. . . . . . . . . . . . "Hubertus Tellenbach"@it . . . . . . . . . . . "Hubertus Tellenbach, n\u00E9 le 15 mars 1914 \u00E0 Cologne et mort le 4 septembre 1994 \u00E0 Munich, est un psychiatre allemand qui est particuli\u00E8rement connu pour ses \u00E9tudes sur la m\u00E9lancolie et la d\u00E9pression. Docteur en Philosophie, il a aussi \u00E9t\u00E9 li\u00E9 au mouvement de la Daseinsanalyse et \u00E0 la psychopathologie ph\u00E9nom\u00E9nologique. Il soutient sa th\u00E8se d'habilitation en m\u00E9decine \u00E0 Munich en 1952 et fait toute sa carri\u00E8re \u00E0 l'Universit\u00E9 de Heidelberg, de 1956 \u00E0 1979."@fr . . . . . . . . . . . . . "Hubertus Tellenbach, n\u00E9 le 15 mars 1914 \u00E0 Cologne et mort le 4 septembre 1994 \u00E0 Munich, est un psychiatre allemand qui est particuli\u00E8rement connu pour ses \u00E9tudes sur la m\u00E9lancolie et la d\u00E9pression. Docteur en Philosophie, il a aussi \u00E9t\u00E9 li\u00E9 au mouvement de la Daseinsanalyse et \u00E0 la psychopathologie ph\u00E9nom\u00E9nologique. Il soutient sa th\u00E8se d'habilitation en m\u00E9decine \u00E0 Munich en 1952 et fait toute sa carri\u00E8re \u00E0 l'Universit\u00E9 de Heidelberg, de 1956 \u00E0 1979. C'est aussi en 1979 que para\u00EEt la premi\u00E8re traduction fran\u00E7aise de son ouvrage sur la m\u00E9lancolie, paru en Allemagne d\u00E8s 1961. Cette traduction est l'occasion d'un grand colloque organis\u00E9 en octobre de la m\u00EAme ann\u00E9e \u00E0 la Facult\u00E9 Necker et dont les contributions sont r\u00E9unies dans l'ouvrage La r\u00E9alit\u00E9, le comique et l'humour. Autour de la pens\u00E9e de Tellenach, sous la direction de Yves P\u00E9licier. Le travail de Tellenbach, qui se situe dans la lign\u00E9e de Binswanger et von Gebsattel, a \u00E9galement \u00E9t\u00E9 profond\u00E9ment marqu\u00E9 par la pens\u00E9e de Heidegger, puis par l'herm\u00E9neutique de Gadamer. Dans Geschmack und Atmosph\u00E4re (Salzbourg, 1968), traduit en fran\u00E7ais en 1985, il plaide pour une r\u00E9\u00E9valation du \"sens oral\" (alors que la tradition occidentale privil\u00E9gie la vue), avec des exemples tir\u00E9s en partie de la litt\u00E9rature (Dosto\u00EFevski, Strindberg). Quant \u00E0 sa position par rapport \u00E0 la psychanalyse, il l'a d\u00E9finie dans un entretien avec Philippe Forget: \"Il y a des acquis fondamentaux de la psychanalyse, et elle est un aspect indispensable de la panoplie th\u00E9rapeutique. [...] Tant que la psychanalyse se d\u00E9finit comme une m\u00E9thode particuli\u00E8re de la psychiatrie, je la tiens pour indispensable. Mais d\u00E8s qu'elle pr\u00E9tend s'\u00E9riger en anthropologie, je la crois funestement r\u00E9ductrice\" (Le Monde, 2 mars 1982)."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "169564859"^^ . . . . . . . . . "\u30D5\u30FC\u30D9\u30EB\u30C8\u30A5\u30B9\u30FB\u30C6\u30EC\u30F3\u30D0\u30C3\u30CF"@ja . . . . . . . . . . "4782585"^^ . "Hubertus Tellenbach"@fr . . . "3925"^^ .