. "Le nom Latin Milites ou Miles, indiquant \u00E0 l'origine les corps de l'infanterie de , a \u00E9t\u00E9 utilis\u00E9 au Moyen \u00C2ge pour d\u00E9signer des hommes libres pour utiliser des armes, dont la classe sociale de la , chevaliers et, en totalit\u00E9, la v\u00E9ritable origine de la noblesse. Voir par exemple la vicomt\u00E9 de S\u00E9gur."@fr . . . . "Le nom Latin Milites ou Miles, indiquant \u00E0 l'origine les corps de l'infanterie de , a \u00E9t\u00E9 utilis\u00E9 au Moyen \u00C2ge pour d\u00E9signer des hommes libres pour utiliser des armes, dont la classe sociale de la , chevaliers et, en totalit\u00E9, la v\u00E9ritable origine de la noblesse. Oratores, bellatores e laboratores ils \u00E9taient traditionnellement les trois fonctions dans lesquelles les individus \u00E9taient divis\u00E9s dans la soci\u00E9t\u00E9 autour de , ainsi que t\u00E9moign\u00E9 par l'\u00E9v\u00EAque Adalb\u00E9ron de Laon. Les premiers priaient pour la stabilit\u00E9 et la s\u00E9curit\u00E9 du monde chr\u00E9tien, les seconds se battaient, tandis que les tiers, par le travail manuel, pourvoyaient \u00E0 la subsistance de toute la soci\u00E9t\u00E9. Au XIe si\u00E8cle, chaque grand seigneur, pour renforcer son contr\u00F4le sur la seigneurie, va s'entourer de liens vassaliques. Il a en effet besoin d'hommes, de professionnels de la guerre : les bellatores ou milites. Pour s'assurer de leurs fid\u00E9lit\u00E9s, il leur offre des b\u00E9n\u00E9fices : honneurs ou terres. Ainsi on va voir des chevaliers vassaux qui vont habiter dans les ch\u00E2teaux du seigneur qui va les entretenir (milites castri). La valeur des Milites, en tant que chevaliers de la Cavalerie M\u00E9di\u00E9vale est d'ailleurs document\u00E9e par la m\u00E9tamorphose et, plus tard, par la sublimation du r\u00F4le de la cavalerie: au d\u00E9part les chevaliers \u00E9taient les fils des riches cadets [ seigneurs f\u00E9odaux], qui ont \u00E9t\u00E9 envoy\u00E9s pour se battre dans l'arm\u00E9e si le fief avait d\u00E9j\u00E0 \u00E9t\u00E9 h\u00E9rit\u00E9 par le fils a\u00EEn\u00E9. La figure du chevalier resta alors, au moins jusqu'au XIe si\u00E8cle, celle d'un \u00ABvoleur\u00BB \u00ABrude et guerrier, qui se battait principalement pour lui-m\u00EAme et pour son prestige.Quand cependant, dans , les clercs, inquiets de leur violence et de leurs raids, les enr\u00F4leront en les orientant vers un but plus grand: la d\u00E9fense de . Gr\u00E2ce \u00E0 ce ph\u00E9nom\u00E8ne, les chevaliers devinrent de plus en plus protecteurs du christianisme et leur embl\u00E8me fut \u00E9lev\u00E9 au mod\u00E8le du \u00ABcrois\u00E9\u00BB, qui lutte pour une cause commune \u00E0 tous. Vers le XIIe si\u00E8cle, le chevalier a chang\u00E9 son r\u00F4le pour devenir chevalier-po\u00E8te, raffinant sa culture et se distinguant non seulement pour ses capacit\u00E9s militaires. Voir par exemple la vicomt\u00E9 de S\u00E9gur."@fr . . "175164499"^^ . . "Milites castri"@fr . . "in Cahiers de la Haute-Loire 2005"@fr . . . . . . . . "2005"^^ . . . . . "1196932"^^ . . "De l\u2019ancienne \u00E0 la nouvelle noblesse : les milites du vellave"@fr . . . . . . . . . . . "2962"^^ . . . "Le Puy-en-Velay"@fr . . . . .