. . . . . . "Hidrof\u00F2bia"@ca . . . . . "\u0643\u0627\u0631\u0647 \u0644\u0644\u0645\u0627\u0621"@ar . . . . . . . . . . . . . . . "L\u2019hydrophobie (du grec \u03C5\u03B4\u03C1\u03BF, hydro = eau, et \u03A6\u03CC\u03D0\u03BF\u03C2, ph\u00F3bos = r\u00E9pulsion) caract\u00E9rise les surfaces qui semblent repousser l'eau. En r\u00E9alit\u00E9, il ne s'agit pas d'une r\u00E9elle r\u00E9pulsion, mais plut\u00F4t du fait que l'eau \u00E9tant une mol\u00E9cule polaire, elle a une tr\u00E8s nette attirance pr\u00E9f\u00E9rentielle pour les autres mol\u00E9cules polaires, ce qui va amener ces mol\u00E9cules \u00E0 s'assembler entre elles et former des billes qui semblent \u00EAtre repouss\u00E9es par les mol\u00E9cules non polaires avec lesquelles elles n'ont pas une aussi forte affinit\u00E9, alors qu'en r\u00E9alit\u00E9, ce sont les affinit\u00E9s entre les mol\u00E9cules polaires qui chassent vers l'ext\u00E9rieur de ces billes les mol\u00E9cules qui n'ont pas la m\u00EAme affinit\u00E9 avec elle - un peu de la m\u00EAme fa\u00E7on que le gradient de pression de l'eau chasse de son sein les corps moins denses (qui n'ont donc pas la capacit\u00E9 de g\u00E9n\u00E9rer en leur sein un gradient de pression aussi raide). Ici, les mol\u00E9cules non polaires sont chass\u00E9es vers la surface des billes form\u00E9es par les mol\u00E9cules polaires. \n* Goutte d'eau sur la surface naturellement hydrophobe d'une cuticule v\u00E9g\u00E9tale. \n* Gouttes d'eau de pluie sur brins d'herbe. \n* Goutte d'eau sur feuille de lotus. \n* Hydrophobie sur un textile polyester. Quand les mol\u00E9cules non polaires sont immerg\u00E9es dans une masse polaire sans surfaces proches vers lesquelles s'\u00E9chapper, elles sont repouss\u00E9es dans une direction pr\u00E9f\u00E9rentielle d\u00E9pendant de la gravitation. Les mol\u00E9cules non polaires qui, comme l'huile dans l'eau, sont moins denses que les mol\u00E9cules polaires, vont \u00EAtre repouss\u00E9es vers la surface, alors que les mol\u00E9cules plus denses comme le mercure, vont couler, et que les mol\u00E9cules de densit\u00E9 similaire \u00E0 celle du milieu polaire peuvent rester en suspension (\u00E9mulsion) si leur concentration n'est pas suffisante pour qu'elles soient repouss\u00E9es les unes vers les autres et former des billes de plus en plus grosses. Ceci se traduit par la non-solubilit\u00E9 des mol\u00E9cules apolaires dans le solvant polaire, menant \u00E0 une s\u00E9gr\u00E9gation du solut\u00E9 vis-\u00E0-vis du solvant (ou inversement). Des mol\u00E9cules comme les alcanes sont hydrophobes. Il est \u00E9galement int\u00E9ressant de noter que dans les solvants polaires comme l\u2019eau, de nombreux corps de la chimie min\u00E9rale, pour \u00EAtre solubles, doivent pouvoir s'ioniser, c'est-\u00E0-dire se scinder en deux ions charg\u00E9s positivement et n\u00E9gativement, qui vont se lier s\u00E9par\u00E9ment avec les mol\u00E9cules d'eau. Et si les attractions au sein de la mol\u00E9cule organique sont trop fortes pour que le solvant puisse l'ioniser, celle-ci restera insoluble. Chez les micro-organismes, les propri\u00E9t\u00E9s hydrophobes sont dues principalement \u00E0 la pr\u00E9sence d' (en), prot\u00E9ines particuli\u00E8res situ\u00E9es au niveau des membranes cellulaires."@fr . . . . . . . . . . . "8242"^^ . . . "L\u2019hydrophobie (du grec \u03C5\u03B4\u03C1\u03BF, hydro = eau, et \u03A6\u03CC\u03D0\u03BF\u03C2, ph\u00F3bos = r\u00E9pulsion) caract\u00E9rise les surfaces qui semblent repousser l'eau. En r\u00E9alit\u00E9, il ne s'agit pas d'une r\u00E9elle r\u00E9pulsion, mais plut\u00F4t du fait que l'eau \u00E9tant une mol\u00E9cule polaire, elle a une tr\u00E8s nette attirance pr\u00E9f\u00E9rentielle pour les autres mol\u00E9cules polaires, ce qui va amener ces mol\u00E9cules \u00E0 s'assembler entre elles et former des billes qui semblent \u00EAtre repouss\u00E9es par les mol\u00E9cules non polaires avec lesquelles elles n'ont pas une aussi forte affinit\u00E9, alors qu'en r\u00E9alit\u00E9, ce sont les affinit\u00E9s entre les mol\u00E9cules polaires qui chassent vers l'ext\u00E9rieur de ces billes les mol\u00E9cules qui n'ont pas la m\u00EAme affinit\u00E9 avec elle - un peu de la m\u00EAme fa\u00E7on que le gradient de pression de l'eau chasse de son sein les corps moins denses (qui n'"@fr . . . . . . . . . . . . "Hydrofob"@sv . . . "9507635"^^ . . . . . . . . . . "\u0413\u0438\u0434\u0440\u043E\u0444\u043E\u0431\u043D\u043E\u0441\u0442\u044C"@ru . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "hydrophobin"@fr . . . . . . . . . "190495643"^^ . . . . "hydrophobine"@fr . . "Hydrophobie (physique)"@fr . . "Hydrofobowo\u015B\u0107"@pl . . . "en"@fr . . . "\u758E\u6C34\u6027"@ja . . . . . . "hydrophobines"@fr . . . . . . . . . "Hydrophobe"@en . . . . .