. . "On peut consid\u00E9rer une isosurface comme l'analogue en 3D d'une courbe de niveau. C'est en fait le lieu des points de l'espace pour lesquels une certaine fonction (par exemple la pression, la temp\u00E9rature, la vitesse, la densit\u00E9, etc.) est constante. En d'autres termes, c'est la courbe de niveau d'une fonction continue dont le domaine est l'espace ambiant. En \u00E9criture math\u00E9matique, une isosurface est l'ensemble suivant : si la fonction f est celle dont on souhaite repr\u00E9senter l'isosurface en la valeur c, celle-ci est d\u00E9finie par : On repr\u00E9sente usuellement les isosurfaces \u00E0 l'aide d'images de synth\u00E8se ; elles sont tr\u00E8s utilis\u00E9es comme m\u00E9thode de repr\u00E9sentation visuelle des donn\u00E9es, notamment en Computational fluid dynamics (CFD), permettant ainsi aux ing\u00E9nieurs d'\u00E9tudier plus facilement les diff\u00E9rents ph\u00E9nom\u00E8nes intervenants en dynamique des fluides (pour les gaz et les fluides) autour d'objets, tels que les ailes d'avion. Une isosurface peut repr\u00E9senter une onde de choc particuli\u00E8re se produisant sur les vols supersoniques, ou plusieurs isosurfaces peuvent \u00EAtre g\u00E9n\u00E9r\u00E9es pour \u00E9tudier une s\u00E9quence de valeurs de pressions dans l'air entourant une aile. Les isosurfaces tendent \u00E0 devenir des moyens de visualisation privil\u00E9gi\u00E9s pour repr\u00E9senter efficacement des donn\u00E9es volumiques, car elles peuvent \u00EAtre construites \u00E0 l'aide de mod\u00E8les polygonaux, qui sont affich\u00E9s \u00E0 l'\u00E9cran tr\u00E8s rapidement. En imagerie m\u00E9dicale, les isosurfaces sont utilis\u00E9es pour repr\u00E9senter des r\u00E9gions de densit\u00E9 donn\u00E9e sur des Tomodensitom\u00E9trie tridimensionnelle, permettant donc de visualiser de mani\u00E8re r\u00E9aliste les organes internes, les os, ou d'autres structures corporelles. De nombreux autres domaines sont int\u00E9ress\u00E9s par la repr\u00E9sentation tridimensionnelle de donn\u00E9es procur\u00E9e par les isosurfaces pour en extraire ais\u00E9ment l'information, notamment la pharmacologie, chimie, g\u00E9ophysique et m\u00E9t\u00E9orologie. Une m\u00E9thode tr\u00E8s r\u00E9pandue de construction des isosurfaces repose sur l'algorithme du marching cubes. Un exemple d'isosurface est la metaball utilis\u00E9e intensivement en visualisation 3D. \n* Portail de l\u2019information g\u00E9ographique"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "On peut consid\u00E9rer une isosurface comme l'analogue en 3D d'une courbe de niveau. C'est en fait le lieu des points de l'espace pour lesquels une certaine fonction (par exemple la pression, la temp\u00E9rature, la vitesse, la densit\u00E9, etc.) est constante. En d'autres termes, c'est la courbe de niveau d'une fonction continue dont le domaine est l'espace ambiant. En \u00E9criture math\u00E9matique, une isosurface est l'ensemble suivant : si la fonction f est celle dont on souhaite repr\u00E9senter l'isosurface en la valeur c, celle-ci est d\u00E9finie par : \n* Portail de l\u2019information g\u00E9ographique"@fr . . . . . "1573230"^^ . . . . "Isosurface"@en . . . . . . . . . . . . . . . . "146437852"^^ . . . . "Isosurface"@fr . . . . . "2711"^^ . .