. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Michel Blanc"@es . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Michel Blanc"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Michel Blanc"@en . . . "\u30DF\u30B7\u30A7\u30EB\u30FB\u30D6\u30E9\u30F3"@ja . . . "Les Bronz\u00E9s (s\u00E9rie de films)"@fr . . . . . "Tenue de soir\u00E9e"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Michel Blanc en 2009 \u00E0 l'avant-premi\u00E8re du film" . . . . . . . . . . . . "Michel Blanc"@fr . . . . . . . . . . "Une petite zone de turbulences."@fr . . . . . . ""@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Une petite zone de turbulences." . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Michel Blanc, n\u00E9 le 16 avril 1952 \u00E0 Courbevoie (Hauts-de-Seine), est un acteur, r\u00E9alisateur, sc\u00E9nariste et dialoguiste fran\u00E7ais. R\u00E9v\u00E9l\u00E9 comme acteur comique durant les ann\u00E9es 1970, au sein de la troupe du Splendid, il passe \u00E0 un registre plus dramatique durant les d\u00E9cennies suivantes en \u00E9crivant et r\u00E9alisant trois longs-m\u00E9trages salu\u00E9s par la critique : Marche \u00E0 l'ombre (1984) (nomm\u00E9 au C\u00E9sar de la meilleure premi\u00E8re \u0153uvre 1985), Grosse fatigue (nomm\u00E9 au C\u00E9sar du meilleur sc\u00E9nario original ou adaptation 1995) et Mauvaise passe (1999). En 1986, il re\u00E7oit le prix d'interpr\u00E9tation masculine au Festival de Cannes pour la com\u00E9die noire Tenue de soir\u00E9e, de Bertrand Blier."@fr . . . . . . . . . "Michel Blanc, n\u00E9 le 16 avril 1952 \u00E0 Courbevoie (Hauts-de-Seine), est un acteur, r\u00E9alisateur, sc\u00E9nariste et dialoguiste fran\u00E7ais. R\u00E9v\u00E9l\u00E9 comme acteur comique durant les ann\u00E9es 1970, au sein de la troupe du Splendid, il passe \u00E0 un registre plus dramatique durant les d\u00E9cennies suivantes en \u00E9crivant et r\u00E9alisant trois longs-m\u00E9trages salu\u00E9s par la critique : Marche \u00E0 l'ombre (1984) (nomm\u00E9 au C\u00E9sar de la meilleure premi\u00E8re \u0153uvre 1985), Grosse fatigue (nomm\u00E9 au C\u00E9sar du meilleur sc\u00E9nario original ou adaptation 1995) et Mauvaise passe (1999). En 1986, il re\u00E7oit le prix d'interpr\u00E9tation masculine au Festival de Cannes pour la com\u00E9die noire Tenue de soir\u00E9e, de Bertrand Blier. Par la suite, apr\u00E8s plusieurs performances remarqu\u00E9es dans un registre dramatique (notamment Monsieur Hire (1989) et Les T\u00E9moins (2008)), il re\u00E7oit en 2012 le C\u00E9sar du meilleur acteur dans un second r\u00F4le pour L'Exercice de l'\u00C9tat. Parall\u00E8lement, il \u00E9crit et r\u00E9alise un diptyque port\u00E9 par une distribution chorale : Embrassez qui vous voudrez (nomm\u00E9 au C\u00E9sar du meilleur sc\u00E9nario original ou adaptation 2003) et Voyez comme on danse (2018). Durant sa carri\u00E8re, il a \u00E9t\u00E9 nomm\u00E9 quatre fois au C\u00E9sar du meilleur acteur, deux fois pour des drames et deux fois pour des com\u00E9dies dramatiques."@fr . . . . "Marche \u00E0 l'ombre"@fr . . . . . . . . . "Viens chez moi, j'habite chez une copine"@fr . . . . . . . . . . . "Monsieur Hire"@fr . . . . . . . . . . . . . "R\u00E9alisateur"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "33810"^^ . "Michel Blanc"@pl . . . . . "" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "191380018"^^ . . . . . . . . . . . . "Michel Blanc en 2009 \u00E0 l'avant-premi\u00E8re du film"@fr . . "1641952"^^ . . . "Michel Blanc"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0411\u043B\u0430\u043D, \u041C\u0438\u0448\u0435\u043B\u044C"@ru . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "70531"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "L'Exercice de l'\u00C9tat"@fr . . . . . . . "Fran\u00E7aise"@fr . . . . . . . . . . . . . .