. . . . . . . . . . . . . "166788411"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "8434872"^^ . . . . . . . . . . . "Jack Buck"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "3524"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u062C\u0627\u0643 \u0628\u0627\u0643"@ar . . . . "John Francis Buck, dit Jack Buck, est un commentateur sportif am\u00E9ricain n\u00E9 le 21 ao\u00FBt 1924 et mort le 18 juin 2002. Il est c\u00E9l\u00E8bre pour avoir \u00E9t\u00E9 le commentateur, pendant presque 50 ans, des matches de baseball des Cardinals de Saint-Louis. Il a \u00E9t\u00E9 \u00E0 plusieurs reprises r\u00E9compens\u00E9 pour l'ensemble de son travail, ayant notamment fait son entr\u00E9e au Temple de la renomm\u00E9e du baseball, au temple de la renomm\u00E9e de la NFL et au temple de la renomm\u00E9e national de la radio (National Radio Hall of Fame). Son fils, Joe Buck, est \u00E9galement commentateur sportif."@fr . . . . . "John Francis Buck, dit Jack Buck, est un commentateur sportif am\u00E9ricain n\u00E9 le 21 ao\u00FBt 1924 et mort le 18 juin 2002. Il est c\u00E9l\u00E8bre pour avoir \u00E9t\u00E9 le commentateur, pendant presque 50 ans, des matches de baseball des Cardinals de Saint-Louis. Il a \u00E9t\u00E9 \u00E0 plusieurs reprises r\u00E9compens\u00E9 pour l'ensemble de son travail, ayant notamment fait son entr\u00E9e au Temple de la renomm\u00E9e du baseball, au temple de la renomm\u00E9e de la NFL et au temple de la renomm\u00E9e national de la radio (National Radio Hall of Fame). N\u00E9 \u00E0 Holyoke, ville du Massachusetts, Jack Buck a grandi \u00E0 Cleveland, dans l'Ohio. Apr\u00E8s le lyc\u00E9e, il travaille sur des navires de transport qui traversent les Grands Lacs. Il est appel\u00E9 dans l'Arm\u00E9e am\u00E9ricaine en juin 1943, et sera plus tard d\u00E9cor\u00E9 de la m\u00E9daille Purple Heart pour son action en son sein. Apr\u00E8s s'\u00EAtre lib\u00E9r\u00E9 de ses obligations militaires en 1946, Jack Buck entre \u00E0 l'Universit\u00E9 d'\u00C9tat de l'Ohio, d'o\u00F9 il sort dipl\u00F4m\u00E9 en 1950. Il fait ses d\u00E9buts \u00E0 la radio en commentant des matches de baseball mineur de clubs affili\u00E9s aux Cardinals de Saint-Louis. En 1954, il est promu commentateur sur la station KMOX des Cardinals de Saint-Louis, poste qu'il occupera 47 ann\u00E9es. Il \u00E9tait notamment c\u00E9l\u00E8bre pour sa phrase rituelle \u00AB That's a winner ! \u00BB prononc\u00E9e \u00E0 chaque victoire des Cardinals. En plus de son travail pour les Cardinals, Jack Buck a anim\u00E9 et comment\u00E9 nombres d'\u00E9v\u00E9nements sportifs nationaux \u00E0 la radio, parmi lesquels 18 Super Bowls et 11 S\u00E9ries mondiales. Les \u00E9v\u00E9nements marquants qu'il a comment\u00E9 comprennent notamment les fatals coups de circuit d'Ozzie Smith en neuvi\u00E8me manche du 5e match de la S\u00E9rie de championnat de la Ligue nationale de baseball 1985, de Kirk Gibson durant le 1er match de la S\u00E9rie mondiale de 1988, et de Kirby Puckett lors du 6e match de la S\u00E9rie mondiale de 1991. Durant les derni\u00E8res ann\u00E9es de sa vie, Jack Buck s'est \u00E9galement fait conna\u00EEtre pour ses po\u00E8mes, et notamment son po\u00E8me For America \u00E9crit peu apr\u00E8s les attaques terroristes du 11 septembre 2001. Son fils, Joe Buck, est \u00E9galement commentateur sportif."@fr . . . . . . . . .