. . . "lat" . . . . . "lat" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "la"@fr . . . . . . . . . . . . . . . "lat"@fr . . . . . . "Vulgar Latin"@en . "Latin vulgar"@oc . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Latin"@fr . . . . . . . . . . . . . "Pierre"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Connaissance des langues"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "1970"^^ . . . . . . . . . . . . "Vulg\u00EArlatyn"@af . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "mediumseagreen"@fr . . . . . "190414068"^^ . . . . . "Latin vulgaire"@fr . . . . . "59458"^^ . . . . "58"^^ . "Llat\u00ED vulgar"@ca . . "\u041D\u0430\u0440\u043E\u0434\u043D\u0430\u044F \u043B\u0430\u0442\u044B\u043D\u044C"@ru . . . . . . . . . . . . "\u901A\u4FD7\u62C9\u4E01\u8BED"@zh . "An Introduction to Vulgar Latin"@fr . . . . . . . . . . . . . . . "Le latin vulgaire, ou latin populaire (en latin : sermo uulgaris, \u00AB le langage populaire \u00BB), est un terme qui englobe les dialectes vernaculaires latinis\u00E9s qui existaient, pour la plupart, dans les provinces de l'Empire romain jusqu'\u00E0 ce que ces dialectes, s'\u00E9cartant de plus en plus du latin, soient graduellement transform\u00E9s en langues romanes primitives. On consid\u00E8re que la mutation, commenc\u00E9e vers le IIe si\u00E8cle avec des traces de changements ant\u00E9rieurs, s'est termin\u00E9e aux environs du IXe si\u00E8cle[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]."@fr . . . . . . ", , , ,"@fr . . . . . . "568"^^ . . . "la" . . . . . "Latin"@fr . . . . . "lingua Latina"@fr . . . . . . "la" . . ""@fr . . . . . . . "Latino volgare"@it . . . . "Ti\u1EBFng Latinh th\u00F4ng t\u1EE5c"@vi . . "" . . . "Bec"@fr . . . . . . "Manuel pratique de philologie romane"@fr . . . . . . "fr"@fr . . "" . "" . . . . . . . "Paris"@fr . "Pierre Bec"@fr . "" . "la"@fr . "lingua Latina"@fr . . . "Picard"@fr . . . . . . . . . . . . . . . "Le latin vulgaire, ou latin populaire (en latin : sermo uulgaris, \u00AB le langage populaire \u00BB), est un terme qui englobe les dialectes vernaculaires latinis\u00E9s qui existaient, pour la plupart, dans les provinces de l'Empire romain jusqu'\u00E0 ce que ces dialectes, s'\u00E9cartant de plus en plus du latin, soient graduellement transform\u00E9s en langues romanes primitives. On consid\u00E8re que la mutation, commenc\u00E9e vers le IIe si\u00E8cle avec des traces de changements ant\u00E9rieurs, s'est termin\u00E9e aux environs du IXe si\u00E8cle[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]. Ce sociolecte diff\u00E9rait de la langue litt\u00E9raire du latin classique autant dans sa prononciation et son vocabulaire que dans sa grammaire. Il ne faut pas le confondre non plus avec le \u00AB latin contemporain \u00BB, parl\u00E9 et \u00E9crit actuellement par certaines personnes le revendiquant comme langue internationale, qui est en fait un latin classique augment\u00E9 de termes n\u00E9cessaires \u00E0 la communication moderne. Certains aspects du latin vulgaire n'apparurent \u00E0 l'\u00E9crit qu'\u00E0 la fin de l'Empire, mais il est probable que d'autres aient exist\u00E9 dans le latin parl\u00E9, au moins dans les formes basilectes du latin, bien plus t\u00F4t. Dans la plupart des d\u00E9finitions, le \u00AB latin vulgaire \u00BB, ou \u00AB latin populaire \u00BB, appara\u00EEt comme une langue essentiellement parl\u00E9e et rarement \u00E9crite, le latin \u00E9crit restant plus proche du latin classique. Il y a de bonnes raisons pour penser que le latin parl\u00E9 a \u00E9clat\u00E9 en dialectes divergents \u00E9manant du substrat des langues italo-celtiques[r\u00E9f. souhait\u00E9e] pendant cette p\u00E9riode. Personne n'a transcrit les parlers quotidiens des latinophones durant la p\u00E9riode dont il est question, et ceux qui \u00E9tudient le latin vulgaire doivent donc le faire en se servant de m\u00E9thodes indirectes. La connaissance du latin vulgaire provient de trois sources principales. Tout d'abord, la linguistique contrastive peut servir \u00E0 reconstruire ses formes sous-jacentes \u00E0 partir des langues romanes attest\u00E9es, pour ensuite noter comment elles diff\u00E8rent du latin classique. Ensuite, plusieurs textes de grammaire normative datant de la p\u00E9riode du latin tardif condamnent des erreurs linguistiques que les latinophones avaient tendance \u00E0 commettre. Ces textes sont donc de bonnes sources sur la mani\u00E8re dont les latinophones parlaient r\u00E9ellement leur langue. Enfin, les sol\u00E9cismes et les usages non classiques, d\u00E9cel\u00E9s occasionnellement dans certains textes en latin tardif, \u00E9clairent la mani\u00E8re dont parlaient leurs auteurs."@fr . . . "\u0644\u0627\u062A\u064A\u0646\u064A\u0629 \u0639\u0627\u0645\u064A\u0629"@ar . . . . . . . . . . "1"^^ . . "939696"^^ . . . . . . . . . . . .