. . . . . . . "Le Kanda matsuri (\u795E\u7530\u796D) ou festival Kanda, est un des trois grands festivals shinto du Japon avec Gion matsuri et Tenjin matsuri, et l'un des trois plus grands de Tokyo, avec le Fukagawa matsuri et le Sann\u014D matsuri. Le festival commence au d\u00E9but du XVIIe si\u00E8cle en c\u00E9l\u00E9bration de la victoire d\u00E9cisive de Tokugawa Ieyasu \u00E0 la bataille de Sekigahara et se prolonge comme une manifestation de la prosp\u00E9rit\u00E9 du shogunat Tokugawa durant l'\u00E9poque d'Edo. Par ailleurs, sous sa forme actuelle, le festival est \u00E9galement organis\u00E9 en l'honneur du kami du Kanda-my\u014Djin. Le festival a lieu le samedi et le dimanche les plus proches du 15 mai, mais comme il alterne avec le Sann\u014D matsuri, il n'est organis\u00E9 que les ann\u00E9es impaires. Ces ann\u00E9es-l\u00E0, le festival se tient au Kanda-my\u014Djin dans le quartier Kanda de Tokyo ainsi que dans les arrondissements autour du centre de Tokyo. Ses d\u00E9fil\u00E9s importants concernent environ plus de deux cents mikoshi, en plus de musiciens, de danseurs et de chars. \n* \n* \n* \n* \n*"@fr . . . . . . . . . . . . "Le Kanda matsuri (\u795E\u7530\u796D) ou festival Kanda, est un des trois grands festivals shinto du Japon avec Gion matsuri et Tenjin matsuri, et l'un des trois plus grands de Tokyo, avec le Fukagawa matsuri et le Sann\u014D matsuri. Le festival commence au d\u00E9but du XVIIe si\u00E8cle en c\u00E9l\u00E9bration de la victoire d\u00E9cisive de Tokugawa Ieyasu \u00E0 la bataille de Sekigahara et se prolonge comme une manifestation de la prosp\u00E9rit\u00E9 du shogunat Tokugawa durant l'\u00E9poque d'Edo. Par ailleurs, sous sa forme actuelle, le festival est \u00E9galement organis\u00E9 en l'honneur du kami du Kanda-my\u014Djin. \n* \n* \n* \n* \n*"@fr . "6757398"^^ . . "Kanda matsuri"@fr . "167217146"^^ . . . . . . . "Site officiel du Kanda matsuri"@fr . . . . . . . "2291"^^ . . "ja"@fr . . . . . . . . "\u795E\u7530\u796D"@ja . . . . . . . . . "\u795E\u7530\u796D"@zh . . . . . . . . . . . .