. "Jorge Rafael Videla"@fr . . . . "Jos\u00E9 Ignacio Rucci"@fr . . . "Miguel Bonasso"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Schmutziger Krieg"@de . . "188504503"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "54733"^^ . . . . . . . "Ricardo Obreg\u00F3n Cano"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Jo\u00E3o Baptista de Oliveira Figueiredo"@fr . . "Juan Mar\u00EDa Bordaberry"@fr . . . . . . . "Guerre sale"@fr . . . . . "Juan Per\u00F3n"@fr . . . "Des ann\u00E9es 1960 aux ann\u00E9es 1980"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Augusto Pinochet"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "medidas prontas de seguridad"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "es"@fr . . . . . . . . . . "CIA\n----"@fr . "Lorenzo Miguel"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Guerre sale"@fr . . . . "Ernesto Geisel"@fr . "La \u00AB guerre sale \u00BB (espagnol : guerra sucia) est une expression utilis\u00E9e pour d\u00E9signer la r\u00E9pression d'\u00C9tat qui a lieu dans les ann\u00E9es 1960, 1970 et 1980 en Am\u00E9rique latine, d'abord en Argentine, au Br\u00E9sil, et dans l'ensemble du C\u00F4ne Sud dans les ann\u00E9es 1970, puis en Am\u00E9rique centrale. En Argentine, la Comisi\u00F3n Nacional sobre la Desaparici\u00F3n de Personas (CONADEP, Commission nationale sur la disparition de personnes), constitu\u00E9e par le pr\u00E9sident Ra\u00FAl Alfons\u00EDn apr\u00E8s le retour de la d\u00E9mocratie a compt\u00E9 pr\u00E8s de 10 000 disparus (desaparecidos) en Argentine ; d'autres \u00E9tudes en compt\u00E8rent trente mille disparus. Les \u00AB archives de la terreur \u00BB, d\u00E9couvertes dans un commissariat au Paraguay en 1992 et qui concernent l'op\u00E9ration Condor men\u00E9e par les dictatures du C\u00F4ne Sud, comptent au total 50 000 personnes assassin\u00E9es, 30 000 \u00AB disparus \u00BB et 400 000 personnes incarc\u00E9r\u00E9es. Le Rapport Valech au Chili, rendu public en 2004, compte 30 000 personnes tortur\u00E9es pour le seul Chili pinochettiste. La justice argentine a parl\u00E9 pour la premi\u00E8re fois de \u00AB g\u00E9nocide \u00BB (bien que le mot soit mal appliqu\u00E9) lors du proc\u00E8s de Miguel Etchecolatz, un membre notoire de la police m\u00E9tropolitaine de Buenos Aires, jug\u00E9 pour crimes contre l'humanit\u00E9 en 2006. Trente ans apr\u00E8s le coup d'\u00C9tat ayant amen\u00E9 les militaires au pouvoir en Argentine, ce proc\u00E8s a vu la disparition de Jorge Julio L\u00F3pez, qui devait t\u00E9moigner contre Etchecolatz. Jorge Julio L\u00F3pez n'a toujours pas \u00E9t\u00E9 retrouv\u00E9, tandis que les responsables \u00E9ventuels de sa disparition n'ont pas \u00E9t\u00E9 non plus identifi\u00E9s. Beaucoup des partisans des anciens membres ou des parent\u00E9s des anciens membres des mouvements qui appuyaient aux ann\u00E9es 1970 la \u00AB r\u00E9volution castriste \u00BB ou \u00AB castro-gu\u00E9variste \u00BB soup\u00E7onnent de l'action des membres des forces de l'ordre, de l'arm\u00E9e ou des agences de renseignement."@fr . . . . . . . . . "Alfredo Stroessner"@fr . . . . . "Hugo Banzer Su\u00E1rez"@fr . . . . . ""@fr . . . . . . . . . . "La \u00AB guerre sale \u00BB (espagnol : guerra sucia) est une expression utilis\u00E9e pour d\u00E9signer la r\u00E9pression d'\u00C9tat qui a lieu dans les ann\u00E9es 1960, 1970 et 1980 en Am\u00E9rique latine, d'abord en Argentine, au Br\u00E9sil, et dans l'ensemble du C\u00F4ne Sud dans les ann\u00E9es 1970, puis en Am\u00E9rique centrale."@fr . . . "Soutenus par"@fr . . . "Isabel Mart\u00EDnez de Per\u00F3n"@fr . . . . . "Rodolfo Mattarollo"@fr . . . . . . "314543"^^ . . . . . . . . "Hip\u00F3lito Solari Yrigoyen"@fr . . . . . . . . . . . . . "Guerre sale"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Vuile oorlog"@nl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .