. . "3436944"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "Maison des enfants de Moissac"@fr . . . "4704"^^ . "La Maison des enfants de Moissac, cr\u00E9\u00E9e \u00E0 l'initiative de Robert Gamzon et situ\u00E9e sur la commune de Moissac en Tarn-et-Garonne au 18, quai du port, est connue pour avoir abrit\u00E9 durant la Seconde Guerre mondiale pr\u00E8s de 500 enfants juifs, des b\u00E9b\u00E9s comme des adolescents, tous sauv\u00E9s de la d\u00E9portation gr\u00E2ce \u00E0 la complicit\u00E9 active de la population de Moissac et particuli\u00E8rement des deux maires qui se sont alors succ\u00E9d\u00E9 \u00E0 Moissac, Roger Delthil et et des artisans de la ville qui emploient en apprentissage les adolescents de la maison. Elle \u00E9tait dirig\u00E9e par Shatta et Bouli Simon, un couple d'\u00E9claireurs isra\u00E9lites de France. Fin novembre 1943, devant l'intensification des rafles allemandes, la maison est dissoute mais tous les enfants trouvent un refuge, souvent dans les familles ou les \u00E9coles religieuses alentour ou parviennent \u00E0 fuir la France occup\u00E9e. Certains des enfants et des jeunes animateurs de la maison de Moissac sont devenus c\u00E9l\u00E8bres, tels l'auteur et homme de th\u00E9\u00E2tre Jean-Claude Grumberg, alors \u00E2g\u00E9 de trois ans, le mime Marceau, jeune homme qui fait rire les enfants, Georges L\u00E9vitte qui enseigne l'h\u00E9breu et le juda\u00EFsme ou Gabriel Cohn-Bendit. Serge Klarsfeld y passe 5 semaines en 1940. L'association Ville de Justes, oubli\u00E9e \u0153uvre \u00E0 garder la m\u00E9moire de la maison des enfants juifs de Moissac. En 2013, un premier colloque avait r\u00E9uni plusieurs centaines de personnes, et du 27 au 29 mai 2016, de nouvelles rencontres intitul\u00E9es Des villes et des Justes permettent de mieux comprendre ce qui s'est pass\u00E9 \u00E0 Moissac, mais aussi \u00E0 Dieulefit et au Chambon-sur-Lignon. Sous la direction de Bernard Delpal, ces rencontres accueillent notamment Jean-Claude Grumberg et Serge et Beate Klarsfeld. Dix habitants de Moissac sont honor\u00E9s comme Justes parmi les Nations : Manuel Darrac, Henriette Ducom, Jean Gainard, Alice Pelous, Alida Bourel, Henri Bourel, Pierre Bourel, Ren\u00E9e Bourel, Albini Ginisty et Ernestine Ginisty."@fr . . . . . . . . . . . "La Maison des enfants de Moissac, cr\u00E9\u00E9e \u00E0 l'initiative de Robert Gamzon et situ\u00E9e sur la commune de Moissac en Tarn-et-Garonne au 18, quai du port, est connue pour avoir abrit\u00E9 durant la Seconde Guerre mondiale pr\u00E8s de 500 enfants juifs, des b\u00E9b\u00E9s comme des adolescents, tous sauv\u00E9s de la d\u00E9portation gr\u00E2ce \u00E0 la complicit\u00E9 active de la population de Moissac et particuli\u00E8rement des deux maires qui se sont alors succ\u00E9d\u00E9 \u00E0 Moissac, Roger Delthil et et des artisans de la ville qui emploient en apprentissage les adolescents de la maison. Elle \u00E9tait dirig\u00E9e par Shatta et Bouli Simon, un couple d'\u00E9claireurs isra\u00E9lites de France. Fin novembre 1943, devant l'intensification des rafles allemandes, la maison est dissoute mais tous les enfants trouvent un refuge, souvent dans les familles ou les \u00E9coles"@fr . . . "184202639"^^ . . . . .