. . . . . . . . . . . . . . "Di\u00E1rio de Pernambuco"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Standard"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le Diario de Pernambuco est un journal quotidien paraissant \u00E0 Recife, dans l'\u00C9tat f\u00E9d\u00E9r\u00E9 du Pernambouc, au Br\u00E9sil. Fond\u00E9 le 7 novembre 1825 par le typographe Antonino Jos\u00E9 de Miranda Falc\u00E3o, le Dario s'enorgueillit d'\u00EAtre le quotidien le plus ancien encore en circulation en Am\u00E9rique latine. \u00C0 la naissance du journal, le Br\u00E9sil venait d'acc\u00E9der \u00E0 l'ind\u00E9pendance, et la ville de Recife n'\u00E9tait pas m\u00EAme encore la capitale de la province de Pernambouc et ne le deviendra qu'un an et trois mois plus tard. Pendant ses pr\u00E8s de deux si\u00E8cles d'existence, le journal traversera donc toutes les p\u00E9riodes et partagera toutes les vicissitudes de l'histoire du Br\u00E9sil et du Pernambouc."@fr . . . . . . . "Diario de Pernambuco"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "189202008"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Guilherme Machado"@fr . . "Diario de Pernambuco"@fr . . . "1825"^^ . . "Le Diario de Pernambuco est un journal quotidien paraissant \u00E0 Recife, dans l'\u00C9tat f\u00E9d\u00E9r\u00E9 du Pernambouc, au Br\u00E9sil. Fond\u00E9 le 7 novembre 1825 par le typographe Antonino Jos\u00E9 de Miranda Falc\u00E3o, le Dario s'enorgueillit d'\u00EAtre le quotidien le plus ancien encore en circulation en Am\u00E9rique latine. \u00C0 la naissance du journal, le Br\u00E9sil venait d'acc\u00E9der \u00E0 l'ind\u00E9pendance, et la ville de Recife n'\u00E9tait pas m\u00EAme encore la capitale de la province de Pernambouc et ne le deviendra qu'un an et trois mois plus tard. Pendant ses pr\u00E8s de deux si\u00E8cles d'existence, le journal traversera donc toutes les p\u00E9riodes et partagera toutes les vicissitudes de l'histoire du Br\u00E9sil et du Pernambouc. Le Diario commen\u00E7a sa carri\u00E8re comme un simple bulletin d'annonces, puis se d\u00E9veloppa progressivement, dans les d\u00E9cennies suivantes, en un journal quotidien au plein sens du terme, d'une part par un \u00E9largissement de sa formule \u00E9ditoriale, qui s'enrichit bient\u00F4t de correspondances, de billets payants (les \u00AB articles sur demande \u00BB, souvent pol\u00E9miques et politiquement orient\u00E9s), d'actualit\u00E9s nordestines et nationales (sur la base de d\u00E9p\u00EAches d'agence \u00E0 partir de 1874), d'articles de fond sign\u00E9s de l'\u00E9quipe de r\u00E9daction, de rubriques litt\u00E9raires, \u00E9conomiques, etc., enfin par l'arriv\u00E9e de collaborateurs r\u00E9guliers, et d'autre part, par une extension de sa zone de chalandise, gr\u00E2ce \u00E0 des nouvelles en provenance des provinces voisines et \u00E0 un r\u00E9seau de courriers et de correspondants sur place. D'abord de tendance nettement lib\u00E9rale sous le bouillant premier directeur Miranda Falc\u00E3o, qui fit un s\u00E9jour de 14 mois en prison pour d\u00E9lit de s\u00E9dition, le Diario se fera, apr\u00E8s qu'il eut \u00E9t\u00E9 rachet\u00E9 en 1835 par la firme Pinheiro & Faria, le soutien du pouvoir conservateur en place, posture politique qui lui vaudra notamment de se voir adjuger le march\u00E9 de la publication des actes officiels, cela sans discontinuer pendant plus de 60 ann\u00E9es, abstraction faite des p\u00E9riodes d'ostracisme correspondant en g\u00E9n\u00E9ral aux p\u00E9riodes o\u00F9 le parti lib\u00E9ral \u00E9tait au pouvoir. Le journal deviendra m\u00EAme la propri\u00E9t\u00E9 de l'homme politique Rosa e Silva entre 1901 et 1903. N\u00E9anmoins, le journal se d\u00E9clara hostile \u00E0 l'esclavage (non seulement dans des billets payants, mais aussi par ses \u00E9ditoriaux) et se f\u00E9licita de l'adoption en 1888 de la loi d'or portant abolition de cette institution. Cette position partisane, maintenue en d\u00E9pit d'emphatiques protestations d'impartialit\u00E9 et de probit\u00E9 intellectuelle, portera le journal \u00E0 soutenir d'\u00E2pres pol\u00E9miques avec la presse d'opposition et sera cause aussi de quelques d\u00E9boires, entre autres, sous la Premi\u00E8re R\u00E9publique, en novembre 1911, lorsque le si\u00E8ge du journal dans le centre de Recife fut cern\u00E9 par une foule hostile, et une nouvelle fois en 1913, alors que par suite d'un changement de propri\u00E9taire le Diario venait de s'affranchir de toute all\u00E9geance partidaire et d'adopter une neutralit\u00E9 effective, au lieu de seulement oratoire. Le journal paiera son attitude critique envers le pouvoir en place dans les derniers mois de l'Estado Novo, p\u00E9riode marqu\u00E9e en particulier par une fusillade lors d'une r\u00E9union publique devant ses locaux, o\u00F9 p\u00E9rit un \u00E9tudiant. Au plan r\u00E9dactionnel et financier, le Diario passa par des hauts et des bas. Les ann\u00E9es pr\u00E9c\u00E9dant la mise en faillite de juillet 1934 repr\u00E9sentent l'\u00E9tiage dans l'histoire du journal ; les p\u00E9riodes fastes en revanche furent la d\u00E9cennie 1850, quand notamment l'intellectuel Ant\u00F4nio Pedro de Figueiredo y tenait un feuilleton hebdomadaire, ainsi que les ann\u00E9es post\u00E9rieures \u00E0 la r\u00E9novation de 1934, o\u00F9 le journal b\u00E9n\u00E9ficia de la collaboration de quelques grandes plumes telles que Gilberto Freyre et Assis Chateaubriand."@fr . . . . . . . . . . . . "G\u00E9n\u00E9raliste, journal d'opinion"@fr . . . . . . . . "Quotidien" . . . . . . . . . . "Diario de Pernambuco"@fr . . . . . . . . . "163679"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Vera Orgando"@fr . . . . . . . . . . . . . "Di\u00E1rios Associados"@fr . . . . . . . . . "9941816"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Paula Losada, Paulo Goethe, Humberto Santos"@fr . . . . . . . "Quotidien"@fr . . "1825-11-07"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "1825-11-07"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .