"H. Hidaka"@fr . . "G. Audi"@fr . "M. E. Wieser"@fr . "http://www.nndc.bnl.gov/amdc/nubase/Nubase2003.pdf|journal = Nuclear Physics A"@fr . . . "A. H. Wapstra"@fr . "http://www.nndc.bnl.gov/nudat2/|\u00E9diteur = Brookhaven National Laboratory"@fr . . . . "http://iupac.org/publications/pac/78/11/2051/pdf/|journal = Pure and Applied Chemistry"@fr . . . "J. R. de Laeter"@fr . "--09-23"^^ . . "78"^^ . . "P. D. P. Taylor"@fr . . "10.1351"^^ . . . "75"^^ . . . . "oui"@fr . . . . "683"^^ . . "L'osmium (Os, num\u00E9ro atomique 76) poss\u00E8de 37 isotopes connus, de nombre de masse variant entre 161 et 197, ainsi que 9 isom\u00E8res nucl\u00E9aires. Parmi ces isotopes, six sont stables, 184Os, 187Os, 188Os, 189Os, 190Os, et 192Os et coexistent dans la nature avec un radioisotope primordial, 186Os (demi-vie de 2\u00D71015 ans), 192Os \u00E9tant le plus abondant (40 % de l'osmium naturel). On attribue \u00E0 l'osmium une masse atomique standard de 190,23(3) u. Comme tous les \u00E9l\u00E9ments plus lourds que le zirconium, l'osmium est th\u00E9oriquement instable, et on soup\u00E7onne tous ses isotopes \u00AB stables \u00BB d'\u00EAtre en fait faiblement radioactifs, se d\u00E9sint\u00E9grant tr\u00E8s lentement par \u00E9mission \u03B1 en isotopes du tungst\u00E8ne correspondants (ou pour le plus lourd et le plus l\u00E9ger par double d\u00E9sint\u00E9gration b\u00EAta), mais cette radioactivit\u00E9 n'a pour l'instant jamais \u00E9t\u00E9 observ\u00E9e. Parmi les 30 radioisotopes artificiels caract\u00E9ris\u00E9s, le plus stable est 194Os avec une p\u00E9riode radioactive de 6 ans, tous les autres ont des demi-vies inf\u00E9rieures \u00E0 94 jours. Parmi les 9 isom\u00E8res nucl\u00E9aires, le plus stable est 191mOs avec une demi-vie de 13,10 h. Les radioisotopes les plus l\u00E9gers se d\u00E9sint\u00E8grent principalement par \u00E9mission \u03B1 en isotopes du tungst\u00E8ne, mais \u00E0 mesure que leur masse atomique augmente, l'\u00E9mission de positron (\u03B2+) en isotopes du rh\u00E9nium devient leur m\u00E9canisme de d\u00E9sint\u00E9gration principal. Ainsi, tous les radioisotopes de nombre de masse sup\u00E9rieur ou \u00E9gal \u00E0 175 (mais plus l\u00E9gers que les isotopes stables) se d\u00E9sint\u00E8grent quasi exclusivement par \u00E9mission de positron, \u00E0 l'exception de 182Os et 185Os qui se d\u00E9sint\u00E8grent par capture \u00E9lectronique. Les radioisotopes les plus lourds se d\u00E9sint\u00E8grent eux tous par d\u00E9sint\u00E9gration \u03B2- en isotopes de l'iridium."@fr . "Atomic weights of the elements. Review 2000"@fr . . "2051"^^ . . "2712"^^ . "en"@fr . . . "3"^^ . . . "H. S. Peiser"@fr . . "D. R. Lide"@fr . . . "2003"^^ . . "6"^^ . . . . . . "85"^^ . . . "J. Blachot"@fr . "11"^^ . . . "The NUBASE evaluation of nuclear and decay properties"@fr . . . . "\u30AA\u30B9\u30DF\u30A6\u30E0\u306E\u540C\u4F4D\u4F53"@ja . . . . . . . . "O. Bersillon"@fr . "NuDat 2.1 database"@fr . . . "185714449"^^ . . . "J. K. B\u00F6hlke"@fr . "18657"^^ . . . . "9613088"^^ . "Isotopes de l'osmium"@fr . . "C. Thibault"@fr . "http://www.iupac.org/publications/pac/75/6/0683/pdf/|journal = Pure and Applied Chemistry"@fr . . . "10.1016"^^ . . "2006"^^ . . "2004"^^ . "N. E. Holden"@fr . "2003"^^ . . . . "Atomic weights of the elements 2005"@fr . "Section 11"@fr . . . . . . "https://books.google.com/books?id=WDll8hA006AC&printsec=frontcover|titre chapitre=Table of the Isotopes"@fr . "Isotopes of osmium"@en . "729"^^ . . "septembre 2005"@fr . . . . "978"^^ . . . . "K. J. R. Rosman"@fr . "L'osmium (Os, num\u00E9ro atomique 76) poss\u00E8de 37 isotopes connus, de nombre de masse variant entre 161 et 197, ainsi que 9 isom\u00E8res nucl\u00E9aires. Parmi ces isotopes, six sont stables, 184Os, 187Os, 188Os, 189Os, 190Os, et 192Os et coexistent dans la nature avec un radioisotope primordial, 186Os (demi-vie de 2\u00D71015 ans), 192Os \u00E9tant le plus abondant (40 % de l'osmium naturel). On attribue \u00E0 l'osmium une masse atomique standard de 190,23(3) u."@fr . "P. De Bi\u00E8vre"@fr .