. . . . . . . . . "Mona Rudao (chinois : \u83AB\u90A3\u00B7\u9C81\u9053 ; pinyin : m\u00F2n\u00E0 l\u01D4d\u00E0o, ou encore, Mona Rudo, n\u00E9 le 21 mai 1880, d\u00E9c\u00E9d\u00E9 le 5 novembre 1930) \u00E9tait le fils d\u2019un chef de tribu Seedeq. En 1911, il fit une visite au Japon. Il succ\u00E9da \u00E0 son p\u00E8re en tant que chef du village de Mehebu (\u99AC\u8D6B\u5761\u793E) et devint l\u2019un des chefs les plus influents de la r\u00E9gion de Baran (\u9727\u793E, w\u00F9sh\u00E8). Il est surtout connu pour avoir men\u00E9 en 1930 dans le comt\u00E9 de Nantou la r\u00E9volte de Wushe (\u9727\u793E\u4E8B\u4EF6) contre les autorit\u00E9s japonaises. Il finit par se donner la mort lors de cette r\u00E9volte pour \u00E9viter que les Japonais ne le capturent vivant."@fr . . . . "\u83AB\u90A3\u00B7\u9C81\u9053"@fr . . "w\u00F9sh\u00E8"@fr . . . . . . . . "\u9727\u793E\u4E8B\u4EF6\u7D00\u5FF5\u516C\u5712"@fr . . . . . . . . . . . . . "\u9727\u793E"@fr . . . "W\u00F9sh\u00E8 Sh\u00ECji\u00E0n J\u00ECni\u00E0n G\u014Dngyu\u00E1n"@fr . . . . . "\u30E2\u30FC\u30CA\u30FB\u30EB\u30C0\u30AA"@ja . . . . . . . "2248"^^ . . "Mona Rudao (chinois : \u83AB\u90A3\u00B7\u9C81\u9053 ; pinyin : m\u00F2n\u00E0 l\u01D4d\u00E0o, ou encore, Mona Rudo, n\u00E9 le 21 mai 1880, d\u00E9c\u00E9d\u00E9 le 5 novembre 1930) \u00E9tait le fils d\u2019un chef de tribu Seedeq. En 1911, il fit une visite au Japon. Il succ\u00E9da \u00E0 son p\u00E8re en tant que chef du village de Mehebu (\u99AC\u8D6B\u5761\u793E) et devint l\u2019un des chefs les plus influents de la r\u00E9gion de Baran (\u9727\u793E, w\u00F9sh\u00E8). Il est surtout connu pour avoir men\u00E9 en 1930 dans le comt\u00E9 de Nantou la r\u00E9volte de Wushe (\u9727\u793E\u4E8B\u4EF6) contre les autorit\u00E9s japonaises. Il finit par se donner la mort lors de cette r\u00E9volte pour \u00E9viter que les Japonais ne le capturent vivant. Ses restes furent retrouv\u00E9s en 1933 et emmen\u00E9s au d\u00E9partement d'arch\u00E9ologie de l'Universit\u00E9 imp\u00E9riale o\u00F9 ils furent exhib\u00E9s. Apr\u00E8s le retour de l'\u00EEle \u00E0 la R\u00E9publique de Chine, ils furent remis\u00E9s dans un entrep\u00F4t de l'universit\u00E9, et ce n\u2019est qu'en 1974 qu'ils furent enterr\u00E9s au Parc comm\u00E9moratif de Wushe (\u9727\u793E\u4E8B\u4EF6\u7D00\u5FF5\u516C\u5712, W\u00F9sh\u00E8 Sh\u00ECji\u00E0n J\u00ECni\u00E0n G\u014Dngyu\u00E1n) \u00E0 Ren'ai, comt\u00E9 de Nantou. Longtemps, la r\u00E9volte de Wushe ainsi que Mona Rudao furent r\u00E9cup\u00E9r\u00E9s par les autorit\u00E9s de Taiwan \u00E0 des fins de propagande comme exemples de la r\u00E9sistance aux Japonais. En effet, bien que Mona Rudao ne se soit pas battu contre les Japonais pour d\u00E9fendre une quelconque int\u00E9grit\u00E9 de Ta\u00EFwan ou de la Chine, mais seulement pour d\u00E9fendre son peuple et sa culture, il est consid\u00E9r\u00E9 comme un h\u00E9ros national. Il est le h\u00E9ros du film Seediq Bale, adapt\u00E9 de la BD ta\u00EFwanaise \u00E9ponyme"@fr . . . "168088998"^^ . . "\u83AB\u90A3\u00B7\u9B6F\u9053"@zh . . . "Mona Rudao"@fr . . . . "o"@fr . . . . . "m\u00F2n\u00E0 l\u01D4d\u00E0o"@fr . . . "779642"^^ . . . . .