. . . . . . . . . . . . . . . "Category:Friedrich R\u00FCckert"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Friedrich R\u00FCckert"@it . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "279885"^^ . . . . . . . . . "\u0424\u0440\u0456\u0434\u0440\u0456\u0445 \u0420\u044E\u043A\u043A\u0435\u0440\u0442"@uk . . . . "Friedrich Johann Michael R\u00FCckert (Schweinfurt, 16 mai 1788 - Neuses, pr\u00E8s de Cobourg, 31 janvier 1866) est un po\u00E8te, traducteur, orientaliste et professeur allemand, auteur prolifique (sous son propre nom ou sous pseudonyme) de po\u00E8mes lyriques, de po\u00E8mes pour almanach, d\u2019aphorismes, de chansons enfantines, de contes et d\u2019\u00E9pop\u00E9es historiques et bibliques, et d\u2019autre part de traductions ou transpositions d\u2019\u0153uvres des litt\u00E9ratures orientales, principalement arabe et persane. Friedrich R\u00FCckert commen\u00E7a par \u00E9tudier le droit, puis la philologie classique \u00E0 Wurtzbourg. Tr\u00E8s dou\u00E9 pour les langues (il en ma\u00EEtrisera plus d\u2019une quarantaine), il apprit le persan \u00E0 Vienne aupr\u00E8s de Joseph von Hammer-Purgstall, et s\u2019initia ensuite lui-m\u00EAme \u00E0 d\u2019autres langues orientales et, \u00E0 travers ses traductions ou tranpositions d\u2019\u0153uvres principalement arabes et persanes, sut introduire en Allemagne la mythologie et la po\u00E9sie non seulement arabe et persane, mais aussi indienne, chinoise etc. Il enseigna \u00E0 partir de 1826 les langues et litt\u00E9ratures orientales \u00E0 l\u2019universit\u00E9 d\u2019Erlangen puis de Berlin, avant de se d\u00E9tourner de la carri\u00E8re universitaire et de s\u2019installer en 1848 dans le domaine qu\u2019il poss\u00E9dait \u00E0 Neuses, pr\u00E8s de Cobourg, et de se vouer d\u00E9sormais, dans le \u00AB refuge po\u00E9tique \u00BB qu\u2019il s\u2019\u00E9tait fait construire, \u00E0 l\u2019\u00E9tude et \u00E0 l\u2019\u00E9criture. Il publia des pi\u00E8ces historiques, qui n\u2019eurent qu\u2019un faible retentissement, et plusieurs po\u00E8mes \u00E9piques, mais connut le succ\u00E8s surtout par sa po\u00E9sie lyrique, d\u2019une grande virtuosit\u00E9 formelle, notamment Liebesfr\u00FChling (litt\u00E9r . Printemps d\u2019amour, 1844), recueil \u00E9crit pendant qu\u2019il courtisait Luise Wiethaus, sa future \u00E9pouse, et \u00D6stliche Rosen (\u00E0 partir de th\u00E8mes orientaux, d\u00E9di\u00E9 \u00E0 Goethe), mais surtout par Weisheit des Brahmanen (1836-1839), collection d\u2019aphorismes influenc\u00E9s par la pens\u00E9e hindoue, qui deviendra l\u2019un des livres les plus lus dans l\u2019Allemagne du XIXe si\u00E8cle. Auparavant, la guerre de lib\u00E9ration contre les arm\u00E9es napol\u00E9oniennes lui avait inspir\u00E9 des po\u00E9sies patriotiques et martiales, les Geharnischte Sonette (litt\u00E9r. Sonnets cuirass\u00E9s, r\u00E9unis dans son recueil Deutsche Gedichte de 1814), o\u00F9 il exhorta les Prussiens \u00E0 se joindre au combat contre l\u2019occupant. Cinq de ses Kindertotenlieder (les Chants des enfants morts), compos\u00E9s en 1834 \u00E0 la suite de la mort de deux de ses enfants et publi\u00E9s (comme nombre de ses \u0153uvres) posthum\u00E9ment en 1872, furent mis en musique par Gustav Mahler, de m\u00EAme que cinq autres de ses po\u00E8mes, qui constituent le cycle des R\u00FCckert-Lieder. D\u2019autres adaptations musicales encore (Schumann, Brahms, Strauss etc.) ont sans doute \u00E9pargn\u00E9 \u00E0 cette \u0153uvre de tomber tout \u00E0 fait dans l\u2019oubli ; quelques-unes de ces po\u00E9sies pourtant, en particulier les \u00E9mouvants Kindertotenlieder et les po\u00E8mes de Liebesfr\u00FChling, \u00E9chappent \u00E0 cette po\u00E9sie conventionnelle \u00AB professorale, o\u00F9 la richesse de la forme dissimule mal la m\u00E9diocrit\u00E9 et le didactisme de l\u2019inspiration \u00BB. Ses assemblages de mots retentissants, ses rythmes sonores et ses images splendides ont fait de lui le po\u00E8te allemand le plus souvent compar\u00E9 \u00E0 Victor Hugo."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Friedrich Ruckert"@eu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Friedrich Johann Michael R\u00FCckert (Schweinfurt, 16 mai 1788 - Neuses, pr\u00E8s de Cobourg, 31 janvier 1866) est un po\u00E8te, traducteur, orientaliste et professeur allemand, auteur prolifique (sous son propre nom ou sous pseudonyme) de po\u00E8mes lyriques, de po\u00E8mes pour almanach, d\u2019aphorismes, de chansons enfantines, de contes et d\u2019\u00E9pop\u00E9es historiques et bibliques, et d\u2019autre part de traductions ou transpositions d\u2019\u0153uvres des litt\u00E9ratures orientales, principalement arabe et persane."@fr . . . . . . . . . . . . "Friedrich R\u00FCckert"@af . . . "Friedrich R\u00FCckert"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "183006136"^^ . . . "\u30D5\u30EA\u30FC\u30C9\u30EA\u30D2\u30FB\u30EA\u30E5\u30C3\u30B1\u30EB\u30C8"@ja . . "Friedrich R\u00FCckert"@nl . . "Friedrich R\u00FCckert"@fr . . . . . . . . . . "Friedrich R\u00FCckert"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0631\u0648\u0643\u0631\u062A"@arz . . . . . . . . . . . . . . . . . "Signatur Friedrich R\u00FCckert.JPG" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "43557"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Friedrich R\u00FCckert"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Friedrich R\u00FCckert"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Friedrich R\u00FCckert"@pt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0420\u044E\u043A\u043A\u0435\u0440\u0442, \u0424\u0440\u0438\u0434\u0440\u0438\u0445"@ru .