. . . . . . . "Johnny Guay"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "1795"^^ . . . "188938386"^^ . . . . . . . "Johnny Guay est un commer\u00E7ant et maire canadien n\u00E9 le 10 ao\u00FBt 1828 \u00E0 La Malbaie (Qu\u00E9bec), du mariage de Fran\u00E7ois Guay et Th\u00E9otiste Dallaire. En 1848, il est mandat\u00E9 par son patron J. Collard pour ouvrir un magasin-g\u00E9n\u00E9ral \u00E0 Chicoutimi sous la raison sociale de \u00AB Collard & Guay \u00BB. Le 28 janvier 1850, il \u00E9pousait \u00C9milie Tremblay et de cette union, le couple eut 11 enfants : quatre filles et sept gar\u00E7ons. En 1860, Johnny Guay se dissocie de son patron et ouvre son propre commerce de d\u00E9tail, pr\u00E8s de l\u2019embouchure de la rivi\u00E8re aux Rats. \u00C0 cet endroit, il organisa un petit empire \u0153uvrant dans le commerce au d\u00E9tail, la p\u00EAche dans le fleuve, l\u2019industrie du bois de sciage et la traite des fourrures. Int\u00E9ress\u00E9 aux affaires publiques, il occupa la fonction de maire sans interruption entre 1860 et 1870, et de pr\u00E9sident de la Commission scolaire locale. Son fils, Joseph-Dominique Guay, fonda le Progr\u00E8s du Saguenay, la Pulperie de Chicoutimi avec Julien-\u00C9douard-Alfred Dubuc et occupa lui aussi, la fonction de maire de 1895 \u00E0 1903 et de 1922 \u00E0 1924. \u00C0 sa mort, le 28 septembre 1880 \u00E0 l'\u00E2ge de 52 ans, il \u00E9tait consid\u00E9r\u00E9 comme l\u2019homme le plus riche au Saguenay apr\u00E8s William Evan Price."@fr . . . . . . . "2668696"^^ . "Johnny Guay est un commer\u00E7ant et maire canadien n\u00E9 le 10 ao\u00FBt 1828 \u00E0 La Malbaie (Qu\u00E9bec), du mariage de Fran\u00E7ois Guay et Th\u00E9otiste Dallaire. En 1848, il est mandat\u00E9 par son patron J. Collard pour ouvrir un magasin-g\u00E9n\u00E9ral \u00E0 Chicoutimi sous la raison sociale de \u00AB Collard & Guay \u00BB. \u00C0 sa mort, le 28 septembre 1880 \u00E0 l'\u00E2ge de 52 ans, il \u00E9tait consid\u00E9r\u00E9 comme l\u2019homme le plus riche au Saguenay apr\u00E8s William Evan Price."@fr . . . . .