"Falla transformant"@ca . . . "\u30C8\u30E9\u30F3\u30B9\u30D5\u30A9\u30FC\u30E0\u65AD\u5C64"@ja . "Transformst\u00F6rung"@de . . "1473037"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les failles transformantes sont des limites de plaque lithosph\u00E9rique o\u00F9 il n'y a ni subduction ni cr\u00E9ation de lithosph\u00E8re (limite conservative). Elles sont situ\u00E9es en bordure de plaques tectoniques et d\u00E9coupent les dorsales perpendiculairement. Les fronti\u00E8res pr\u00E8s de ce type de faille sont g\u00E9ologiquement actives (s\u00E9ismes, volcans...). La faille transformante agit selon un mouvement de coulissage. Les failles transformantes sont des arcs de cercle car tous les mouvements de plaques lithosph\u00E9riques sont des rotations (conform\u00E9ment au th\u00E9or\u00E8me d'Euler) et ce sont des coulissements entre deux plaques lithosph\u00E9riques. Tous les 200 \u00E0 300 km, ces failles d\u00E9calent l'axe de la dorsale. Seules les zones qui s\u00E9parent deux axes subissent une sismicit\u00E9 importante, en raison du d\u00E9placement en sens contraire de leur portion de lithosph\u00E8re. Le terme de faille transformante a \u00E9t\u00E9 propos\u00E9 en 1965 par John Tuzo Wilson dans un article de la revue Nature. Il applique ce terme \u00E0 toutes les failles d\u00E9crochantes reliant deux autres types de structure (deux segments de dorsales, une dorsale et un arc insulaire, etc.), donc au niveau desquelles \"le mouvement s'arr\u00EAte soudainement ou change de forme et de direction\" (Wilson, 1965). Parmi ces failles, Wilson d\u00E9crit les transformantes reliant deux segments de dorsales, des \"failles cisaillantes horizontales qui se terminent abruptement \u00E0 chaque bout mais peuvent n\u00E9anmoins montrer de grands d\u00E9placements. Chacune peut \u00EAtre con\u00E7ue comme une paire de demi-cisaillements jointes par leurs extr\u00E9mit\u00E9s\". Il prend l'exemple des transformantes de l'oc\u00E9an Atlantique qui donnent l'apparence d'un d\u00E9calage senestre des segments de dorsale, mais correspondent en r\u00E9alit\u00E9 \u00E0 des failles \u00E0 mouvement dextre. C'est \u00E0 ce type de faille que l'on restreint aujourd'hui le qualificatif de \"transformante\". La faille transformante la plus c\u00E9l\u00E8bre est celle de San-Andreas. Il s'agit en fait d'un ensemble de failles transformantes qui assure le coulissage de la plaque pacifique contre la plaque nord-am\u00E9ricaine. La faille nord-pyr\u00E9n\u00E9enne serait \u00E9galement une ancienne faille de coulissage. Certains auteurs sont en d\u00E9saccord, consid\u00E9rant qu'il s'agit de d\u00E9crochement ou \u00AB faille d\u00E9crochante \u00BB."@fr . . . . . . "Faille transformante"@fr . "Les failles transformantes sont des limites de plaque lithosph\u00E9rique o\u00F9 il n'y a ni subduction ni cr\u00E9ation de lithosph\u00E8re (limite conservative). Elles sont situ\u00E9es en bordure de plaques tectoniques et d\u00E9coupent les dorsales perpendiculairement. Les fronti\u00E8res pr\u00E8s de ce type de faille sont g\u00E9ologiquement actives (s\u00E9ismes, volcans...). La faille transformante agit selon un mouvement de coulissage. Les failles transformantes sont des arcs de cercle car tous les mouvements de plaques lithosph\u00E9riques sont des rotations (conform\u00E9ment au th\u00E9or\u00E8me d'Euler) et ce sont des coulissements entre deux plaques lithosph\u00E9riques. Tous les 200 \u00E0 300 km, ces failles d\u00E9calent l'axe de la dorsale. Seules les zones qui s\u00E9parent deux axes subissent une sismicit\u00E9 importante, en raison du d\u00E9placement en sens contr"@fr . . . . "\u0422\u0440\u0430\u043D\u0441\u0444\u043E\u0440\u043C\u043D\u0438\u0439 \u0440\u043E\u0437\u043B\u043E\u043C"@uk . . . "Uskok transformacyjny"@pl . . "Transform fault"@en . . "3160"^^ . . . . . . . . . "170933876"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "\u8F49\u5F62\u65B7\u5C64"@zh . . . . . . . . . "Faglia trasforme"@it .