. . . . . . . . . . . "Les milices conf\u00E9d\u00E9rales regroupent, durant la guerre d'Espagne, les milices anarcho-syndicalistes et anarchistes de la Conf\u00E9d\u00E9ration nationale du travail et de la F\u00E9d\u00E9ration anarchiste ib\u00E9rique. Apr\u00E8s le coup d'\u00C9tat militaire des 17 et 18 juillet 1936 contre le gouvernement r\u00E9publicain, elles jouent un r\u00F4le d\u00E9terminant dans la d\u00E9fense de la R\u00E9publique durant les premiers mois de la guerre civile. Elles prennent \u00E9galement une part active \u00E0 la r\u00E9volution sociale."@fr . . . . . . "Mil\u00EDcies confederals"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . "184851659"^^ . . . . . "17631"^^ . . . . . . . . . . . . "Milices conf\u00E9d\u00E9rales"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "4139218"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les milices conf\u00E9d\u00E9rales regroupent, durant la guerre d'Espagne, les milices anarcho-syndicalistes et anarchistes de la Conf\u00E9d\u00E9ration nationale du travail et de la F\u00E9d\u00E9ration anarchiste ib\u00E9rique. Apr\u00E8s le coup d'\u00C9tat militaire des 17 et 18 juillet 1936 contre le gouvernement r\u00E9publicain, elles jouent un r\u00F4le d\u00E9terminant dans la d\u00E9fense de la R\u00E9publique durant les premiers mois de la guerre civile. Elles prennent \u00E9galement une part active \u00E0 la r\u00E9volution sociale. Dans ces milices, les volontaires refusent l'uniforme, le salut militaire et autres marques de respect \u00E0 la hi\u00E9rarchie. Les officiers, \u00E9lus, pouvaient se succ\u00E9der rapidement \u00E0 la t\u00EAte d'un groupe et les hommes s'estiment en droit de discuter les ordres et de ne les appliquer que s'ils sont d'accord. Elles sont progressivement int\u00E9gr\u00E9es, \u00E0 partir d'octobre 1936, dans la nouvelle Arm\u00E9e populaire de la R\u00E9publique espagnole, \u00E0 l'int\u00E9rieur des brigades mixtes, m\u00EAme si nombre de miliciens refusent cette \u00AB militarisation \u00BB."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . .