 la t\u00E9l\u00E9vision sur InfoSport o\u00F9 il pr\u00E9sente Le journal des clubs entre 2003 et 2008, du lundi au vendredi. \u00C0 la suite du rachat de la cha\u00EEne par Canal+ en 2007, il rejoint l'\u00E9quipe du Canal Football Club l'ann\u00E9e suivante, peu apr\u00E8s le lancement de l'\u00E9mission. Il est alors charg\u00E9 de capturer des moments de vie des clubs de Ligue 1. En parall\u00E8le, il anime 20h Foot \u00E0 partir de 2008 sur I-T\u00E9l\u00E9 pendant deux ans. Puis de septembre 2010 \u00E0 juin 2011, il pr\u00E9sente Les Sp\u00E9cialistes chaque mercredi \u00E0 19h40 sur Canal+Sport. Depuis septembre 2013, Olivier Tallaron r\u00E9alise les interviews en bord de terrain \u00E0 l'instar de Laurent Paganelli (son coll\u00E8gue sur Canal+) pour le match de Ligue 1 le samedi \u00E0 17h00 et de Ligue des champions. Surnomm\u00E9 le \u00AB fonceur de Canal + \u00BB, le journaliste est connu pour son profil \u00AB rentre-dedans \u00BB au \u00AB style offensif \u00BB qui \u00AB s'affranchit souvent des convenances pour d\u00E9crocher une interview \u00BB selon le quotidien sportif L'\u00C9quipe. Son poste d'homme de terrain lui ont d'ailleurs fait conna\u00EEtre quelques \u00E9pisodes particuliers. En f\u00E9vrier 2013, il parvient \u00E0 poser une question \u00E0 David Beckham, tout juste arriv\u00E9 \u00E0 Paris, sur le banc des rempla\u00E7ants. Surpris par la d\u00E9marche du journaliste, le joueur anglais lui r\u00E9pondra finalement de fa\u00E7on br\u00E8ve. \u00AB Il n'\u00E9tait pas du tout au courant qu'une telle pratique existe en France \u00BB confiera le journaliste apr\u00E8s le match. Un an plus tard, Olivier Tallaron se fait s\u00E9v\u00E8rement r\u00E9primander par l'attaquant du PSG, Zlatan Ibrahimovic, apr\u00E8s avoir bouscul\u00E9 involontairement le fils du su\u00E9dois lors de la c\u00E9l\u00E9bration du titre du club de la capitale au Parc des Princes. Une s\u00E9quence qui fera le buzz sur les r\u00E9seaux sociaux. En janvier 2015, lors de la rencontre PSG-Bastia, apr\u00E8s avoir demand\u00E9 \u00E0 Ghislain Printant, entra\u00EEneur de Bastia, sa tactique, il la r\u00E9v\u00E8le aupr\u00E8s de Laurent Blanc, entra\u00EEneur parisien, et se fait pi\u00E9ger. Il est amen\u00E9 r\u00E9guli\u00E8rement \u00E0 couvrir les rencontres du Paris-Saint-Germain dont il est supporter. Ses interviews avec Laurent Blanc, ancien entra\u00EEneur du PSG, ont d'ailleurs \u00E9t\u00E9 tourn\u00E9es en d\u00E9rision par l'\u00E9mission J+1 o\u00F9 il \u00E9tait pr\u00E9sent\u00E9 comme une victime des saillies verbales de l'entra\u00EEneur. Depuis 2017, il tient une rubrique \u00AB Sign\u00E9 Tallal \u00BB diffus\u00E9e en avant-match sur Canal+ o\u00F9 il interview une personnalit\u00E9 actuelle ou pass\u00E9e de la Ligue 1."@fr . . "Olivier Tallaron"@fr . . . "5131"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "5137573"^^ . . . . . . . . "183485960"^^ . . "Olivier Tallaron est un journaliste sportif fran\u00E7ais officiant sur Canal+. Ayant grandi en r\u00E9gion parisienne, Tallaron se rend au Parc des Princes durant sa jeunesse avec son p\u00E8re. Il joue au foot de 7 \u00E0 20 ans, notamment \u00E0 Saint-Ouen-l'Aum\u00F4ne (Val-d'Oise) o\u00F9 il c\u00F4toie \u00C9ric Rab\u00E9sandratana, joueur du PSG entre 1997 et 2001. N'ayant pas les qualit\u00E9s suffisantes pour devenir footballeur professionnel, il se dirige finalement vers le journalisme sportif."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . .