"1896"^^ . "Half-Breeds (politics)"@en . . . . . . "Les Half-Breeds \u00E9taient vers la fin du XIXe si\u00E8cle aux \u00C9tats-Unis, une faction du Parti r\u00E9publicain, repr\u00E9sentant l'aile mod\u00E9r\u00E9e. Ils s'opposaient alors aux Stalwarts, partisan du pr\u00E9sident Grant pour le contr\u00F4le du parti. Le sujet principal qui divisait les Stalwarts et les Half-Breeds \u00E9tait leur position vis-\u00E0-vis du Syst\u00E8me des d\u00E9pouilles en vigueur depuis Andrew Jackson. Les premiers \u00E9taient partisans de son maintien qui garantissait la fid\u00E9lit\u00E9 des fonctionnaires f\u00E9d\u00E9raux vis-\u00E0-vis du pouvoir en place ; les seconds pr\u00F4naient une r\u00E9forme de la fonction publique donnant plus de place \u00E0 la comp\u00E9tence et au m\u00E9rite. Lors de la Convention nationale r\u00E9publicaine de 1880, l'ancien pr\u00E9sident Ulysses S. Grant \u00E9tait oppos\u00E9 au Half-Breed James G. Blaine pour l'investiture du parti. La campagne de Grant \u00E9tait dirig\u00E9e par le leader stalwart Roscoe Conkling s\u00E9nateur de l'\u00C9tat de New York. Les deux parties savaient qu'il n'y avait aucune chance de victoire pour l'un des deux candidats, et Blaine se d\u00E9sista en faveur de James Garfield candidat de compromis. Les Half-Breeds firent passer au Congr\u00E8s la loi sur la r\u00E9forme de la fonction publique r\u00E9dig\u00E9e par le d\u00E9mocrate George H. Pendleton, et qui a mis fin au syst\u00E8me des d\u00E9pouilles. Vers la fin des ann\u00E9es 1880, les deux factions se sont dissoutes."@fr . . . . . . . . . . . . "3461216"^^ . . "175389719"^^ . . "Half-Breeds"@de . . . . . . . . "Half-Breed"@fr . . . . "Les Half-Breeds \u00E9taient vers la fin du XIXe si\u00E8cle aux \u00C9tats-Unis, une faction du Parti r\u00E9publicain, repr\u00E9sentant l'aile mod\u00E9r\u00E9e. Ils s'opposaient alors aux Stalwarts, partisan du pr\u00E9sident Grant pour le contr\u00F4le du parti. Le sujet principal qui divisait les Stalwarts et les Half-Breeds \u00E9tait leur position vis-\u00E0-vis du Syst\u00E8me des d\u00E9pouilles en vigueur depuis Andrew Jackson. Les premiers \u00E9taient partisans de son maintien qui garantissait la fid\u00E9lit\u00E9 des fonctionnaires f\u00E9d\u00E9raux vis-\u00E0-vis du pouvoir en place ; les seconds pr\u00F4naient une r\u00E9forme de la fonction publique donnant plus de place \u00E0 la comp\u00E9tence et au m\u00E9rite."@fr . . .