. . . . . . . . . . . . "Diplomatique byzantine"@fr . . . . . "Compar\u00E9e au travail produit dans les chancelleries de l\u2019Occident, la diplomatique byzantine est tr\u00E8s pauvre et mal connue. Si la maxime selon laquelle \u00AB pas de documents pas d\u2019histoire \u00BB est ch\u00E8re aux m\u00E9di\u00E9vistes qui s\u2019int\u00E9ressent \u00E0 l\u2019Occident, elle l\u2019est encore plus \u00E0 ceux qui se passionnent pour la partie orientale de l\u2019ancien Empire romain. La raison est la grande raret\u00E9 des sources non litt\u00E9raires. Il s\u2019ensuit que les historiens contemporains pourraient \u00EAtre pris en otage par les id\u00E9es et hypoth\u00E8ses \u00E9mises depuis un certain temps par les historiens byzantins, sans avoir les moyens de v\u00E9rifier si de telles prises de position tiennent devant la complexit\u00E9 des faits."@fr . . . . . . . . . "13754684"^^ . . . . . . . . . "32865"^^ . . . . . . . . . "Compar\u00E9e au travail produit dans les chancelleries de l\u2019Occident, la diplomatique byzantine est tr\u00E8s pauvre et mal connue. Si la maxime selon laquelle \u00AB pas de documents pas d\u2019histoire \u00BB est ch\u00E8re aux m\u00E9di\u00E9vistes qui s\u2019int\u00E9ressent \u00E0 l\u2019Occident, elle l\u2019est encore plus \u00E0 ceux qui se passionnent pour la partie orientale de l\u2019ancien Empire romain. La raison est la grande raret\u00E9 des sources non litt\u00E9raires."@fr . . . . . "188960716"^^ .