. . . . "Une di\u00E9r\u00E8se est la s\u00E9paration d'une syllabe en deux par vocalisation d'une spirante : par di\u00E9r\u00E8se le mot lion (normalement monosyllabe [lj\u0254\u0303]) peut \u00EAtre lu [lj\u0254\u0303] ou bien [li'\u0254\u0303] (par vocalisation de [j] en [i]), mais le plus souvent un \u00E9l\u00E9ment spirant demeure : [lij\u0254\u0303]. Dans certaines parties de la francophonie (en Belgique, par exemple), ce ph\u00E9nom\u00E8ne est commun."@fr . "Di\u00E9r\u00E8se en fran\u00E7ais"@fr . . "115817"^^ . . . . . . . . . "4732"^^ . . . . . . . . . . . . "Une di\u00E9r\u00E8se est la s\u00E9paration d'une syllabe en deux par vocalisation d'une spirante : par di\u00E9r\u00E8se le mot lion (normalement monosyllabe [lj\u0254\u0303]) peut \u00EAtre lu [lj\u0254\u0303] ou bien [li'\u0254\u0303] (par vocalisation de [j] en [i]), mais le plus souvent un \u00E9l\u00E9ment spirant demeure : [lij\u0254\u0303]. Dans certaines parties de la francophonie (en Belgique, par exemple), ce ph\u00E9nom\u00E8ne est commun. Le fran\u00E7ais standard ignore ce passage de [j] \u00E0 [ij] sauf dans quelques mots comme hier, prononc\u00E9 aussi bien [j\u025Br] que [ij\u025Br] selon le contexte. Le passage \u00E0 [ij] est, en revanche, la norme apr\u00E8s un groupe consonne + [r] ou [l], ainsi, plions se lit [plij\u0254\u0303] et prions [prij\u0254\u0303]."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "163182499"^^ . . . . . .