. . . . . . "Etnocacerismo"@pt . . "Ethnocac\u00E9risme"@fr . . . . . . . . . . . . "172770"^^ . "Etnocaceristische Beweging"@nl . . . "178258394"^^ . . . "Etnocacerismo"@es . . . . . "Etnocacerismo"@it . . "L\u2019ethnocac\u00E9risme, ou mouvement ethnocac\u00E9riste (en espagnol etnocacerismo ou movimiento etnocacerista), est un mouvement paramilitaire nationaliste et indig\u00E9niste du P\u00E9rou, dirig\u00E9 par l'ex-major Antauro Humala, aujourd'hui en prison. Son id\u00E9ologie d\u00E9rive de celle d'Isaac Humala, avocat et communiste nationaliste, p\u00E8re d'Antauro et Ollanta Humala."@fr . "Ethnocacerism"@en . . . . . . . "2614"^^ . "L\u2019ethnocac\u00E9risme, ou mouvement ethnocac\u00E9riste (en espagnol etnocacerismo ou movimiento etnocacerista), est un mouvement paramilitaire nationaliste et indig\u00E9niste du P\u00E9rou, dirig\u00E9 par l'ex-major Antauro Humala, aujourd'hui en prison. Son id\u00E9ologie d\u00E9rive de celle d'Isaac Humala, avocat et communiste nationaliste, p\u00E8re d'Antauro et Ollanta Humala. Il tire son nom du mar\u00E9chal Andr\u00E9s Avelino C\u00E1ceres, h\u00E9ros de la guerre du Pacifique (1879-1884) qui a oppos\u00E9 le P\u00E9rou au Chili, et du pr\u00E9fixe etno, c'est-\u00E0-dire \u00AB ethnique \u00BB, en r\u00E9f\u00E9rence aux origines am\u00E9rindiennes d'une large partie de la population du pays. Il s'inspire historiquement de la culture de l'empire Inca, tandis que ses ambitions politiques sont la reconqu\u00EAte du pouvoir indig\u00E8ne et national, la d\u00E9fense des fronti\u00E8res et des int\u00E9r\u00EAts du P\u00E9rou, contre les Nord-am\u00E9ricains et le lobby isra\u00E9lien, la mise en place d'un r\u00E9gime de type nationaliste et la nationalisation des industries, ainsi que la l\u00E9galisation de la culture de la coca et la destruction du fujimorisme, des homosexuels et du Chili. Le mouvement ethnocac\u00E9riste est majoritairement constitu\u00E9 d'anciens militaires \u2014 licenci\u00E9s ou d\u00E9serteurs[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]."@fr . . . . . . . . . .