. . . . . . "avril 2020"@fr . . . . "187693889"^^ . . . . . . "\u5206\u53C9 (\u8F6F\u4EF6\u5F00\u53D1)"@zh . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u062A\u0641\u0631\u0639 \u0645\u0639\u062F\u0644 (\u0628\u0631\u0645\u062C\u0629)"@ar . . . . . . . . . . . . . . "Fork (d\u00E9veloppement logiciel)"@fr . . "Un fork (terme anglais signifiant \u00AB fourche \u00BB, \u00AB bifurcation \u00BB, \u00AB embranchement \u00BB ) d\u00E9signe dans le langage courant, un nouveau logiciel cr\u00E9\u00E9 \u00E0 partir du code source d'un logiciel existant (\u00E0 ne pas confondre avec un fork, ensemble de donn\u00E9es associ\u00E9 \u00E0 un objet du syst\u00E8me de fichiers, ni avec l'appel syst\u00E8me fork qui permet \u00E0 un processus d'en cr\u00E9er un nouveau). Son existence d\u00E9coule d\u2019un choix politique venant de visions diff\u00E9rentes du projet des diff\u00E9rents acteurs qui y participe, un acteur d\u00E9cidant alors de cr\u00E9er le fork pour lui imposer les id\u00E9es qu\u2019il n\u2019a pas pu soumettre au pr\u00E9c\u00E9dent projet, une forme de schisme."@fr . . . . "4895147"^^ . . . . . . "10794"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Fork"@pl . . . . . . "Fork"@sv . . . "Un fork (terme anglais signifiant \u00AB fourche \u00BB, \u00AB bifurcation \u00BB, \u00AB embranchement \u00BB ) d\u00E9signe dans le langage courant, un nouveau logiciel cr\u00E9\u00E9 \u00E0 partir du code source d'un logiciel existant (\u00E0 ne pas confondre avec un fork, ensemble de donn\u00E9es associ\u00E9 \u00E0 un objet du syst\u00E8me de fichiers, ni avec l'appel syst\u00E8me fork qui permet \u00E0 un processus d'en cr\u00E9er un nouveau). Son existence d\u00E9coule d\u2019un choix politique venant de visions diff\u00E9rentes du projet des diff\u00E9rents acteurs qui y participe, un acteur d\u00E9cidant alors de cr\u00E9er le fork pour lui imposer les id\u00E9es qu\u2019il n\u2019a pas pu soumettre au pr\u00E9c\u00E9dent projet, une forme de schisme. Les forks sont courants dans le domaine des logiciels libres, dont les licences permettent l'utilisation, la modification et la redistribution du code source. L'Office qu\u00E9b\u00E9cois de la langue fran\u00E7aise pr\u00E9conise les termes de fourche ou d'embranchement ; les expressions \u00AB embranchement logiciel \u00BB et \u00AB ramification logicielle \u00BB sont \u00E9galement utilis\u00E9es. Un fork peut \u00EAtre b\u00E9n\u00E9fique pour un projet donn\u00E9 lorsque sa gouvernance actuelle conduit \u00E0 une impasse, sa reprise par un nouveau groupe pouvant le relancer. Il peut aussi \u00EAtre n\u00E9faste en provoquant un \u00E9parpillement des ressources. Un fork peut na\u00EEtre \u00E0 la suite de divergences de points de vue ou d'objectifs parmi les d\u00E9veloppeurs, ou encore \u00E0 la suite de conflits personnels (Ex : Iceweasel sous Debian est un fork de Mozilla Firefox). Les projets parents et dissidents peuvent avoir des rapports amicaux (fork amical) ou bien conflictuels (fork inamical). Quels que soient les rapports entre les deux projets, les licences de logiciels libres permettent l'emprunt de code d'un projet par l'autre. Ainsi, les diff\u00E9rents BSD s'empruntent r\u00E9guli\u00E8rement du code, car ils partagent la m\u00EAme licence. Une illustration de la r\u00E9gulation des projets libres par ce moyen est l'apparition d'au moins trois forks libres pour le projet SourceForge \u00E0 l'issue de la \u00AB d\u00E9rive de SourceForge \u00BB : \n* Gforge, \n* Debian SF, \n* GNU Savannah, \n* Codendi, \n* et d'autres qui ne sont plus maintenus."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Fork"@eu . . . . . . . . . .