. . . . . . . . . "146958557"^^ . . . . "Quantenzahl"@de . . . . . . . . "N\u00FAmero cu\u00E1ntico azimutal"@es . . "Nombre quantique secondaire"@fr . . . . . . "\u0639\u062F\u062F \u0643\u0645 \u0645\u062F\u0627\u0631\u064A"@ar . . . . . . . . . . . . . . "En m\u00E9canique quantique, le nombre quantique secondaire, not\u00E9 \u2113, \u00E9galement appel\u00E9 nombre quantique azimutal, est l'un des quatre nombres quantiques d\u00E9crivant l'\u00E9tat quantique d'un \u00E9lectron dans un atome. Il s'agit d'un nombre entier positif ou nul li\u00E9 au nombre quantique principal n par la relation : 0 \u2264 \u2113 \u2264 n \u2013 1. Il correspond au moment angulaire orbital de l'\u00E9lectron, et d\u00E9finit les sous-couches \u00E9lectroniques des atomes, tandis que le nombre quantique principal n d\u00E9finit les couches \u00E9lectroniques. Il a \u00E9t\u00E9 introduit par Arnold Sommerfeld \u00E0 partir du mod\u00E8le de Bohr de l'atome d'hydrog\u00E8ne et rend compte de la structure fine du spectre de l'atome d'hydrog\u00E8ne."@fr . "4858"^^ . . . . . . . "1038416"^^ . . . . . . . "En m\u00E9canique quantique, le nombre quantique secondaire, not\u00E9 \u2113, \u00E9galement appel\u00E9 nombre quantique azimutal, est l'un des quatre nombres quantiques d\u00E9crivant l'\u00E9tat quantique d'un \u00E9lectron dans un atome. Il s'agit d'un nombre entier positif ou nul li\u00E9 au nombre quantique principal n par la relation : 0 \u2264 \u2113 \u2264 n \u2013 1. Il correspond au moment angulaire orbital de l'\u00E9lectron, et d\u00E9finit les sous-couches \u00E9lectroniques des atomes, tandis que le nombre quantique principal n d\u00E9finit les couches \u00E9lectroniques. Il a \u00E9t\u00E9 introduit par Arnold Sommerfeld \u00E0 partir du mod\u00E8le de Bohr de l'atome d'hydrog\u00E8ne et rend compte de la structure fine du spectre de l'atome d'hydrog\u00E8ne. L'op\u00E9rateur de moment cin\u00E9tique L de l'\u00E9lectron dans un atome est li\u00E9 au nombre \u2113 par la relation : L2 \u03A8 = \u210F2 \u2113(\u2113 + 1) \u03A8, o\u00F9 \u210F est la constante de Planck r\u00E9duite et \u03A8 la fonction d'onde de l'\u00E9lectron. Les sous-couches \u00E9lectroniques sont d\u00E9sign\u00E9es par des lettres d\u00E9pendant du nombre \u2113 issues, pour les quatre premi\u00E8res, d'une d\u00E9nomination historique h\u00E9rit\u00E9e de la spectroscopie des m\u00E9taux alcalins, et pour les suivantes de l'ordre alphab\u00E9tique excluant les quatre premi\u00E8res ainsi que la lettre j : Chaque sous-couche peut recevoir au plus 2(2\u2113 + 1) \u00E9lectrons. Le nombre \u2113 conditionne \u00E9galement le nombre de plans nodaux des orbitales atomiques traversant le noyau atomique. Pour \u2113 = 0 (sous-couche de type s), aucun plan nodal ne traverse le noyau, de sorte que l'orbitale est sph\u00E9rique. Le moment angulaire de l'\u00E9lectron est alors nul, et de telles orbitales \u00E9taient de ce fait qualifi\u00E9es de pendulaires au d\u00E9but du si\u00E8cle dernier. Pour \u2113 = 1 (sous-couche de type p), un plan nodal traverse le noyau, et les orbitales prennent la forme d'halt\u00E8res, avec deux lobes. Le nombre quantique de moment angulaire total, not\u00E9 j, est li\u00E9 \u00E0 \u2113 \u00E0 travers le vecteur de moment angulaire total J par les relations : J = L + S| J | = \u221Aj ( j + 1 ) \u210F o\u00F9 L est le vecteur de moment angulaire, S le vecteur de spin de l'\u00E9lectron, et \u210F la constante de Planck r\u00E9duite."@fr . . . . . . . . "\u041E\u0440\u0431\u0438\u0442\u0430\u043B\u044C\u043D\u043E\u0435 \u043A\u0432\u0430\u043D\u0442\u043E\u0432\u043E\u0435 \u0447\u0438\u0441\u043B\u043E"@ru . . . . . . . . . . "\u89D2\u91CF\u5B50\u6570"@zh . . . . . . . . . . . . "N\u00FAmero qu\u00E2ntico secund\u00E1rio"@pt . . . . "Poboczna liczba kwantowa"@pl . . . . . . .