. . . . . . . . . . . . . . . . "10770034"^^ . . . "186660591"^^ . . . . . . . . . . . . . "Eug\u00E8ne Roger (n\u00E9 \u00E0 Sens le 26 mai 1807, mort \u00E0 Paris le 30 juillet 1840) est un peintre romantique fran\u00E7ais. N\u00E9 \u00E0 Sens, fils d'un receveur des contributions indirectes de Bourges, il \u00E9tudie un an au Coll\u00E8ge royal et commence le dessin sous la direction d'Henri-Joseph Boichard. Il entre \u00E0 l'\u00C9cole des Beaux-Arts de Paris en mai 1826, pr\u00E9sent\u00E9 par Louis Hersent. El\u00E8ve d'Hersent d\u00E8s 1826, puis de Antoine-Jean Gros et d'Ingres en 1832, il se pr\u00E9sente six fois au Concours du prix de Rome entre 1828 et 1833. Il remporte enfin le prix lors de sa derni\u00E8re tentative, sur le th\u00E8me de Mo\u00EFse et le serpent d'airain (Paris, \u00E9cole nationale sup\u00E9rieure des Beaux-Arts). Il s\u00E9journe \u00E0 la Villa M\u00E9dicis entre 1834 et 1838, envoyant r\u00E9guli\u00E8rement des \u0153uvres au Salon. Pr\u00E9sent r\u00E9guli\u00E8rement au Salon de 1831 \u00E0 sa "@fr . . . "Eug\u00E8ne Roger (n\u00E9 \u00E0 Sens le 26 mai 1807, mort \u00E0 Paris le 30 juillet 1840) est un peintre romantique fran\u00E7ais. N\u00E9 \u00E0 Sens, fils d'un receveur des contributions indirectes de Bourges, il \u00E9tudie un an au Coll\u00E8ge royal et commence le dessin sous la direction d'Henri-Joseph Boichard. Il entre \u00E0 l'\u00C9cole des Beaux-Arts de Paris en mai 1826, pr\u00E9sent\u00E9 par Louis Hersent. El\u00E8ve d'Hersent d\u00E8s 1826, puis de Antoine-Jean Gros et d'Ingres en 1832, il se pr\u00E9sente six fois au Concours du prix de Rome entre 1828 et 1833. Il remporte enfin le prix lors de sa derni\u00E8re tentative, sur le th\u00E8me de Mo\u00EFse et le serpent d'airain (Paris, \u00E9cole nationale sup\u00E9rieure des Beaux-Arts). Il s\u00E9journe \u00E0 la Villa M\u00E9dicis entre 1834 et 1838, envoyant r\u00E9guli\u00E8rement des \u0153uvres au Salon. Pr\u00E9sent r\u00E9guli\u00E8rement au Salon de 1831 \u00E0 sa mort, il y expose des portraits et quelques toiles historiques dans la nouvelle veine romantique de la d\u00E9cennie 1830. En 1833, son Corps de Charles le T\u00E9m\u00E9raire lui vaut d'\u00EAtre couronn\u00E9 par l'Acad\u00E9mie des Beaux-Arts, et sa derni\u00E8re \u0153uvre, une Pr\u00E9dication de saint Jean-Baptiste, est acquise 4000 francs par l'Etat et envoy\u00E9e au mus\u00E9e de Bourges. D\u00E8s son arriv\u00E9e en 1838 (\u00E0 la suite de la contraction d'une \u00AB maladie de poitrine \u00BB qui l'oblige \u00E0 pr\u00E9cipiter son retour de Rome), il re\u00E7oit quelques commandes pour les galeries historiques de Versailles : un Charlemagne traversant les Alpes achet\u00E9 600 francs en 1838, et une Lev\u00E9e du si\u00E8ge de Salerne command\u00E9e pour 1500 francs en 1839, pour les \u00AB Salles des croisades \u00BB du nouveau mus\u00E9e voulu par Louis-Philippe Ier. Il peint \u00E9galement un Charles VI rentrant au Louvre command\u00E9 par la Maison du roi et expos\u00E9 en 1835. De sant\u00E9 fragile, il meurt \u00E0 33 ans en 1840."@fr . . . . . "4860"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Eug\u00E8ne Roger"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .