. . . . "Seuil" . . "2"^^ . . . "Dieu est n\u00E9 en exil de Vintila Horia"@fr . . . . . . . . . . . . . "Cadre rouge"@fr . . . . "Le Dernier des Justes est un roman d'Andr\u00E9 Schwarz-Bart publi\u00E9 le 1er juillet 1959 aux \u00E9ditions du Seuil et ayant obtenu le Prix Goncourt la m\u00EAme ann\u00E9e. Dans son roman Andr\u00E9 Schwarz-Bart imagine l'histoire de la famille L\u00E9vy qui a re\u00E7u h\u00E9r\u00E9ditairement l\u2019\u00E9trange privil\u00E8ge de susciter \u00E0 chaque g\u00E9n\u00E9ration un tsadik, c'est-\u00E0-dire un Juste faisant partie des Lamed Vav (Lamed-waf en yiddish). La saga tragique de cette famille victime de l'antis\u00E9mitisme europ\u00E9en commence au Moyen \u00C2ge au temps des croisades et s'ach\u00E8ve au XXe si\u00E8cle qui constitue la part la plus importante du livre avec les pogroms russes et surtout la Shoah, le \u00AB dernier des Justes \u00BB disparaissant dans les camps d'extermination nazis. Le roman para\u00EEt \u00E0 une \u00E9poque o\u00F9 la question de la Shoah semble occuper une place secondaire dans le d\u00E9bat d'id\u00E9e. Le roman devient rapidement un succ\u00E8s litt\u00E9raire national et international tout en suscitant une grande pol\u00E9mique dans de tr\u00E8s nombreux articles de presse avant l'obtention du Prix Goncourt en d\u00E9cembre 1959. Le Dernier des Justes a ainsi une place particuli\u00E8re dans la litt\u00E9rature de la Shoah."@fr . . . . . . . . . . . . . . "Le Dernier des Justes"@fr . . . . . . . . . . . "3572710"^^ . . . "31284"^^ . . . . . . . . . "2-02-000924-2" . . "Le Dernier des Justes"@fr . . . . . "352"^^ . . . . . . . "1959"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "352"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "roman"@fr . . "Saint-Germain ou la N\u00E9gociation de Francis Walder"@fr . . . . . . . "167392724"^^ . . . . . "Le Dernier des Justes est un roman d'Andr\u00E9 Schwarz-Bart publi\u00E9 le 1er juillet 1959 aux \u00E9ditions du Seuil et ayant obtenu le Prix Goncourt la m\u00EAme ann\u00E9e. Dans son roman Andr\u00E9 Schwarz-Bart imagine l'histoire de la famille L\u00E9vy qui a re\u00E7u h\u00E9r\u00E9ditairement l\u2019\u00E9trange privil\u00E8ge de susciter \u00E0 chaque g\u00E9n\u00E9ration un tsadik, c'est-\u00E0-dire un Juste faisant partie des Lamed Vav (Lamed-waf en yiddish). La saga tragique de cette famille victime de l'antis\u00E9mitisme europ\u00E9en commence au Moyen \u00C2ge au temps des croisades et s'ach\u00E8ve au XXe si\u00E8cle qui constitue la part la plus importante du livre avec les pogroms russes et surtout la Shoah, le \u00AB dernier des Justes \u00BB disparaissant dans les camps d'extermination nazis."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le Dernier des Justes"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1959"^^ . . .