. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "185631480"^^ . . "18823"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0627\u0644\u0642\u0648\u0627\u062A \u0627\u0644\u062C\u062F\u064A\u062F\u0629 \u0644\u0633\u0627\u062D\u0644 \u0627\u0644\u0639\u0627\u062C"@ar . . . . . "Les Forces nouvelles de C\u00F4te d'Ivoire (FNCI) \u00E9taient une coalition de mouvements rebelles, le Mouvement populaire ivoirien du Grand Ouest (MPIGO), le Mouvement patriotique de C\u00F4te d'Ivoire (MPCI) et le Mouvement pour la justice et la paix (MJP) dont les \u00E9l\u00E9ments arm\u00E9s contr\u00F4laient une zone baptis\u00E9e \u00AB zone CNO \u00BB (Centre, Nord et Ouest), un territoire, d'une surface de 193 000 km2 (soit 60 % du territoire de la C\u00F4te d'Ivoire), pendant la premi\u00E8re partie de la crise, de 2002 \u00E0 2007, essentiellement dans la partie nord du pays. Guillaume Soro \u00E9tait le secr\u00E9taire g\u00E9n\u00E9ral de ce mouvement. Les Forces nouvelles, organis\u00E9es autour d'un cabinet civil et d'un \u00E9tat-major militaire, disposaient d'une branche arm\u00E9e appel\u00E9es Forces Arm\u00E9es des Forces Nouvelles (FAFN), dont le chef d'\u00E9tat-major \u00E9tait le g\u00E9n\u00E9ral Souma\u00EFla Bakayoko et le chef d'\u00E9tat-major adjoint le commandant Issiaka Ouattara dit Wattao, un proche de Guillaume Soro dont il est le bras arm\u00E9. Les FAFN sont organis\u00E9es en plusieurs contingents pour chaque zone. Apr\u00E8s le d\u00E9nouement de la crise post-\u00E9lectorale de 2010-2011, les FAFN sont dissoutes et une partie des hommes rejoint l\u2019arm\u00E9e r\u00E9guli\u00E8re mise en place le 17 mars 2011 sous le nom de Forces r\u00E9publicaines de C\u00F4te d'Ivoire (FRCI) (auxquelles s'adjoignent les Forces de d\u00E9fense et de s\u00E9curit\u00E9), sous le commandement du colonel Patrice Kouassi. Une autre partie est d\u00E9sarm\u00E9e et d\u00E9mobilis\u00E9e avec plus ou moins de succ\u00E8s. Enfin, la branche politique, men\u00E9e par Guillaume Soro, s'int\u00E8gre pour une grande part au parti du nouveau chef de l'\u00C9tat, le Rassemblement des r\u00E9publicains (RDR), tandis que l'appellation \u00AB Forces nouvelles \u00BB dispara\u00EEt de facto."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Les Forces nouvelles de C\u00F4te d'Ivoire (FNCI) \u00E9taient une coalition de mouvements rebelles, le Mouvement populaire ivoirien du Grand Ouest (MPIGO), le Mouvement patriotique de C\u00F4te d'Ivoire (MPCI) et le Mouvement pour la justice et la paix (MJP) dont les \u00E9l\u00E9ments arm\u00E9s contr\u00F4laient une zone baptis\u00E9e \u00AB zone CNO \u00BB (Centre, Nord et Ouest), un territoire, d'une surface de 193 000 km2 (soit 60 % du territoire de la C\u00F4te d'Ivoire), pendant la premi\u00E8re partie de la crise, de 2002 \u00E0 2007, essentiellement dans la partie nord du pays. Guillaume Soro \u00E9tait le secr\u00E9taire g\u00E9n\u00E9ral de ce mouvement."@fr . . . . . . . . . . . . . "Forces nouvelles de C\u00F4te d'Ivoire"@fr . . . . . . "336806"^^ .