. . . . . . . . . . . . . . . "7959"^^ . . . . "Le mehnd\u012B (de l'hindi ou de l'ourdou \u092E\u0947\u0939\u0928\u094D\u0926\u0940, mehnd\u012B), ou harq\u00FBs (au Maghreb) d\u00E9signe habituellement l'art du dessin fait au henn\u00E9 sur la peau. Le mehndi est un \u00E9quivalent \u00E9ph\u00E9m\u00E8re du tatouage. Il est encore ou \u00E9tait populairement utilis\u00E9 dans divers pays arabo-musulmans (Maghreb en particulier) et dans certaines parties de l'Asie. Au Bangladesh, au Cachemire et au Soudan, cette forme d'art corporel est utilis\u00E9e lors des mariages pour les deux jeunes mari\u00E9s. Au Rajasthan (Inde du nord-ouest), le mehndi est un art \u00AB folklorique \u00BB, et il est courant que les femmes se fassent des dessins aussi raffin\u00E9s que ceux des jeunes mari\u00E9s. Dans le Maghreb (Maroc, Alg\u00E9rie, Tunisie, Mauritanie notamment), le henn\u00E9 faisait traditionnellement partie de l'arsenal de la s\u00E9duction f\u00E9minine, en compl\u00E9ments de tatouages d\u00E9finitifs (faits \u00E0 l'aiguille et utilisant le bleu ergot\u00E9 ou des encres noires), mais outre des fonctions esth\u00E9tiques, il avait aussi des fonctions magiques et protectrices. En effet, certains de ces tatouages \u00E9taient cens\u00E9s non seulement prot\u00E9ger le porteur des esprits mal\u00E9fiques, du mauvais sort ou autre mais pouvaient avoir aussi un but th\u00E9rapeutique. Par exemple, en Afrique du Nord le tatouage de points dispos\u00E9s en forme de croix entre les sourcils \u00E9tait dit att\u00E9nuer ou faire disparaitre les migraines. Aujourd'hui, la plante de henn\u00E9 est utilis\u00E9e dans le traitement des ulc\u00E8res de l'estomac et participe \u00E0 la r\u00E9gularisation de la temp\u00E9rature corporelle."@fr . . . . . . . . . . "Mehndi"@it . . . . . . . . . . . . . "Le mehnd\u012B (de l'hindi ou de l'ourdou \u092E\u0947\u0939\u0928\u094D\u0926\u0940, mehnd\u012B), ou harq\u00FBs (au Maghreb) d\u00E9signe habituellement l'art du dessin fait au henn\u00E9 sur la peau. Le mehndi est un \u00E9quivalent \u00E9ph\u00E9m\u00E8re du tatouage. Il est encore ou \u00E9tait populairement utilis\u00E9 dans divers pays arabo-musulmans (Maghreb en particulier) et dans certaines parties de l'Asie. Au Bangladesh, au Cachemire et au Soudan, cette forme d'art corporel est utilis\u00E9e lors des mariages pour les deux jeunes mari\u00E9s."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "413606"^^ . . "Mehndi"@de . . . . . . . . . . . . . . . . "190476983"^^ . . . . . . . . . . . . . "Mehnd\u012B"@fr . . . . . . .