. . . . . . . . . . . . . "Le Nez qui voque"@fr . . . . . . . . "Le nez qui voque"@es . . . . . . "1967"^^ . . . "274"^^ . . "" . . . . . ""@fr . . . . . . . . . . . "\u00C9ditions Gallimard" . . . "Premi\u00E8re de couverture de l'\u00E9dition de 1967 dans la collection blanche de Gallimard."@fr . . . . . . "274"^^ . . . . "Le Nez qui voque est un roman de l'\u00E9crivain et dramaturge qu\u00E9b\u00E9cois R\u00E9jean Ducharme. Il fut publi\u00E9 chez Gallimard en 1967, soit un an apr\u00E8s la parution de L'Aval\u00E9e des aval\u00E9s, \u0153uvre qui avait valu \u00E0 l'auteur le Prix du Gouverneur g\u00E9n\u00E9ral ainsi qu'une nomination au Prix Goncourt. Malgr\u00E9 l'ordre des publications, il est le premier roman \u00E9crit par Ducharme. Comme l'ensemble des romans de Ducharme, Le Nez qui voque prend la forme d'un monologue int\u00E9rieur proche du courant de conscience. Il d\u00E9peint les pens\u00E9es d'un adolescent \u00AB farouchement individualiste \u00BB, surnomm\u00E9 Mille Milles, et sa d\u00E9testation du monde des adultes. Le style ressemble au langage parl\u00E9 et contient de nombreux jeux de mots, n\u00E9ologismes et emprunts au joual, un sociolecte du fran\u00E7ais qu\u00E9b\u00E9cois. Le roman constitue \u00E0 la fois un adieu \u00E0 l'enfance et une r\u00E9flexion sur le langage. Le personnage de Mille Milles, qui projette de se suicider pour ne jamais devenir un adulte, apprend progressivement \u00E0 accepter son vieillissement. Au fil de sa transformation, il d\u00E9nonce l'inaptitude des mots \u00E0 d\u00E9crire la r\u00E9alit\u00E9, critique la litt\u00E9rature et remet en question le concept d'identit\u00E9 personnelle. Au terme du livre, il propose de rejeter tout ce qui d\u00E9passe l'exp\u00E9rience imm\u00E9diate."@fr . "2"^^ . "2-07-022044-3" . . . . . . . . . . "191343273"^^ . . . . . . . . . . . . . . "Le Nez qui voque"@fr . . . . . . "Le Nez qui voque"@fr . "8021"^^ . "" . . . "Le Nez qui voque est un roman de l'\u00E9crivain et dramaturge qu\u00E9b\u00E9cois R\u00E9jean Ducharme. Il fut publi\u00E9 chez Gallimard en 1967, soit un an apr\u00E8s la parution de L'Aval\u00E9e des aval\u00E9s, \u0153uvre qui avait valu \u00E0 l'auteur le Prix du Gouverneur g\u00E9n\u00E9ral ainsi qu'une nomination au Prix Goncourt. Malgr\u00E9 l'ordre des publications, il est le premier roman \u00E9crit par Ducharme."@fr . . "1014707"^^ . . .