. . . . . . . "Le terme m\u00E9iofaune a \u00E9t\u00E9 introduit et d\u00E9fini par Molly F. Mare en 1942. Le terme m\u00E9io d\u00E9rive du grec \u201C\u03BC\u03B5\u03B9\u03BF\u03C2\u201D qui signifie \u00AB plus petit \u00BB. Dans ce contexte, la m\u00E9iofaune fait r\u00E9f\u00E9rence aux petits m\u00E9tazoaires benthiques plus petits que la macrofaune mais plus grands que la microfaune. Pour sa part, le terme m\u00E9iobenthos se d\u00E9finit comme le compartiment benthique interm\u00E9diaire entre le macrobenthos et le microbenthos. Pour de nombreux auteurs, m\u00E9iobenthos et m\u00E9iofaune sont synonymes. Conventionnellement, tous les m\u00E9tazoaires qui passent \u00E0 travers un tamis de maille de 1 mm et qui sont retenus par un tamis de mailles de 42 \u00B5m font partie de la m\u00E9iofaune. Il est \u00E0 noter toutefois que plusieurs \u00E9tudes utilisent des tamis de maille de 500 \u00B5m pour la limite sup\u00E9rieure et de 42 \u00E0 20 \u00B5m de mailles p"@fr . . . . . . . . . "19677"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "5132947"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "M\u00E9iofaune"@fr . . . . . . . . . . "187088455"^^ . . . . . . . . . "Meiofauna"@pt . . . . . . "Le terme m\u00E9iofaune a \u00E9t\u00E9 introduit et d\u00E9fini par Molly F. Mare en 1942. Le terme m\u00E9io d\u00E9rive du grec \u201C\u03BC\u03B5\u03B9\u03BF\u03C2\u201D qui signifie \u00AB plus petit \u00BB. Dans ce contexte, la m\u00E9iofaune fait r\u00E9f\u00E9rence aux petits m\u00E9tazoaires benthiques plus petits que la macrofaune mais plus grands que la microfaune. Pour sa part, le terme m\u00E9iobenthos se d\u00E9finit comme le compartiment benthique interm\u00E9diaire entre le macrobenthos et le microbenthos. Pour de nombreux auteurs, m\u00E9iobenthos et m\u00E9iofaune sont synonymes. Conventionnellement, tous les m\u00E9tazoaires qui passent \u00E0 travers un tamis de maille de 1 mm et qui sont retenus par un tamis de mailles de 42 \u00B5m font partie de la m\u00E9iofaune. Il est \u00E0 noter toutefois que plusieurs \u00E9tudes utilisent des tamis de maille de 500 \u00B5m pour la limite sup\u00E9rieure et de 42 \u00E0 20 \u00B5m de mailles pour la limite inf\u00E9rieure . Pour certains groupes taxonomiques, comme les n\u00E9matodes, qui peuvent avoir des longueurs corporelles d\u00E9passant les 2 mm au stade adulte et qui ne vivent qu\u2019une partie de leur cycle au sein de la meiofaune, il y a chevauchement des limites de tailles. On distingue alors la m\u00E9iofaune temporaire, ceux qui passent par ce compartiment dans leur phase juv\u00E9nile et qui termine leur cycle de vie au sein de le macrofaune, et la m\u00E9iofaune permanente, ceux qui restent tout leur cycle de vie dans ce compartiment. Les m\u00E9tazoaires de la m\u00E9iofaune (qui comprennent \u00E9galement des protozoaires de grandes tailles comme les foraminif\u00E8res) ne sont pas seulement un groupe de petits organismes benthiques d\u00E9fini par leur taille, ils partagent entre eux un mode de vie distinctif, des relations \u00E9cologiques et des traits \u00E9volutifs sp\u00E9cifiques."@fr . . . . . . . .