. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Invasieve soort"@nl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0418\u043D\u0432\u0430\u0437\u0438\u043E\u043D\u043D\u044B\u0439 \u0432\u0438\u0434"@ru . . . . . . . . . . . . . "Invasive species"@en . . . . . "Une esp\u00E8ce envahissante, esp\u00E8ce envahissante exog\u00E8ne ou esp\u00E8ce exotique envahissante ou EEE (l\u2019anglicisme esp\u00E8ce invasive est \u00E9galement utilis\u00E9 en dehors des documents officiels) est une esp\u00E8ce vivante exotique (ou allochtone, non indig\u00E8ne, exog\u00E8ne ou \u00E9trang\u00E8re), un n\u00E9ozoaire s'il s'agit d'un animal, qui devient un agent de perturbation nuisible \u00E0 la biodiversit\u00E9 autochtone des \u00E9cosyst\u00E8mes naturels ou semi-naturels parmi lesquels elle s\u2019est \u00E9tablie. Son explosion d\u00E9mographique peut se traduire par une invasion biologique. Selon Curtis Marean au vu des d\u00E9finitions habituelles de l'invasivit\u00E9 \u00E9cologique, Homo sapiens serait \u00AB la plus invasive des esp\u00E8ces (...) la seule \u00E0 avoir investi la plan\u00E8te enti\u00E8re \u00BB, en moins de 100 000 ans. Cette d\u00E9finition exclut l\u2019esp\u00E8ce prolif\u00E9rante qui est une esp\u00E8ce qui pr\u00E9sente des pullulations dans une zone d\u00E9termin\u00E9e, ces prolif\u00E9rations pouvant survenir pour des esp\u00E8ces autochtones ou allochtones (par exemple celles \u00E0 l'origine de bloom algal ou bact\u00E9rien). Une grande capacit\u00E9 \u00E0 coop\u00E9rer et l'invention des armes de jet expliqueraient pourquoi, de toutes les esp\u00E8ces humaines ayant v\u00E9cu sur Terre, la n\u00F4tre est la seule \u00E0 avoir investi la plan\u00E8te enti\u00E8re. De 2000 \u00E0 2017, les invasions biologiques ont continu\u00E9 \u00E0 se d\u00E9velopper, \u00E0 cause du commerce international notamment. Elles sont selon l\u2019ONU devenues la seconde cause de r\u00E9gression de la biodiversit\u00E9 (avec la pollution, la fragmentation \u00E9cologique des \u00E9cosyst\u00E8mes et la surexploitation des esp\u00E8ces, des milieux et ressources naturelles). \u00AB Le qualificatif d'esp\u00E8ce envahissante d\u00E9signe une esp\u00E8ce, une sous-esp\u00E8ce ou une entit\u00E9 de niveau taxonomique inf\u00E9rieur pr\u00E9sente hors de son aire de r\u00E9partition ou de son aire de dispersion potentielle (c'est-\u00E0-dire hors de la zone g\u00E9ographique qu\u2019elle occupe naturellement ou peut occuper sans intervention humaine par introduction volontaire ou involontaire) et est applicable \u00E0 toute partie d\u2019un individu (gam\u00E8te ou propagule) susceptible de survivre et de se reproduire. \u00BB En r\u00E9alit\u00E9, il faudrait parler de population envahissante et non d'esp\u00E8ce envahissante, et chez certaines esp\u00E8ces, seules quelques sous-esp\u00E8ces sont devenues envahissantes (ex. : Codium fragile ssp. tomentosoides, au sein des Codium). En Europe, on appelle parfois n\u00E9ophyte une esp\u00E8ce apparue apr\u00E8s la d\u00E9couverte de l'Am\u00E9rique (ou \u00E0 partir de 1500). La biodiversit\u00E9, lorsqu'elle n'est pas perturb\u00E9e est en soi un facteur de r\u00E9silience et de limitation de l'invasivit\u00E9 de nombreuses esp\u00E8ces introduites. L'artificialisation d'un milieu est facteur d'invasivit\u00E9 d'esp\u00E8ces qui ne le seraient pas ailleurs. L'ONU, l'UICN et les scientifiques estiment que parall\u00E8lement \u00E0 la d\u00E9gradation, fragmentation et disparition des habitats, l\u2019introduction d'esp\u00E8ces animales ou v\u00E9g\u00E9tales (voire de fonge) exog\u00E8nes et les d\u00E9g\u00E2ts li\u00E9s \u00E0 leur extension sont devenus l'une des causes majeures de r\u00E9gression de la diversit\u00E9 biologique, dans le monde comme en France."@fr . "Hypericum canariense"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Spartina foliosa"@fr . . . . . . . . . . . "\u5165\u4FB5\u7269\u79CD"@zh . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "30"^^ . . . "\u0646\u0648\u0639 \u0645\u062C\u062A\u0627\u062D"@ar . . . . . . . . . "Une esp\u00E8ce envahissante, esp\u00E8ce envahissante exog\u00E8ne ou esp\u00E8ce exotique envahissante ou EEE (l\u2019anglicisme esp\u00E8ce invasive est \u00E9galement utilis\u00E9 en dehors des documents officiels) est une esp\u00E8ce vivante exotique (ou allochtone, non indig\u00E8ne, exog\u00E8ne ou \u00E9trang\u00E8re), un n\u00E9ozoaire s'il s'agit d'un animal, qui devient un agent de perturbation nuisible \u00E0 la biodiversit\u00E9 autochtone des \u00E9cosyst\u00E8mes naturels ou semi-naturels parmi lesquels elle s\u2019est \u00E9tablie. Son explosion d\u00E9mographique peut se traduire par une invasion biologique. Selon Curtis Marean au vu des d\u00E9finitions habituelles de l'invasivit\u00E9 \u00E9cologique, Homo sapiens serait \u00AB la plus invasive des esp\u00E8ces (...) la seule \u00E0 avoir investi la plan\u00E8te enti\u00E8re \u00BB, en moins de 100 000 ans."@fr . . . "hypoth\u00E8se de lib\u00E9ration des ennemis"@fr . . . . . . . . . . . . . . "Hypericum canariense"@fr . . . . . . . . . . . . . . "Spartina_foliosa"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "en"@fr . "Invasiv art"@sv . . . "Esp\u00E9cie invasora"@pt . . . . . . . . . "701289"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\"A\""@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Enemy release hypothesis"@fr . . . "Esp\u00E8cie invasora"@ca . . . . "Spartina_foliosa"@fr . . . . . . . "Especie invasora"@es . . . . . . . . . . . . . . . . "Specie alloctona"@it . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Spartina foliosa"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Hypericum_canariense"@fr . . . . "hypoth\u00E8se de l'accroissement de la comp\u00E9titivit\u00E9 des esp\u00E8ces non indig\u00E8nes"@fr . . . . . "124030"^^ . . . . . . . "189963527"^^ . "Esp\u00E8ce envahissante"@fr . . . . . . "EICA hypothesis"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .