. . "The Edinburgh Review"@nl . . . . . . . "1345999"^^ . . . . . . . . "3632"^^ . . . . . . . . . . . "The Edinburgh Review (La Revue d'\u00C9dimbourg) est une revue britannique publi\u00E9e de 1802 \u00E0 1920 \u00E0 \u00C9dimbourg. C'est avec The Quarterly Review le p\u00E9riodique britannique le plus influent du XIXe si\u00E8cle. Elle a pris pour devise \u00AB absolvitur de nocens d'ubi de damnatur de judex \u00BB (\u00AB le juge est condamn\u00E9 quand le coupable est acquitt\u00E9 \u00BB), formule de Publilius Syrus. Un article sur \"les droits et les devoirs des femmes\" dans la Edinburgh Review de 1841, auraient inspir\u00E9 le livre de Marion Kirkland Reid A Plea for Women."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "178147198"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "Edinburgh Review"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "The Edinburgh Review (La Revue d'\u00C9dimbourg) est une revue britannique publi\u00E9e de 1802 \u00E0 1920 \u00E0 \u00C9dimbourg. C'est avec The Quarterly Review le p\u00E9riodique britannique le plus influent du XIXe si\u00E8cle. Elle a pris pour devise \u00AB absolvitur de nocens d'ubi de damnatur de judex \u00BB (\u00AB le juge est condamn\u00E9 quand le coupable est acquitt\u00E9 \u00BB), formule de Publilius Syrus. Cr\u00E9\u00E9e le 10 octobre 1802 par Francis Jeffrey, Sydney Smith et Henry Brougham, elle est \u00E9dit\u00E9e par Archibald Constable tous les trimestres jusqu'en 1929. Le magazine a commenc\u00E9 en tant que revue litt\u00E9raire et politique et, sous la direction de son premier r\u00E9dacteur en chef, Francis Jeffrey, repr\u00E9sente un puissant soutien de la politique du parti Whig et du laissez-faire, se pronon\u00E7ant r\u00E9guli\u00E8rement pour des r\u00E9formes politiques. Son rival principal est la Quarterly Review, qui soutient les tories. Le magazine se distingue \u00E9galement par ses attaques sur les \u00AB po\u00E8tes du Lake \u00BB, en particulier William Wordsworth. Un article sur \"les droits et les devoirs des femmes\" dans la Edinburgh Review de 1841, auraient inspir\u00E9 le livre de Marion Kirkland Reid A Plea for Women. Il a d\u00E9j\u00E0 exist\u00E9 un Edinburgh Magazine and Review, (Magazine et Revue d'\u00C9dimbourg) avant la Revue d'\u00C9dimbourg, entre 1773 et 1776 ; il s'agissait d'un mensuel, et il n'avait aucun rapport avec son successeur. Le magazine a disparu en 1929. Le nom a \u00E9t\u00E9 repris lors de la cr\u00E9ation de la New Edinburgh Review (Nouvelle Revue d'\u00C9dimbourg) en 1969 ; cette revue a \u00E9t\u00E9 \u00E9dit\u00E9e sous ce nom jusqu'en 1984. \u00C0 l'issue du num\u00E9ro 67/8, il a pris le nom de Revue d'\u00C9dimbourg, avec pour devise \u00AB To gather all the rays of culture into one \u00BB (\u00AB R\u00E9unir tous les rayons de la culture en un \u00BB), nom sous lequel il est encore publi\u00E9. Il est parfois affirm\u00E9 que le magazine actuel est une suite de son homonyme, une id\u00E9e fausse que l'\u00E9diteur ne cherche pas vraiment \u00E0 d\u00E9mentir."@fr .