"\u2D30\u2D4F\u2D37\u2D53\u2D37\u2D37\u2D49"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "12410393"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1.3"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Manifestations pacifiques \u00E0 caract\u00E8re politique, gr\u00E8ve g\u00E9n\u00E9rale, d\u00E9sob\u00E9issance civile et gr\u00E8ve de la faim."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Hirak (Alg\u00E9rie)"@fr . . . . . . . . . ""@fr . . . . . . . . . "Protestos na Arg\u00E9lia em 2019"@pt . . . . . . . . . . . . . . . . "--02-22"^^ . . . . "Hirak"@fr . . . . . . "Opposition au maintien au pouvoir d'Abdelaziz Bouteflika et \u00E0 son r\u00E9gime, incarn\u00E9 par la suite par Abdelkader Bensalah puis Abdelmadjid Tebboune ; opposition \u00E0 la corruption ; dissolution du FLN ; mise en place d'une R\u00E9publique, \u00E9lection d'une assembl\u00E9e constituante ; lib\u00E9ration de tous les d\u00E9tenus d'opinion."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0627\u0644\u062D\u0631\u0627\u0643"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "387128"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le Hirak (en arabe : \u0627\u0644\u062D\u0631\u0627\u0643, en fran\u00E7ais : Mouvement, en berb\u00E8re : \u2D30\u2D4E\u2D53\u2D59\u2D59\u2D53 ou \u2D30\u2D4F\u2D37\u2D53\u2D37\u2D37\u2D49, prononc\u00E9 : Amussu ou Anduddi) est une s\u00E9rie de manifestations hebdomadaires qui ont lieu entre 2019 et 2021 en Alg\u00E9rie pour protester dans un premier temps contre la candidature d'Abdelaziz Bouteflika \u00E0 un cinqui\u00E8me mandat pr\u00E9sidentiel, puis contre son projet, \u00E9galement contest\u00E9 par l'arm\u00E9e, de se maintenir au pouvoir \u00E0 l'issue de son quatri\u00E8me mandat dans le cadre d'une transition et de la mise en \u0153uvre de r\u00E9formes. Par la suite, les protestataires r\u00E9clament la mise en place d'une Deuxi\u00E8me R\u00E9publique, et le d\u00E9part des dignitaires du r\u00E9gime, notamment parce que ceux-ci organisent le prochain scrutin avec les candidatures de caciques du r\u00E9gime, ce qui m\u00E8ne \u00E0 l'\u00E9lection de l'ancien Premier ministre Abdelmad"@fr . . . . . . . . . . . . "24"^^ . . . . . . . . . . . . . "2019-02-16"^^ . . . . . . . . "2019\uFF0D2021\u5E74\u963F\u5C14\u53CA\u5229\u4E9A\u793A\u5A01"@zh . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "191060504"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "Diaspora :"@fr . . . . . . . . . . "Le Hirak (en arabe : \u0627\u0644\u062D\u0631\u0627\u0643, en fran\u00E7ais : Mouvement, en berb\u00E8re : \u2D30\u2D4E\u2D53\u2D59\u2D59\u2D53 ou \u2D30\u2D4F\u2D37\u2D53\u2D37\u2D37\u2D49, prononc\u00E9 : Amussu ou Anduddi) est une s\u00E9rie de manifestations hebdomadaires qui ont lieu entre 2019 et 2021 en Alg\u00E9rie pour protester dans un premier temps contre la candidature d'Abdelaziz Bouteflika \u00E0 un cinqui\u00E8me mandat pr\u00E9sidentiel, puis contre son projet, \u00E9galement contest\u00E9 par l'arm\u00E9e, de se maintenir au pouvoir \u00E0 l'issue de son quatri\u00E8me mandat dans le cadre d'une transition et de la mise en \u0153uvre de r\u00E9formes. Par la suite, les protestataires r\u00E9clament la mise en place d'une Deuxi\u00E8me R\u00E9publique, et le d\u00E9part des dignitaires du r\u00E9gime, notamment parce que ceux-ci organisent le prochain scrutin avec les candidatures de caciques du r\u00E9gime, ce qui m\u00E8ne \u00E0 l'\u00E9lection de l'ancien Premier ministre Abdelmadjid Tebboune, lui-m\u00EAme contest\u00E9 par les manifestants. D'une ampleur in\u00E9dite depuis des d\u00E9cennies, ces manifestations, qui ont essentiellement lieu les vendredis et mardis (pour les \u00E9tudiants), conduisent Bouteflika \u00E0 d\u00E9missionner le 2 avril 2019, apr\u00E8s la d\u00E9fection de l'Arm\u00E9e nationale populaire, qui s'opposait au projet de Bouteflika de se maintenir au pouvoir au-del\u00E0 de son mandat dans le cadre d'une transition et de r\u00E9formes. Celui-ci est remplac\u00E9 par int\u00E9rim par Abdelkader Bensalah. Les manifestants continuent cependant \u00E0 se mobiliser afin d'obtenir la mise en place d'une transition et la nomination d'un pr\u00E9sident et d'un gouvernement de consensus, ce que rejette l'arm\u00E9e, arguant que cette proposition serait inconstitutionnelle et source d'instabilit\u00E9. L'arm\u00E9e rejette \u00E9galement toute transition, que ce soit en convoquant une assembl\u00E9e constituante, ou des l\u00E9gislatives anticip\u00E9es, ou tout d\u00E9part de l'\u00E9quipe ex\u00E9cutive sortante. Des oligarques et des dignitaires du r\u00E9gime, dont Sa\u00EFd Bouteflika, et de nombreux ministres, dont les anciens chefs de gouvernement Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, sont arr\u00EAt\u00E9s, de m\u00EAme que la trotskyste Louisa Hanoune. Alors que la r\u00E9pression s'intensifie, le r\u00E9gime menace de repr\u00E9sailles les personnes pr\u00F4nant une transition, puis d'arr\u00EAter les manifestants, notamment ceux qui portent le drapeau berb\u00E8re, ou encore le v\u00E9t\u00E9ran de la guerre d'Alg\u00E9rie, Lakhdar Bouregaa, et les opposants et autres figures du mouvement, Rachid Nekkaz et Karim Tabbou. Abdelkader Bensalah se maintient finalement au pouvoir apr\u00E8s la fin de sa p\u00E9riode d'int\u00E9rim de trois mois, ce que des observateurs jugent comme \u00E9tant inconstitutionnel. Lui-m\u00EAme prendra des d\u00E9cisions contest\u00E9es pour inconstitutionnalit\u00E9. Pendant l'\u00E9t\u00E9 2019, la mobilisation baisse, alors que le r\u00E9gime tente d'organiser une pr\u00E9sidentielle avant la fin de l'ann\u00E9e, apr\u00E8s avoir fait appel \u00E0 un panel de dialogue contest\u00E9 et mis en place une instance d'organisation des \u00E9lections. La mobilisation reprend quelque peu \u00E0 la rentr\u00E9e, sans toutefois atteindre les sommets de f\u00E9vrier-avril, les manifestants rejetant ainsi toute pr\u00E9sidentielle organis\u00E9e sous l'\u00E9gide du pouvoir ex\u00E9cutif sortant, de m\u00EAme que les candidatures de personnalit\u00E9s issues du r\u00E9gime. Au m\u00EAme moment, un raidissement de la r\u00E9pression est constat\u00E9, avec l'arrestation de plusieurs opposants, journalistes et activistes, tandis que l'arm\u00E9e tente de bloquer les entr\u00E9es vers la capitale et de p\u00E9naliser le mouvement, pour emp\u00EAcher les citoyens des autres r\u00E9gions de venir manifester. Par ailleurs, plusieurs m\u00E9dias tout en ligne sont censur\u00E9s. Les cinq candidatures retenues en novembre 2019 sont celles de \u00AB caciques \u00BB du r\u00E9gime. Des pics de participation ont cependant lieu lors des f\u00EAtes nationales du 5-Juillet et du 1er-Novembre, ainsi que lors des deux semaines pr\u00E9c\u00E9dant la pr\u00E9sidentielle contest\u00E9e de d\u00E9cembre 2019. \u00C9lu lors du scrutin contest\u00E9 de d\u00E9cembre 2019, Abdelmadjid Tebboune est \u00E0 son tour la cible des manifestants, qui r\u00E9clament son d\u00E9part. Le chef d'\u00E9tat-major de l'arm\u00E9e alg\u00E9rienne, Ahmed Ga\u00EFd Salah, meurt quelques jours plus tard. En d\u00E9but d'ann\u00E9e 2020, alors que certains d\u00E9tenus d'opinion sont lib\u00E9r\u00E9s, Tebboune amorce une r\u00E9forme constitutionnelle. Cependant, les marches se poursuivent bien qu'avec un nombre moins important de participants. La pand\u00E9mie de Covid-19 conduit \u00E0 la suspension des marches, tandis que le r\u00E9gime r\u00E9incarc\u00E8re certaines figures de la contestation et en arr\u00EAte d'autres, tout en condamnant ceux d\u00E9j\u00E0 en prison \u00E0 de lourdes peines. Le mouvement reprend \u00E0 l'approche de son second anniversaire malgr\u00E9 la crise sanitaire qui conna\u00EEt alors une relative accalmie puis est r\u00E9prim\u00E9 par le r\u00E9gime."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Proteste in Algeria del 2019-2020"@it . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Plusieurs milliers, une centaine toujours en d\u00E9tention"@fr . . . . . . . . . .