. . . . . . . "Andr\u00E9 Lamy"@fr . . . . . . . . "Gilles Carle"@es . . . . "La Mort d'un b\u00FBcheron"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Gilles Carle"@it . . . . . . . . . . . . . . "Gilles Carle est un graphiste plasticien, r\u00E9alisateur, sc\u00E9nariste, monteur et producteur qu\u00E9b\u00E9cois n\u00E9 le 31 juillet 1928 \u00E0 Maniwaki (Canada) et mort le 28 novembre 2009 au Centre hospitalier de Granby, \u00E9tant alors r\u00E9sident de Saint-Paul d'Abbotsford. Il a \u00E9t\u00E9 pr\u00E9sident de la Soci\u00E9t\u00E9 des auteurs et compositeurs dramatiques Canada (SACD) de 1987 \u00E0 1992 ainsi que pr\u00E9sident d'honneur de 1993 \u00E0 2009. Dans cette soci\u00E9t\u00E9, il a notamment veill\u00E9 aux int\u00E9r\u00EAts moraux et mat\u00E9riels des auteurs en n\u00E9gociant pour eux les licences d'exploitation avec les chaines de t\u00E9l\u00E9vision et les producteurs de th\u00E9\u00E2tre."@fr . . . . . . . "40477"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "1928-07-31"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les M\u00E2les"@fr . . . . . . . . . . . . . "189378250"^^ . . . . . . . . . . . "La Vraie Nature de Bernadette"@fr . . . . . . . . . . . . . "artiste"@fr . . . . . . . . . . . . . "Gilles Carle"@fr . . . . . . . . . . . . . "Gilles Carle"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "256282"^^ . . . "Gilles Carle est un graphiste plasticien, r\u00E9alisateur, sc\u00E9nariste, monteur et producteur qu\u00E9b\u00E9cois n\u00E9 le 31 juillet 1928 \u00E0 Maniwaki (Canada) et mort le 28 novembre 2009 au Centre hospitalier de Granby, \u00E9tant alors r\u00E9sident de Saint-Paul d'Abbotsford. \u00C9lev\u00E9 \u00E0 Rouyn-Noranda en Abitibi-T\u00E9miscamingue, il d\u00E9m\u00E9nage \u00E0 16 ans \u00E0 Montr\u00E9al pour \u00E9tudier le dessin \u00E0 l'\u00C9cole des beaux-arts puis \u00E0 l'\u00C9cole des arts graphiques de Montr\u00E9al. Apr\u00E8s avoir \u00E9tudi\u00E9 en lettres \u00E0 l'Universit\u00E9 de Montr\u00E9al, il participe dans les ann\u00E9es 1950 \u00E0 la cr\u00E9ation de la maison d'\u00E9dition l'Hexagone qui publie notamment \u00E0 l'\u00E9poque les \u0153uvres de po\u00E8tes comme Gaston Miron. Puis il travaille comme graphiste \u00E0 Radio-Canada \u00E0 partir de 1955, et joint ensuite l'Office national du film du Canada (ONF), en 1960, o\u00F9 il est d'abord documentaliste, puis sc\u00E9nariste avant de r\u00E9aliser plusieurs documentaires dont Perc\u00E9 on the Rocks en 1964. En 1965, il y signe son premier long m\u00E9trage de fiction (d'environ 75 minutes), La Vie heureuse de L\u00E9opold Z., alors qu'on ne l'avait autoris\u00E9 qu'\u00E0 r\u00E9aliser un simple documentaire (d'environ 15 ou 20 minutes) portant sur l'enl\u00E8vement de la neige \u00E0 Montr\u00E9al. En 1966, semonc\u00E9 par son employeur pour avoir transform\u00E9 en long m\u00E9trage ce projet de documentaire, il quitte l'ONF pour les Productions Onyx avec lesquelles il sc\u00E9narise et r\u00E9alise Le Viol d'une jeune fille douce (en 1968), Red (en 1970) et Les M\u00E2les (en 1971). Puis, avec Pierre Lamy, il fonde les Productions Carle-Lamy au d\u00E9but des ann\u00E9es 1970 et r\u00E9alise au cours de cette d\u00E9cennie La Vraie Nature de Bernadette (en 1972), La Mort d'un b\u00FBcheron (en 1973) et La T\u00EAte de Normande St-Onge (en 1976). Au cours des ann\u00E9es 1980, il adapte deux classiques de la litt\u00E9rature qu\u00E9b\u00E9coise au grand \u00E9cran, Les Plouffe (en 1981) et Maria Chapdelaine (en 1983). Gilles Carle r\u00E9alise ses derniers longs m\u00E9trages de fiction au cours des ann\u00E9es 1990, avant que la maladie ne le r\u00E9duise \u00E0 des travaux plus solitaires, d'\u00E9criture et d'art plastique, puis \u00E0 l'inaction totale. Il a \u00E9t\u00E9 pr\u00E9sident de la Soci\u00E9t\u00E9 des auteurs et compositeurs dramatiques Canada (SACD) de 1987 \u00E0 1992 ainsi que pr\u00E9sident d'honneur de 1993 \u00E0 2009. Dans cette soci\u00E9t\u00E9, il a notamment veill\u00E9 aux int\u00E9r\u00EAts moraux et mat\u00E9riels des auteurs en n\u00E9gociant pour eux les licences d'exploitation avec les chaines de t\u00E9l\u00E9vision et les producteurs de th\u00E9\u00E2tre. Atteint de la maladie de Parkinson et de la maladie d'Alzheimer, Gilles Carle meurt le 28 novembre 2009. Le Qu\u00E9bec lui r\u00E9serve des fun\u00E9railles nationales."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "monteur"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Andr\u00E9 Lamy"@fr . . . . . "Gilles Carle"@fr . . . . . . . . . . . . . "1928-07-31"^^ . . . . . . . "2009-11-28"^^ . . . "Les Plouffe"@fr . . . . . . . "en"@fr . . . . . "La Vie heureuse de L\u00E9opold Z."@fr . . . . . . . . . . "Andr\u00E9 Lamy"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "2009-11-28"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Gilles Carle"@fr . . . . . . . . . . . . . . . .