"170504665"^^ . . . . . "\u5355\u7EA7\u5165\u8F68"@zh . . . "Aquarius"@fr . "\u0627\u0644\u0645\u0631\u0643\u0628\u0627\u062A \u0627\u0644\u0645\u062F\u0627\u0631\u064A\u0629 \u0623\u062D\u0627\u062F\u064A\u0629 \u0627\u0644\u0645\u0631\u062D\u0644\u0629"@ar . . . . . . . "Propellant mass fraction"@fr . . . . "26057"^^ . "4899352"^^ . . . . . . . "Aquarius"@fr . . . . . . "Quicklaunch"@fr . . . . . . . "Chrysler SERV"@fr . . . . . . . "Aquarius"@fr . . . "Lanceur orbital mono\u00E9tage"@fr . . . . . . . . "fraction de masse de propergol"@fr . . . . . . . . . . . "en"@fr . . "Kankoh-maru"@fr . . . . . . . . "Un lanceur orbital mono\u00E9tage (en anglais : single-stage-to-orbit, ou SSTO) est un v\u00E9hicule spatial capable d'atteindre l'orbite terrestre et la vitesse de satellisation sans avoir \u00E0 larguer un ou des \u00E9tages propulsifs au cours de son ascension. Plusieurs projets de ce type ont \u00E9t\u00E9 \u00E9tudi\u00E9s (HOTOL, Skylon, McDonnell Douglas DC-X, le Lockheed-Martin X-33, le Roton SSTO\u2026), mais aucun n'a jusqu'\u00E0 pr\u00E9sent abouti, car le concept n\u00E9cessite d'effectuer plusieurs perc\u00E9es technologiques."@fr . . . . . "Quicklaunch"@fr . . . . . . . "\u041E\u0434\u043D\u043E\u0441\u0442\u0443\u043F\u0435\u043D\u0447\u0430\u0442\u0430\u044F \u043A\u043E\u0441\u043C\u0438\u0447\u0435\u0441\u043A\u0430\u044F \u0441\u0438\u0441\u0442\u0435\u043C\u0430"@ru . . . . . . . . . . . . . . . . "Chrysler SERV"@fr . . . . . "SSTO"@es . . "Est\u00E1gio \u00FAnico para \u00F3rbita"@pt . . . "Un lanceur orbital mono\u00E9tage (en anglais : single-stage-to-orbit, ou SSTO) est un v\u00E9hicule spatial capable d'atteindre l'orbite terrestre et la vitesse de satellisation sans avoir \u00E0 larguer un ou des \u00E9tages propulsifs au cours de son ascension. Plusieurs projets de ce type ont \u00E9t\u00E9 \u00E9tudi\u00E9s (HOTOL, Skylon, McDonnell Douglas DC-X, le Lockheed-Martin X-33, le Roton SSTO\u2026), mais aucun n'a jusqu'\u00E0 pr\u00E9sent abouti, car le concept n\u00E9cessite d'effectuer plusieurs perc\u00E9es technologiques. Pour pouvoir se placer en orbite autour de la Terre, un engin spatial doit maintenir au plus bas son indice de structure (de 10 \u00E0 4 % selon le carburant employ\u00E9), c'est-\u00E0-dire le ratio entre la masse de sa structure cumul\u00E9e \u00E0 la charge utile rapport\u00E9 \u00E0 la masse totale. Pour parvenir \u00E0 cet objectif, les lanceurs actuels, fus\u00E9es classiques ou navettes spatiales, larguent au fur et \u00E0 mesure de leur ascension une partie de la structure rendue inutile par la consommation du carburant. Un lanceur mono\u00E9tage conserve tout au long du vol toute sa structure, qui repr\u00E9sente donc un poids croissant par rapport \u00E0 la masse totale. La deuxi\u00E8me difficult\u00E9 est li\u00E9e \u00E0 la n\u00E9cessit\u00E9 d'optimiser le fonctionnement de la propulsion en fonction de la densit\u00E9 de l'atmosph\u00E8re environnante : sur un lanceur classique, ce probl\u00E8me est r\u00E9gl\u00E9 par l'utilisation de moteurs-fus\u00E9es aux tuy\u00E8res dimensionn\u00E9es diff\u00E9remment selon les \u00E9tages. Pour parvenir \u00E0 construire un lanceur mono\u00E9tage, plusieurs pistes sont explor\u00E9es, notamment l'all\u00E9gement de la structure par le recours pour les r\u00E9servoirs \u00E0 des mat\u00E9riaux d'une faible densit\u00E9 comme des composites \u00E0 base de fibres de carbone, l'utilisation de la propulsion a\u00E9robie qui permet de ne pas transporter de comburant (oxyg\u00E8ne) pour la premi\u00E8re phase du vol, l'augmentation de l'impulsion sp\u00E9cifique des moteurs, c'est-\u00E0-dire de leurs performances, la mise au point de tuy\u00E8res \u00E0 g\u00E9om\u00E9trie variable, etc."@fr . . . . . "Kankoh-maru"@fr . . . .